21 juillet, 2010
Belaiz: «J’ai bousculé des intérêts mercantiles»
«Il n’y a pas de questions aujourd’hui sur mon fils ?», s’est interrogé hier le ministre de la Justice, Tayeb Belaiz. Et d’asséner: «Ce n’est pas tout ce qui porte l’homonyme Belaïz est mon fils. Les Belaïz sont nombreux, nous avons une zaouïa à Aïn El-Kebira (Sétif), ils sont aussi implantés à Maghnia. Moi, j’ai deux fils, lequel parmi eux ? Et puis ce Djamel Belaïz dont on parle est né en 1971. Je n’étais même pas marié. Enfin, j’étais parmi les premiers à avoir plaidé, sous le parti unique de l’époque, pour l’indépendance de la justice et de la presse. Mais, je dis qu’il faut se mettre à un minimum de vérification. Réunir les preuves pour toutes ces assertions et si l’un de mes fils est vraiment incriminé, j’aurais à le mettre moi-même en taule», rapporte Le Soir.