Le fils de Belaiz sous contrôle judiciaire: la presse parle enfin !
Cinq jour après avoir publié l’information dans le blog http://ffs1963.unblog.fr/2010/07/15/le-fils-de-belaiz-sous-controle-judiciaire/ sur la mise sous contrôle judiciaire du fils du ministre de la Justice, Tayeb Belaiz, impliqué dans une affaire de contrat avec Naftal, selon certains, et une affaire de drogue selon d’autres, le quotidien El Watan sous la plume de la journaliste Salima Tlemçani a publié aujourd’hui un article sur l’affaire. Le pouvoir algérien réussira-t-il à instrumentaliser affaire pour faire vendre aux Anglais, dans l’affaire Khalifa, l’image d’une justice algérienne indépendante qui peut juger y compris le fils d’un ministre ? El Mouhtarem
Dans un autre pays, le papa devrait démissionner sur la champ, car en plus d’être ministre il est à la tête de la justice et peut donc influencer nos « intègres » magistrats. Le fiston va être blanchi les doigts dans le nez et tous les responsables de son petit désagrément mutés dans à tataouine.
Fakou
Salam alikoum,
Je connais le fils à Sidi Bel Abbes, on jouait ensemble au basket, c’est un gars sympa, sérieux, travailleur et bien éduqué, est ce qu’il a pété les plombs depuis ? ou est ce un règlement de compte et j’espère pas qu’ il paye les frais de la politique clanique de son père. Ou pire est ce que son père veut s’en débarrasser de son fils !!!! Il est paraissait malheureux au fond de lui même me gars !!
Sitôt installé dans sa nouvelle fonction, le nouveau DGSN voit les ennuis commencer. L’avenir s’annonce incertain. Cette nouvelle affaire qui déstabilise le cercle présidentiel, n’est qu’un avant-goût de ce qui l’attend. Monsieur Hamel, dopé par Bouteflika avec l’échelon de général-major pour être pris au sérieux, apprend à ses dépens qu’il vient de mettre les pieds dans un champ de mines. La guéguerre entre les clans reprend doucement, mais sûrement. Après l’évincement de Zerhouni, le clan des sanguinaires demeure visiblement inconsolable de la disparition d’une de ces pièces maîtresses : Ali Tounsi. Ainsi va l’Algérie, la justice informelle des militaires et du président ; deux faces d’une même face. Bouteflika, saura-t-il se défendre cette fois, où abdiquera-t-il encore une fois devant les coups de boutoirs humiliants du puissant général-major Mediène.
Quant à Belaïz, le natif de Maghnia (Tlemcen) (une certaine presse a aujourd’hui, un malin plaisir à souligner l’origine des hommes du président mis en difficulté), saura-t-il accepter la condamnation de son fils pour honorer ses déclarations péremptoires et insidieuses sur la souveraineté de justice ? Lorsqu’il fut interrogé dernièrement sur la possibilité convocation de Zerhouni par le juge d’instruction dans l’affaire de l’assassinat de Tounsi, il dit : « le juge d’instruction est libre de convoquer qui il veut ou de ne pas le faire s’il ne le juge pas nécessaire », entravant scandaleusement par cette belle sentence la recherche de la vérité.
La canicule de cet été va atteindre des records…
chers bloggeurs,
d’un titre d’un seul nous voici propulsés, au beau milieu de la torpeur estivale, qui coincide, cette année et pour au moins cinq ans, avec le mois de chaabane, synonyme dans notre pays d’une brusque augmentation du prix de la tomate, de l’oignon et du poivron et surtout de la belle romaine qui le rest de l’année est reléguée au statut d’herbe tout à fait superfetatoire, nous voic donc grâce à El Watan, qui a le courage de faire dans les gros titres, obligés, que dis-je? contraints et forcés de nous triturer les méninges pour savoir qu’est ce qui se trame la haut au dessus du lot des communs des mortels.
Eh oui l’incarcération du fils d’un ministre prend partout ans le monde une tournure tragi-comique et en tout cas trés réjouissante au plan humain, les psy expliquent que nous autres lambdas sommes trés heureux des malheurs des stars et des nantis car cela les ramènent au statut d’hommes normaux avec défauts et qualités.et sutout des hauts et des bas.
chez nous, nous avons tendance, d’abord comme tous les êtres humains à gloser voire glousser de ces turpitudes qui assiègent nos braves gouvernants mais tout de suite après nos méninges nous rappellent que nous sommes en Algérie et qu’il est un devoir national que de s’inquiéter jusqu’à l’ulcère.
personnellement, mais je suis sure que je ne suis pas la seule, ma tête est assiégée par des questionnements divers et variés: ce déballage de scandales, intuités par les DRS nous dit-on, serait-il le présage d’une révolution systémique ou bien simplement la nécessité de nettoyer les écuries d’Augias avant même les soldes de tout comptes?
en fait j’aimerai bien savoir si ces exhalaisons fétides sont l’hirondelle qui annonce le printemps de l’Algérie ou bien juste un avertissement pour franchissement de ligns rouges?
dans tout les cas, j’espère que les ennuis de M. Belaiz avec la justice ne sont pas juste de la poudre aux yeux (je sais, je sais l’allusion est trop facile mais je n’ai pas pu m’en empêcher.
et finalement comme nous sommes de la race des seigneurs eh bien le dernier sentiment qui nous étreint le coeur c’est que finalement les ministres snt tellement accaparés par leur maroquin qu’ils oublient leur premier devoir de géniteurs: l’obligation d’éduquer les enfants sinon il y a des risques de dérives y compris le dévoiement et les chemins de la grande criminalité.
que ce soit pour un trafic de drogue dure ou bien pour un trafic d’influence et abus de biens sociaux, le préjudice que les rejetons font subir à la population algérienne est énorme.
ajoutés aux larcins permanents que les papas opèrent depuis au moins dix ans ( la plupart des ministres sont venus dans les valises de la famille Bouteflika), cela donne la nausée.
pauvres gosses! si j’étais à leur place je revendiquerai la clémence de la justice pour défaut d’éducation parentale.
ils ont pourris le pays pour de vrai. il n’y a pas pire que la drogue dure pour anéantir une population déjà malmenée dans tous les domaines.Qui sera le prochain ministre qui sera dénoncé pour ses pratiques frauduleuses.
et pour le même prix je peux vous dire que je sais déjà qu’il sera du premier cercle. une intuition féminine.