Aghribs: « C’est le Maire du RCD qui a autorisé la construction de la mosquée »
Le P/APC d’Aghribs, Rabah Yermeche dira à El Watan: «Il y a eu flottement à cette période. Je n’ai pas pu joindre le comité du village pour avoir leur avis. » « L’administration de daïra s’est inquiétée sur les suites réservées à ce dossier, et j’ai été amené à signer le permis de construire ».
le dilemme dans cette affaire et que le maire qui avait délivré un permis de construction d’un coté est le même maire qui avait donné un engin à l’autre partie pour démolir l’édifice. cela implique qu’il ne sait pas sur quel pied dansé parfois il cède au chantage de l’administration publique et parfois il cède au chantage du comité de village ; autrement dit, il veut le beurre et l’argent du beurre. mais ce n’est pas étonnant quant on responsabilise des incompétents.
le maire a declaré a la presse que les membres de l’association religieuse sont des salafistes.il n’a qu’a les identifier c’est a la population de juger.
le redicule ne tue jammais .dans un passe recent les militants du RCD surtout dans cette localite sont connus par leur compagne les plus virulente, acharnement contre les retrograde ceux qui crois aux tambous les sidi et les djeddi mais apparament 15 ans de lutte pour l’universalite on voie que leurs propre chef a fini a etre cantamine par ces idees retrogrades .en fin il a finni a admettre que sidi djaffer est son grand pere.pauvre malheureus
le redicule ne tue jammais .dans un passe recent les militants du RCD surtout dans cette localite sont connus par leur compagne les plus virulente, acharnement contre les retrograde ceux qui crois aux tambous les sidi et les djeddi mais apparament 15 ans de lutte pour l’universalite on voie que leurs propre chef a fini a etre cantamine par ces idees retrogrades .en fin il a finni a admettre que sidi djaffer est son grand pere.pauvre malheureus
le plus important dans tous ca c’est que sadi a travers ce faut conflit a fini a presenter son grand pere qui est sidi djaffer a toute l’algerie .alors l’annee prochaine le pelirennage ca sera en direction d’aghribs.le couscousse assure le the aussi le cauchemar continue.
Le bilan d’une journée torride.
J’étais épuisé. Je me suis allongé pour quelques minutes ,histoire de décompresser un peu avant le f’tour, et je suis tombé dans un sommeil profond. Ma journée ,je l’avais terminée à 17 heures en ce jour de chaleur torride. Ce vent de sable, aujourd’hui, était insupportable et suffocant.
Ma femme me réveille brusquement pour me dire que c’est déjà le Adan. Je me lave et j’engloutis le bol de chorba à la hâte .Le somme que j’avais piqué m’avait fait perdre même l’appétit. J’en suis déjà à ma tasse de café pour pouvoir digérer le peu de nourriture que j’avais avalée et je me retrouve tout de suite dehors pour faire quelques pas. Il fait toujours chaud .
Je marchais, l’air serein sans but déterminé. Je marchais, tout seul ,et je me suis arrêté à un croisement de chemins, j’étais là, immobile et pensif. Les rues commençaient à s’emplir de gens qui sortaient de chez eux ,au fur et à mesure. Là, c’est des jeunes qui se baladent en groupe ; plus loin, quelques couples avec enfants qui cherchent vainement quelque air frais à humer . A ma droite , c’est un flux régulier qui s’y dirige. Ils ont l’air déterminés et y allaient d’un bon pas. C’est bientôt le Tarawih à la mosquée toute proche.
Dans ma tête repassait le film de ma journée. Il faut dire qu’elle a été rude et chargée. Dès 8 heures, déplacement sur 45 km. Il fallait être à l’heure pour faire passer les cinq ou six clients agriculteurs comme chaque jeudi que Dieu fait. La vacation m’a retenu jusqu’aux alentours de midi. A 13 heures, rendez-vous à vingt kilomètres à l’est. Le dossier était pressant et il fallait le traiter avec le liquidateur de l’unité. A 14h30 , appel de la protection civile, il fallait être sur place au regard de l’urgence signalée. A 16h45 je rentre au bureau où un client patientait pour une rectification sur son dossier. Et tout cela, sous les 45° de cette journée d’enfer ,avec le vent de sable en plus.
J’étais toujours là, pensif avec ma solitude. Et le flux de gens n’arrêtait pas de se diriger du même coté, vers ma droite. Ils vont faire leur prière et c’est l’heure du Tarawih. Et le flux gonflait de plus en plus. Il y avait même deux fillettes de huit et dix ans qui gambadaient autour de moi. Avec un drôle de tenue, pour leur âge !Un grand foulard blanc leur entourait la tête et descendait jusqu’aux épaules, et une gandoura grise qui leur arrivait aux chevilles. Je me suis étonné qu’elles puissent ainsi s’habiller à cet âge ,mais elles ne se souciaient de rien. Leur mère ,tout de noir vêtue ,arriva une minute après et le trio se dirigea dans la même direction ,vers ma droite.
J’étais toujours là, debout et pensif ,et je me disais qu’il est temps , peut-être pour moi, de commencer à faire la prière. Et je me remémorais la dure journée que j’ai vécue en suggérant que si tous les gens qui se dirigent d’un pas résolu vers le même endroit pour leur Tarawih ,avaient vécu la même journée de labeur et d’efforts sous les 45° et avec le vent de sable en plus, mon pays se porterait à merveille dans mois de cinq ans. Mais je me rendais compte que je me suis posé la même question, il y a cinq ans en arrière, et que la situation de mon pays a maintenant empiré.
Je me rendais compte que j’étais toujours là, seul debout à méditer ,et je me disais que quelque chose n’était pas normale. J’avais oublié le rendez-vous avec un ami fidèle, mon ami de chaque jour :mon clavier. Et je me suis dit qu’il était temps d’aller lui rendre visite et lui faire toutes mes confidences de cette journée torride ,cette journée d’enfer comme on en voit que chez-nous.
Saha f’tourkoum.
SAID SADI, tu vas finir très mal avec cette histoire de la mosquée d’Aghribs.tu prends les villageois pour des terroristes, Or la définition du terroriste ni plus ni moins que la personne qui ne respecte pas la loi.Tu ne veux pas respecter la justice qui s’est prononcée deux fois en ta défaveur.On aurait pu interviewé SIDI DJAFFAR il t’aurait diabolisé.Je te connais et je connaissais très bien ton histoire familiale, tu n’es qu’un extrémiste, égoïste,fasciste,manipulateur, raciste et assoiffé du pouvoir. Tu n’as pas réussi à déchirer la fraternité des algériens mais t’as réussi quand même à nourrir la discorde entre les citoyens de ton propre village. Espèce de vaut rien.
Ya Elfennane
Sidi Djaffer etait un sage et un de nos ancetres. If fait partie de notre histoire. Il faut le respecter.
Le fait de construire une mosquee et l’appeler Sidi Djaffer ne veux pas dire qu’on est retrograde ou qu’on croit aux charlatans.
Les salafistes ont utilisé cet argument pour s’attaquer a notre village et nos traditions. Ils ont echoue et continuerons a echouer.
Nous sommes fier d’Aghribs, de ses ancetres, et surtout de ses courageux jeunes qui ont barre la routes aux integristes.
L’attitude des salafiste est partout la même : vouloir controller, tout controller et imposer une seule interpretation, une seule vision. Pour eux tout est noir ou blanc, les couleurs n’existent pas. J’ai vu la meme attitude dans d’autres villages de kabylie. Toujours le meme argument pour s’isoler : on ne prie pas dans une mosquée construite sur des tombes. Au lieu de comprendre l’injonction islamique de ne pas prier les morts, ils prennent les texte literalement et refusent toute mosquée construite pres d’un cimetiere, alors que pratiquement toutes les mosquées ancestrales sont comme ça. Ils oublient que ce sont ces lieux de culte qui ont preservé cet heritage face a l’assimilation coloniale.
Les salafistes pretendent suivre l’islam authnetique alors que eux memes ne sont qu’une enieme secte moderne qui ne fait qu’innover (bid3a)…
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