Belaiz: « Ils n’ont pas le droit de toucher à mes enfants »
Rencontré au Conseil de la nation, en marge d’une audition de la commission des Affaires juridiques, le ministre de la Justice réagissait aux informations faisant état de la mise sous mandat de dépôt d’un de ses fils dans le cadre du démantèlement d’un vaste réseau de trafic de stupéfiants. «Si mes enfants avaient commis une telle faute, je me serais arrangé pour les mettre moi-même en prison. Si je n’ai pas la capacité d’élever mes enfants, il ne me reste plus qu’à retourner chez moi. (…) Ils n’ont pas le droit de toucher à mes enfants. Ils peuvent me viser moi, personnellement, en ma qualité de personnalité politique ou de ministre. Mais pas mes enfants», a-t-il précisé. Le Soir
Emouvant, je vais pleurer. la sincérité de monsieur le ministre et son désarroi me mettent les larmes au yeux. Tout le peuple et solidaire avec vous et demande que les responsable de ce lynchage médiatique soient trouvés, jugés et punis de la façon la plus ferme. Pitié, surtout ne retournez pas chez vous, nous avons encore tant besoin de vous et de vos collègues du gouvernement.
M. Belaïz! Vous n’allez pas jouer au pathétique maintenant. Vous n’allez pas rater cette belle occasion ! Il y a eu diffamation, alors c’est très simple. Au lieu de jouer à la victime de ce que vous savez et de ce que pensent les mauvaises langues, portez plainte si vous êtes « un homme de Loi » et si vous êtes un homme tout court. Car, si vous ne le faites pas, les soupçons vont découpler et une absence de réaction vigoureuse et légale confirmera les accusations. Il n’y a pas de fumée sans feu. Le pire, vous montrez et démontrez votre panique devants ces « ils» qui « n’ont pas le droit » d’approcher votre famille et que vous n’osez même citer clairement. Vous connaissez très bien les lois de la jungle. Les hyènes, quand ils choisissent une proie, ils se contrefichent de sa parenté avec son clan. Ils sont plus libres que vos « juges », ils ont tous les droits puisque vous n’avez rien fait pour réhabiliter la justice dans… ses droits. Parce que les proies inconnues ont été mangées crues par ces « ils » sans que vous défendiez leur droit à lka vie et à la dignité, Monsieur le papa de son fils chéri.
Mr le Ministre,
Arretez de nous faire du show. Si vous n’aimez pas que l’on touche a vos enfants, alors pourquoi avez attendu, avez vous rien fait, c’est le silence tout azimut, etd’hypocrisie, sur l’affaire Matoub Lounes. Mr malik Medjnoun est incarcere depuis 12 ans sans justice…alors qu’attendez-vous pour faire la lumiere sur toute cette affaire en tant que Ministre de la Justice. Ou bien, c’est toujours la khoubza!!
«Ils peuvent me viser moi, personnellement, en ma qualité de personnalité politique ou de ministre. Mais pas mes enfants» dixit-il !
Si tu penses qu’«ils» n’ont fait que s’attaquer à ton fiston et qu’«ils» ne t’ont pas encore visé toi, c’est que tu n’as vraiment rien compris à l’affaire!
Ta déclaration est surprenante d’ingénuité et de naïveté. Elle est tellement navrante qu’elle dénote tout simplement ton indigence et ta très haute ignorance du jeu politique, toi qui te permets pourtant de t’auto-qualifier de «personnalité politique» dans la même phrase !!
Ce dont je suis maintenant profondément convaincu, surtout après Chakib Khelil et l’autre «grand stratège» de la fantomatique industrialisation dont je n’ai pas retenu le nom, c’est que la compétence ne constituait nullement un critère dans les choix faits par Boutef pour constituer son propre… clan !
Après tout, cela est peut-être dû au fait que lui même ne possède pas les compétences requises lui permettant de choisir les bonnes personnes !
Comme cela peut être aussi dû au fait que, dès le départ, l’intention de fakhamatouhou n’était ni bonne ni honnête !
J’en suis presque certain parce que mon défunt grand-père, dont j’étais le petit fils admiratif, aimait souvent me répéter «Dans son infinie bonté, le Bon Dieu accorde, donne et octroi en fonction des coeurs… Et la bonne intention sort toujours victorieuse et gagnante à la fin»!
C’était une tentative de traduction, apparemment ratée, de : «Rabi eymmed 3la h’ssab el-qloub… wa enniya essafya hiya li teghleb daymène !».
Allah yerahmek ya Djeddi !
ya mesiou le ministre de l´injustice garde des sceau du diable. ton flis il est innocent il n´y a pas de probleme. avec tes juges. procureurs. greffiers. ripoux. corrompus et voleurs. (ah ya addou allah mazel eddour allikoum es-saa. rabi keine mazel wa yokhrej fikoum dem echouhadas)
« Ils n’ont pas le droit de toucher à mes enfant » j’ai beaucoup aimé cette phrase monsieur le ministre des ses fils et ses proches.
Les fils du peuple n’ont pas un papa ministre pour les défendre quand ils sont accusés a tort et a travers agressé par le systèmes démunis de tout leurs droits ces jeunes la ne te font pas pitié ni a toi ni a tes confrères ni aux dirigeants en général, et vous leurs présenté de la haine en plus alors subissait ce que subit un pauvre un parent quand il a de ses fils accusé.
Monsieur a t-il le pouvoir de mettre en prison sans passer par les juridictions compétentes? Taisez-vous et laissez la procédure suivre son cours !
quelle crédibilité donner à une institution pour juger le fils du ministre dont elle est sous tutelle. On marche sur le tête.
Sa pu à fond le conflit d’intérêt