2 août, 2010
Le terrain des uns et des autres
Par Lahouari Addi, Le Soir d’Algérie 02 août 2010
Dans un texte inutilement long, paru dans Le Soir d’Algérie du 27 juillet 2010, le député du RCD, Maître Hakim Saheb, continue la polémique commencée par Nordine Aït Hamouda, me faisant un procès d’intention qui dépasse toutes les limites de l’entendement.
L’acte d’accusation qu’il dresse contre moi est tout simplement ahurissant: «Instrumentaliser une science dont j’affirme être l’unique détenteur, être de mauvaise foi, avoir une volonté délibérée de fausser le débat, pratiquer le terrorisme intellectuel propre aux cadres des systèmes totalitaires, avancer des contre-vérités soutenues par des allusions politiques pernicieuses, suggérer que Djaout est un éradicateur et Hachani un réconciliateur, défendre un projet politique dont je n’assume ni les expressions ni les conséquences, être objet d’égarements et auteur de manipulations, être habité par de vieilles haines, réanimer la machine à désinformer, être soumis à des chapelles politiques (entendre le FFS), être un récidiviste, persister à nager dans les eaux troubles du confusionnisme, faire preuve d’irresponsabilité politique, avoir choisi de quitter le pays, être un agent actif de la désinformation, etc.»
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Le chef de la branche mauritanienne d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a menacé la France et la Mauritanie de réprésailles après
Pour faire face à la colère citoyenne, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) n’a pas trouvé mieux que de lancer un avis d’appel d’offres national et international restreint N°21/210 pour acquisition des équipements antiémeutes répartis en deux lots distincs: 1400 gilets par coup modulable avec manchettes et 5000 protège-tibias. El Mouhtarem
Le calvaire des travailleurs de l’entreprise nationale du liège se poursuit depuis plusieurs mois. En effet, l’indemnisation du collectif de ladite entreprise tarde à avoir lieu. Selon Le Quotidien d’Oran, les travailleurs déplorent le retard constaté dans leur indemnisation. Un état du fait qui pénalise fortement le collectif des travailleurs déjà touchés par la précarité de leurs conditions sociales depuis la dissolution de ladite entreprise, durant la première semaine du mois de janvier dernier.
De nombreux manifestants en colère ont investi, hier dimanche tôt dans la matinée, le siège de l’APC de Bin El Ouiden, à une soixantaine de kilomètres à l’ouest de Skikda, où ils ont fermé les portes de l’APC à l’aide de cadenas, empêchant ainsi les travailleurs et élus d’accéder à leurs lieux de travail. Selon Le Quotidien d’Oran, les contestataires, essentiellement des jeunes, ont afflué des localités de Legraguesse, El Fedj et El Arja, pour réclamer le réhabilitation du tronçon routier d’une longueur de 7 km qui relie le chef-lieu de commune de Bin El Ouiden, à leurs villages.




