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Archive pour le 13 août, 2010
Mosquée d’Aghribs: L’association religieuse a respecté toutes les procédures juridiques
Par Mohamed d’Aghribs
Je tiens d’abord à remercier El Mouhtarem pour cet espace de communication. Etant un citoyen de la commune d’Aghribs et en lisant toutes les questions que vous avez posées dans votre synthèse…..permettez moi de vous éclaircir certains points:
- L’association religieuse qui a construit la nouvelle mosquée a été fondée dans un cadre purement légal.
- Le Village d’Aghribs dispose d’un “MOSSALA” qui se trouve au milieu d’un cimetière ce qui rend la prière impossible…donc il y a nécessité d’avoir une mosquée aux normes de la religion comme toute la Kabylie.
- L’association religieuse a respecté toutes les procédures juridiques dans un cadre légal afin de construire cette nouvelle mosquée et a reçu l’aval du comité du village…sachant que le comité actuel ne représente que lui même c’est a dire ses membres.
- Le conflit a pris une dimension politique, car comment un maire délivre un permis de construction et délivre par la suite son annulation !
Said Bouteflika « respecte » la police, mais piètine la loi
Le quotidien Ennahar de la serpilière du DRS, Anis Rahmani, ne rate aucune occasion pour faire l’éloge du président Bouteflika et ses frères. Après avoir soutenu le candidat à l’élection présidentielle de 2004, Ali Benflis, Anis Rahmani veut se racheter auprès du chef de l’Etat par tous les moyens…surtout CHITTA. Dans son édition de jeudi, Ennahar, dans sa page 2, n’a pas tari d’éloges sur Said Bouteflika. « Lors de son passage devant un barrage de police à Paradou (Alger), Said Bouteflika a caché son télépohone mobile par respect à la police…Said Bouteflika se comporte comme un citoyen ordinaire… », a écrit le journal de Rahmani. Said Bouteflika respecte la police, mais piètine la loi qui interdit aux conducteurs de parler au téléphone. El Mouhtarem
ALGERIE: Des mères de disparu(e)s rouées de coups par les forces de l’ordre
La Fédération euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées (FEMED) s’insurge contre la violente répression dont ont été victimes hier matin les mères de disparu(e)s, lors de leur tentative de rassemblement sur la place Addis Abeba d’Alger.
Selon les informations communiquées par ses deux associations membres, le Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie (CFDA) et Sos Disparu(e)s, un nombre important de policiers et de gendarmes s’était déployé très tôt hier matin autour du lieu de rassemblement habituel des mères de disparu(e)s, qui s’y donnent rendez-vous tous les mercredis depuis 12 ans[1].
Vers 10h30, une quarantaine de personnes ont convergé par petits groupes vers la place Addis Abeba et ont pu investir le lieu du rassemblement, avant que les forces de l’ordre ne fondent sur elles.
Mosquée d’Aghribs: Saisir la gravité de l’acte au delà des considérations religieuses
R.B pour « Algérie Politique »
Il me semble que ce qui s’est passé à AGHRIB mérite beaucoup plus d’intention, de lucidité et de prudence dans les interventions des camarades car la genèse est beaucoup plus complexe et profonde. Pour ma part, je vais contribuer au débat par une série de questionnements et essayons ensemble de donner des réponses chaqu’un selon les données qu’il possède.
-Est-ce que des fonds même à l’étranger ont été collectés pour la construction de la nouvelle mosquée d’Aghribs ? Si c’est le cas, y a t’il des citoyens (actuellement qui occupent des postes de responsabilité) qui y ont participé ? -Est-ce que ces fonds (s’ils existent) sont parvenus aux destinataires ? -Est-ce que l’association religieuse avait introduit, selon la réglementation en vigueur, une demande d’autorisation de construire pour une mosquée ? -Est-ce que le maire et l’assemblée communale (représentative) avaient donné leur accord ?
Le bilan d’une journée torride
Merigue pour « Algérie Politique »
J’étais épuisé. Je me suis allongé pour quelques minutes, histoire de décompresser un peu avant le f’tour, et je suis tombé dans un sommeil profond. Ma journée, je l’avais terminée à 17 heures en ce jour de chaleur torride. Ce vent de sable, aujourd’hui, était insupportable et suffocant.
Ma femme me réveille brusquement pour me dire que c’est déjà le Adhan. Je me lave et j’engloutis le bol de chorba à la hâte. Le sommeil que j’avais piqué m’avait fait perdre même l’appétit. J’en suis déjà à ma tasse de café pour pouvoir digérer le peu de nourriture que j’avais avalée et je me retrouve tout de suite dehors pour faire quelques pas. Il fait toujours chaud.
Je marchais, l’air serein sans but déterminé. Je marchais, tout seul, et je me suis arrêté à un croisement de chemins, j’étais là, immobile et pensif. Les rues commençaient à s’emplir de gens qui sortaient de chez eux, au fur et à mesure. Là, c’est des jeunes qui se baladent en groupe; plus loin, quelques couples avec enfants qui cherchent vainement quelque air frais à humer. A ma droite , c’est un flux régulier qui s’y dirige. Ils ont l’air déterminés et y allaient d’un bon pas. C’est bientôt le Tarawih à la mosquée toute proche.