Algérie: «Il n’y aura pas de déclaration de politique générale»
Le président du groupe parlementaire du Rassemblement national démocratique (RND), Miloud Chorfi, a affirmé hier, en marge des travaux de la 7e session ordinaire du Conseil consultatif de l’UMA, que le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, ne fera pas la présentation de la déclaration de politique générale devant le Parlement. L’article 84 de
la Constitution stipule que «le gouvernement présente annuellement à l’Assemblée populaire nationale, une déclaration de politique générale».
Nos gouvernant, comme toujours sont les premiers qui dérogent les lois qui font.
Depuis 1997, aucun gouvernement qui à présenté la déclaration de la politique Générale devant le parlement, le méme cas pour « loi de régulisation des dépenses »,qui doit étre présenté annuellement avant de présenté « loi de Finance »,pour permettre aux parlmentaires visionner les dépenses publiques durant une année d’exercice.
Ban ki-moon et les droits de l’homme de ONU seront saisis de meme les rapporteurs des droits de l’homme sur
LADDH: Ligue algérienne de défense des droits de l’homme
Bureau de Ghardaia
Ghardaïa le 10 juin 2010
URGENT !!
Des membres de la famille de Mohamed Babanadjar, se sont déplacés au local du bureau de Ghardaïa de la ligue algérienne de défense des Droits de l’homme (LADDH), pour nous faire part de leur profonde inquiétude quant au sort de leur fils Mohamed, condamné il y a une année à la perpétuité par la Cour Criminelle de Médéa et dans l’attente d’une réponse de la Cour Suprême, suite au pourvoi en cassation introduit par ses avocats.
Sa famille a été surprise de son transfert de la prison de Berrouaghia vers une autre destination et sans qu’elle soit informée. Ce transfert est probablement en rapport avec la visite d’une délégation de la Croix Rouge Internationale à cette prison.
Après plusieurs jours de recherche, sa famille a pu le localiser à la prison « Babar » de Khenchela. Elle apprendra que son fils fait l’objet de sévices dans ce lointain établissement pénitencier. Devant ces atteintes à ses droits et suite à la réponse provocante d’un responsable de la prison à ses plaintes : « Crèves, ton sort ne nous intéresse pas ! », Mohamed Babanadjar a été contraint d’observer une grève de la faim illimitée, ce qui durcira l’attitude de l’administration pénitentiaire et provoquera son courroux. Il sera jeté dans une cellule d’isolement, les poignets enchainés, alors qu’il est en grève de la faim !!
Le cas de Mohamed Babanadjar doit faire l’objet d’un suivi particulier d’autant plus que des informations sûres font état que l’unique témoin à charge dans cette affaire mentait !
P/Bureau LADDH de Ghardaïa.
Dr Kameleddine FEKHAR
http://www.algeria-watch.org/francais.htm
Tendrement votre.
lire cet atricle et vous comprendrez tous.
SITUATION DES APC BLOQUEES
Béni M’likèche: l’ex-président d’APC est suspendu en application de l’article 32 du Code communal. (La Cour suprême n’a pas encore examiné l’affaire). L’intérimaire désigné tarde à installer les commissions. L’opposition se trouve, de facto, exclue de l’assemblée.
Chemini: bien qu’un jugement définitif ait été rendu par la cour de Béjaïa après le renvoi de l’affaire par la Cour suprême, le président d’APC est toujours en poste. (En notre possession tous les documents qui l’attestent: N° de l’affaire, dates, peine prononcée…).
Tinebdar: sur les sept sièges que compte l’APC, la liste du maire en a obtenu 3. Par simple calcul arithmétique, les 4 restants ne constituant pas les 2/3, ils ne peuvent, à eux seuls, voter une motion de défiance. Quand le retrait de confiance vient, y compris de son «camp», il ne peut souffrir d’aucune ambiguïté. Quant aux «comités de village qui apportent implicitement leur soutien au maire actuel», leur emprise sociale réelle reste a verifier, quand bien même il ne s’agit là que de loi.
Seule la loi permet à tout un chacun de vivre sa citoyenneté pleine et entière, en harmonie avec son entourage. L’organisation sociale convoquée en 2010 par le maire est à des années-lumière derrière l’Humanité!
Timezrit: ce sont les quatre élus de la majorité qui n’arrivent pas à s’entendre pour désigner le président d’APC. L’opposition ne demande pas mieux que la dissolution.
Toudja: L’ASSEMBLEE A RETROUVEE SON FONCTIONNEMENT NORMAL APRES LE REMPLACEMENT DU MAIRE EXCLU.
Melbou: poursuivi en justice par la wilaya et ce depuis le 10 octobre 2008, il est, à ce jour, en poste. Ce serait, enfin, une lapalissade que de dire que l’application de la loi demeure l’unique solution à toutes les situations de blocage