Foi-disant pour « Algérie Politique »
A tout seigneur tout horreur…
Ils ne vous lâcheront pas. Pas pour vous harceler, pas pour vous faire la peau, mais pour l’exemple, pour dissuader les suivants. C’est important l’exemple. Ça marque les esprits. Et puis ils mordent et ils mordent à défaut de vous abattre… La haine des assassins se sent à mille lieux à la ronde. Déjà on peut remarquer à quel point ils ont élever le niveau du “harcèlement”. Tout est mobilisé pour la mission; « Le matindz » s’y est mis de la partie, les commentaires chez TSA vont dans un seul sens… Ils ne finiront jamais. Ça marche comme ça chez-eux. C’est une poignée qui tient un pays de cette façon, en frappant les esprits d’abord.
Malgré cette terreur. La liste des “félons” qui retrouvent leur conscience s’allonge dangereusement.
Ça pète de partout dans la boîte de l’enfer.. au point qu’ils mobilisent les ex-terroristes pour les aider à s’en sortir. Layada a droit aux honneurs maintenant. Il est sollicité par les journaux pour répondre officiellement aux insinuations françaises…Ils s’entendent comme des larrons dans une foire. Quelle misère ! Montrer ses jockers et ses atouts d’hiers… Quel misère !
Ils tremblent à l’idée qu’El Para fasse l’objet d’une demande d’extradition par la France, dans l’affaire des moines de Tibhirine. Que de drames, ils ont sur la conscience et que de graves problèmes, ils ont fait peser sur l’Algérie.
Que vous vous êtes trompé sur Hasseni (c’est humain), que vous vous êtes rétracté en cédant à une menace imminente (c’est humain aussi), cela n’entame rien à votre droiture. Car ceux qui ont abattu maître Mecili, sont ceux qui ont fait disparaître 10 000 Algériens, ils n’en ont pas laissé la moindre trace paraît-il, même pas un crâne… Ce sont ce genre de patriotes qu’affectionnent particulièrement ceux qui courent après vous en lâchant leurs sbires à vos trousses.
Votre âme de grand patriote, impregne votre livre et dans votre combat. Il est inutile qe vous conseiller de ne pas prêtez l’oreille à ceux qui vous dénigrent. A force d’occuper les espaces et de défrayer la chronique, ils se confendent avec le décor et le bruit de fond.
Saha Ftourek et bon Ramadan