La démagogie de Djamila Bouhired
«Comment puis-je accepter cette invitation de la part de gens (Egyptiens) qui nous ont insultés, qui ont sali la mémoire de nos chouhada, qui ont brûlé notre emblème national et qui ont redoublé de férocité durant de longues semaines à travers les médias, en menant une campagne anti-algérienne à nulle autre pareille», a déclaré Djamila Bouhired à El Watan après avoir décliné l’invitation que lui a adressée l’ambassadeur d’Egypte à Alger à l’occasion des festivités marquant l’indépendance de son pays.
Si la moudjahida Bouhired refuse de se rendre à l’ambassade égyptienne sous prétexte que ce pays a humilié les chouhada, elle accepte de se rendre en France pour se faire soigner dans ce pays qui a pourtant tué près de deux millions d’Algériens (Chouhada). El Mouhtarem
Le seul truc que je n’arrive toujours pas avaler c’est que dans sa lettre « au secours » ,elle disait qu’elle ne pouvait plus honorer ses dettes chez son épicier du coin.Alors que peuvent dire ses milliers de femmes sans revenues ni ressources qui trainent avec leurs enfants dans les rues d’une algérie sans concession pour les plus faibles.
Djamila Bouhired a le droit de bénéficier de tous les oins dans tous les pays du monde y compris chez israé. Elle se fait soigner avec son argent , et les medecins sont payés. la France d’aujourd’hui n(est pas la France de Massu et de Bigeard
Alors chez nous , nous ne sommes pas racistes
la guerre est terminée en 1962
Je crois sincèrement que ce n’est pas de la démagogie. Pourquoi l’aurait-elle fait ? Elle a toujours refusé de se salir la conscience en se compromettant avec le pouvoir comme son frère de combat Yacef Saadi, qui nommé député au Sénat, prend la responsabilité morale et juridique de tous les crimes qui ont été commis par la dictature militaro-politique. Elle vit très modestement.
Je crois qu’elle a été profondément heurtée par l’outrage qui a été fait aux Chouhada par les Égyptiens. J’ai beaucoup appris sur sa bravoure pendant la guerre de libération, je connais moins sur sa vie après l’indépendance surtout ses relations avec le pouvoir qui raffole des figures de la guerre d’indépendance pour le besoin d’agrémenter sa galerie de valets politiques. Mais on ne trouve nulle part des informations qui font état de compromissions avec lui.
Son glorieux passé la dispense de la contrainte de la démagogie. Avec Boutelflika et les génocidaires militaires, elle n’avait qu’à faire un souhait et toutes les portes lui seront ouvertes.
Même si elle s’est tue pendant les années de braise, pour moi elle représente le dernier carré des vrais moudjahiddine, aux mains propres et au cœur brave et blanc comme neige. Il me semble qu’elle n’attend que le rappel de son Créateur pour rejoindre les Chouhada. Sa mission l’a accomplie depuis longtemps. Que Dieu lui accorde santé et vie heureuse pour elle et ses enfants.
Maître Vergès en sait des choses sur elle et pour cause, ils ont été mariés. Et sans le cinéma egyptien qui lui a consacré un film, jamais elle ne sera connue dans les pays arabes. Bouhired n’a pas fait le 1/1000 de ce qu’ont fait des milliers de femmes algériennes courageuses, de vraies Moudjahidates, qui ont choisi de rester dans l’ombre! Alors Madame, Votre lettre ouverte à El watan, ne m’a pas émue, elle m’a dégouté!!!
Djamila BOUHIRED a été une figure emblématique de notre glorieuse révolution!
Incontestablement,une combattante courageuse qui a bravé les hordes sanguinaires que furent les paras de Bigeart!Au lendemain de l’indépendance,notre intrépide Djamila, s’était vouée à son role de femme algérienne sans s’etre melée de la politique malsaine des nouveaux arrivants au pouvoir!Elle n’a à aucun moment participé aux guerres fraticides qui ont découlé de la lutte pour le pouvoir!Reculer pour notre héros de la révolution, n’a jamais fait partie de son langage!Mais, personnellement je lui reproche tout de meme,y compris à Said Saadi qui fut son compagnon de lutte, d’avoir abandonné le navire au moment où le peuple avait besoin de lui pour asseoir sa souveraineté.En quelque sorte, je pense qu’elle aurait du s’impliquer davantage dans la politique et défendre les intérêts, celle du peuple pour lequel elle a donné toute sa vie!Ne dit-on pas que celui qui ne participe pas à la guerre, participe à la défaite ?
En tout cas,cette dame restera à tout jamais la couleur d’une combattante héroïque.
je trouve Djamila superbe.superbe elle a été a 16 ans et superbe elle est a 77ans.et je ne comprends pas qu’on la denigre car elle s’est soignée en France.mais la France officielle n’insulte pas les chouhada,ses avocats ne briulent pas notre drapeau et les fils de Sarkosy (s’il en a )ne nous ont pas traités en direct de tous les noms.franchement ya pas photos avec l’egypte.c’est vrai que toutes les femmes ont participé a la revolution,ont toutes souffert,mais elle ,sa bravoure a ete mediatisée par un concours de circonstances qui ont fait d’elle le symbole de la lutte feminine algerienne.elle ne s’est pas melée de la vie politique,car elle a tres bien compris qu’elle aurait été comme Don Quichotte.Ils sont trop forts pour elle et elle trop fatiguée sans doute.Longue vie pour elle incha Allah!
djamilla bouhired je vous salue, vous ete le symbole de la resistance algerienne et l’embleme de notre bravoure, je vous souhaite une tres longue vie
des fois (comme cette fois)vous ecrivez n’mporte qui!
Il faut honoré ses valeureux combattants de la libération et non les calomniés !
Cette dame a doits au respect de tous les citoyens Algériens !
Que dire des faux moudjahid dont le nombre ne cesse d’augmenter tout comme l’allocation et les autres privilèges.
Regardant un peu des autres cotés ! leurs combattants sont respectés, défile lors des célébrations, ne se plaignent pas !
Chez eux il n’y a pas de faux ! il perçoivent une allocation décente n’ont pas besoin de mendier un droit !
Chez nous les veuves, orphelins et ascendants ont souffert l’état les a délaissé leurs pensions été misérables.
On a institué des conneries comme les licences ! au lieu d’une pension décente a la hauteur de l’invalidité comme cela se fait dans les pays qui n’ont pas de rentes minières!
Ils n’ont pas institué des associations comme chez nous pour museler la société et se servir d’eux ! comme des idiots car ils leurs suffit de regarder un peu en arrière pour comprendre que ce système ne fait que diviser la société pour mieux assoire sa politique et se servir chichement !
Qui n’a pas un frère, une sœur, un père et une mère qui participé a la révolution directement ou pas ! qui n’ont jamais réclamé de privilèges !
Combien coûte ce ministère au contribuables ! « citoyens »
Un recensement digne de ce terme de ces combattants et martyres ! une allocation plus que décente même a 100.000,00 DA de la reconnaissance et du respect ! basta ! les autres a la caisse de chômage comme tous les autres celui qui a perdu son père en 1962 il a + 40 ans aujourd’hui ! il a besoin d’un Etat de droit, une éducation pour ses enfants du travail et un toit. Pas de l’aumône
madame bravo pour votre refus de vous rendre chez les egyptiens! notre Etat doit rompre ses relations avec eux.
l’histoire un jour éclairera nos concitoyens sur les Egyptiens et leurs bassessses pendant et apres la révolution.
vous comme les pioniers de la révolution « PPA MTLD ETC » vous devez ecrire l’histoire la vérité sur notre révolution! se n’est pas aux infiltrés de l’armée francaise de le faire! dénigrant les pères de la révolution en se substituant a eux!
« La démagogie de Djamila Bouhired », dites-vous.
Bien que d’habitude je préfère intervenir dans le bon sens du politique et du social qui unissent souvent au terme d’un débat contradictoire d’idées, je me hasarde aujourd’hui dans cette stérile polémique personnalisée qui ne fait, hélas, que diviser subjectivement et partialement.
Faire un procès d’intention en arguant d’arguties anachroniques et de prétextes excessifs, me semble-t-il, est, comme disait le général de Gaulle juste après son attentat à la mitrailleuse du Petit Clamar, » une plaisanterie de mauvais goût « .
J’abonde et soutiens volontiers les intervenantes et intervenants en faveur de « la partie civile », à savoir: « si hadj mohand », « El Erg Echergui », « Alia » et « ab ».