Et MECILLI dans tous ça Monsieur le « consul »
Le seul sentiment qu’on devrait avoir et pour mecilli et sa famille et surtout ses enfants qui ont vecu dans l’orphelinat, et pour quoi vous nous demandez pas alors au pouvoir de donner le veritable commanditaire et le criminel bien sur qui se porte bien a hydra.
Cela ne m’étonne guère puisque venant d’un diplomate qui a un fil à la patte. Dans tout le réquisitoire fait à notre ami El-Mouhtarem, le diplomate au fil à la patte n’a à aucun moment parlé de la mort de Ali Mécili. Avant de s’attaquer à d’autres il y a lieu de balayer devant votre porte messieurs les derniers de classe. Vous êtes la risée des nations civilisées. Au lieu de dénoncer un crime commis contre un avocat-moudjahid-algérien et défenseur des droits de l’homme, vous vous pleurnicher pour un diplomate au fil à la patte. Dans le cas où Hasseni n’est pour rien dans la mort de Mécili alors qu’attendez-vous pour nous balancer le nom du criminel-assassin.
Dans le cadre de l´affaire Mecili, je ne me tiens qu’à ma conscience, et les tentatives du DRS cherchant à modifier mon témoignage n´auront aucun impact sur ma volonté et ma quête de vérité et de justice.
Je tiens aussi à préciser que je n´ai jamais rencontré en Allemagne ou ailleurs ce Mourad Halouane (que je ne connais d´ailleurs pas), pour la simple raison que ma rupture avec le DRS est consommée depuis belle lurette.
Si mes souvenirs sont exacts, la dernière fois que j´ai rencontré un cadre du DRS remonte à juillet 2002 lors du fameux procès de la « sale guerre ».
Brader mes principes contre une amnistie ! Ca se voit que le journaliste qui a commis l´article ne me connaît pas.
Je confirme enfin que les propos rapportés par l´article paru dans Rue 89 sont authentiques. Sachant que l´affaire Mecili est toujours en cours d´instruction, je ne peux malheureusement pas révéler l´identité de «Mustapha » qui est un ami de longue date pour qui j´ai du respect et de la considération. Ce dernier m´avait contacté sur insistance des généraux Toufik et Attafi, mais je suis resté inflexible à l´appel des sirènes ou pour être plus précis, tant « à la carotte qu´au bâton ».
Je jure devant Dieu en ce mois sacré du Ramadhan que tout ce qui est écrit ci-dessus est vrai.
Le 28.08.2010.
M. Samraoui
La famille Mecili et SURTOUT le feu Maitre A. Mecili ont tout simplement le droit á une justice si ce n’est pas de leur pays respectif peut-etre d’un droit international reconnu par les 30 articles des droits de l’homme de l’ONU
10 DECEMBRE 2008 | 60e ANNIVERSAIRE DE LA DECLARATION UNIVERSELLE
__La Déclaration universelle des droits de l’homme est le principal texte international affirmant les droits inaliénables et inviolables de tous les membres de la famille humaine
je voudrai bien vous posez qlq question mr le diplomate _quelle poste ocupiez vous dans les annees 80 et 90 et ql salaire avez vous eu quand la majorite de nous soufraient la mort et la famine .j espere que tu n etais pas de ceux qui nettoyer la fassade du regime criminel a l exterieur on s appuiyant sur la phrase (servir l algerie) pcq pour servir l algerie il faut aider les algeriens que sans eux l algerie n aurai jamais exister .
tout personne qui participe ou participait au maintien du regime de n importe ql facon n as jamais servis lalgerie il sert ses maitres du pouvoir et ses interets personel.
voila ce que je pense de vous me le diplomate laissez nous tranquille ne venez pas pleurnicher quand vous perdez le lux que avez eu toute ces annees.
sans parler des incompetances de nos ambassades et nos consulats a l etranger que c 1 autre sujet .
C’est bien de constater que le témoin à charge confirme ne pas avoir eu peur et livré un témoignage de bonne foi en disculpant une personne qu’il sait innocente.
Pour comprendre la logique et le raisonnement de quelqu’un qui appartient au système algérien, qui le représente et le défend avec plus ou moins de diplomatie, il faut… appartenir au système, car il y a une incompatibilité totale. C’est une logique qui a ses principes et ses lois qui s’entrecroisent rarement avec celle connue universellement. Même les sentiments et les systèmes des valeurs divergent grandement comme on va le voir avec la solidarité qui s’est exprimée çà et là à l’occasion de l’affaire de Hasseni.
Pas plus loin qu’hier, on a vu que ce qui est un crime et un génocide pour le commun des mortels devient dans la logique d’un commis de l’Etat, une simple erreur de parcours de l’Etat, pour laquelle il est honteux d’en faire des vagues ou de boucan sur la place publique. Un besoin aussi naturel et aussi humain que la recherche de la vérité et la justice par les familles des victimes des « erreurs de l’Etat », devient pour le même commis qui parle au nom de l’Etat dans un langage très diplomatique, un simple point de vue respectable, mais contestable, car chimérique et de ce fait, un point de vue ridicule comme les procès ridicules qu’il engendrerait. Et bien sûr l’Etat n’a pas vraiment le gout pour s’amuser aux procès formels et ridicules contre ses propres erreurs comme l’a proclamé ce commis.
Les exemples ne manquent pas sur la dichotomie édifiante entre la logique « étatique » qui, pour des considérations conjoncturelles impérieuses, est venue se déployer et s’imposer souverainement devant la logique des citoyens sidérés ou devant l’esprit de la loi. L’exemple de la réaction assez tardive du chef de l’Etat suite à la corruption avérée dans laquelle s’était noyé un de ses ministres exprime ce vaste décalage de perception qui nuit à la cohésion et la « concorde » nationale. Après avoir été coupable de dilapidation des fonds publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence et de bradage de la plus importante société nationale qui ont causé un préjudice se chiffrant en milliards de dollars au profit de ses proches et au profit de sociétés américaines, un légendaire ministre rappelé, a été simplement prié d’aller retourner à son Far West et fut remplacé par un autre ministre. Au moment où un vol à tire est passible d’une peine pouvant aller à l’emprisonnement, relâcher un ministre pourri sans lui demander aucun compte sur sa gestion catastrophique, traduit le fossé dans l’entendement qui sépare ceux qui appartiennent à l’Etat et ceux qui l’observent de l’extérieur est subissent ses lois… à la lettre.
La lettre qu’a envoyée à El Mouhtarem une personne se présentant comme diplomate afin d’exprimer sa solidarité envers un de ses collèges, qui a maille à partir avec la justice française, porte ce genre réflexion. L’auteur de la lettre dit qu’il parle au nom d’un groupe de confrères attristés par le sort de monsieur Hasseni. Bien qu’imprégnée de beaucoup de tact et de diplomatie, cette lettre ne soulève pas moins d’interrogations sur la logique le système de valeur, sur lesquels elle se base et ne reflète pas elle aussi un décalage de perception entre « le gratin de la société » auquel appartiennent le groupe des diplomates et le reste de l’Algérie. Examinons de près deux points qui me paraissent contestables, voire blâmables.
Les deux points concernent deux sujets qui sortent du cadre de la solidarité de corporations et jettent des doutes sur l’objectif principal de la lettre. C’est à se demander à qui s’adresse la solidarité de ces diplomates représentés par l’auteur de la lettre. Est-ce qu’ils viennent réaffirmer leur solidarité avec monsieur Hasseni simplement ou bien défend-il l’intégrité du journaliste Ameur Ouali en appelant au respect de l’éthique qu’El Mouhtarem aurait transgressée ou bien encore les diplomates viennent au secours d’une autre « corporation » en minimisant son emprise sur la société algérienne et en la présentant sous un jour plus humain. C’est probablement tout ça à la fois et c’est ce qui est problématique dans la lettre.
Pour la solidarité avec Hasseni, il n’y a rien à ajouter, il est dans son droit de soutenir son confrère en son âme et conscience. Monsieur Hasseni n’est pas connu par le grand public pour que celui-ci puisse s’exprimer sur son identité réelle. L’affaire suit son cours et on espère que la vérité triomphera quelle que soit sa nature.
Par contre là où le bât blesse c’est quand l’auteur de la lettre dépasse ce cadre de solidarité pour exprimer son soutien à un journaliste qui n’a cessé d’influencer l’opinion publique avec des manières peu honorables pour ne pas dire viles. Et c’est là que la perception entre en jeu entre la haute société et la basse société. Si pour le diplomate Ameur Ouali est un journaliste respectueux de l’éthique observant la déontologie de sa profession, pour une bonne partie des Algériens qui ont l’occasion de le lire, il n’en est rien. Mais probablement les écrits de ce journaliste indélicat cadrent bien avec le système de pensée du diplomate. Formaté de dans l’école de l’Etat autoritaire, ce dernier ne tiquera pas aux graves accusations qu’a proférées Ameur Ouali contre le colonel Samraoui qui serait tantôt « déserteur de l’armée » au lieu de dissident, tantôt fabulateur et d’autres fois « félon ». Il n’a cessé de le jeter en pâtre à l’opinion publique. Comment dès lors ne pas affirmer qu’entre l’éthique et ce journaliste il y a un grand fossé. Comment ne pas croire qu’il veut peser un tant soit peu sur le cours du procès en décrédibilisant honteusement un témoin. Un fossé créé justement par le DRS. Lorsque l’on sait que le patron de Ameur Ouali a assisté aux funérailles de Smaïn Lamari, le comportement du journaliste, par le principe de cause à effet devient clair…
Je trouve lamentable qu’un diplomate puisse s’immiscer dans une cause si peu défendable au lieu de s’intéresser uniquement au sort de son confrère.
Plus grave encore est la tentative vaine de l’auteur de la lettre à banaliser le comportement des agents des services de renseignements algériens. Là aussi, la différence entre le système des valeurs entre clients du pouvoir et la majorité du peuple algérien entre en jeu. Il est inutile de s’étaler trop sur cette question qui a fait couler beaucoup d’encre, mais il serait possible de dessiller les yeux aux crédules du « gratin de la société » qui vivrait sur leur nuage et dans les bureaux capitonnés en rappelant simplement quelques faits. Messieurs les diplomates, vous représentez un pays dans lequel un Algérien croupit dans les geôles depuis plus de dix ans sans jugement grâce à la loi du DRS. Messieurs les diplomates, l’Algérie ne veut pas ouvrir les dossiers des dizaines de milliers de disparus grâce à la puissance de DRS. Messieurs les diplomates, il y a des centaines de témoignages d’Algériens qui ont subi des tortures dans les geôles des services. Ou bien ces Algériens ne seraient-ils pas de la même extraction que la vôtre ? Messieurs les diplomates, ouvrez vos yeux et tendez vos oreilles, de temps en temps, à ce que dit la plèbe. Vous êtes peut-être un petit peu déconnectés de la réalité.
Pour comprendre la logique et le raisonnement de quelqu’un qui appartient au système algérien, qui le représente et le défend avec plus ou moins de diplomatie, il faut… appartenir au système, car il y a une incompatibilité totale. C’est une logique qui a ses principes et ses lois qui s’entrecroisent rarement avec celle connue universellement. Même les sentiments et les systèmes des valeurs divergent grandement comme on va le voir avec la solidarité qui s’est exprimée çà et là à l’occasion de l’affaire de Hasseni.
Pas plus loin qu’hier, on a vu que ce qui est un crime et un génocide pour le commun des mortels devient dans la logique d’un commis de l’Etat, une simple erreur de parcours de l’Etat, pour laquelle il est honteux d’en faire des vagues ou de boucan sur la place publique. Un besoin aussi naturel et aussi humain que la recherche de la vérité et la justice par les familles des victimes des « erreurs de l’Etat », devient pour le même commis qui parle au nom de l’Etat dans un langage très diplomatique, un simple point de vue respectable, mais contestable, car chimérique et de ce fait, un point de vue ridicule comme les procès ridicules qu’il engendrerait. Et bien sûr l’Etat n’a pas vraiment le gout pour s’amuser aux procès formels et ridicules contre ses propres erreurs comme l’a proclamé ce commis.
Les exemples ne manquent pas sur la dichotomie édifiante entre la logique « étatique » qui, pour des considérations conjoncturelles impérieuses, est venue se déployer et s’imposer souverainement devant la logique des citoyens sidérés ou devant l’esprit de la loi. L’exemple de la réaction assez tardive du chef de l’Etat suite à la corruption avérée dans laquelle s’était noyé un de ses ministres exprime ce vaste décalage de perception qui nuit à la cohésion et la « concorde » nationale. Après avoir été coupable de dilapidation des fonds publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence et de bradage de la plus importante société nationale qui ont causé un préjudice se chiffrant en milliards de dollars au profit de ses proches et au profit de sociétés américaines, un légendaire ministre rappelé, a été simplement prié d’aller retourner à son Far West et fut remplacé par un autre ministre. Au moment où un vol à tire est passible d’une peine pouvant aller à l’emprisonnement, relâcher un ministre pourri sans lui demander aucun compte sur sa gestion catastrophique, traduit le fossé dans l’entendement qui sépare ceux qui appartiennent à l’Etat et ceux qui l’observent de l’extérieur est subissent ses lois… à la lettre.
De Hasseni, de Ameur Ouali et du DRS le quel est innocent…
La lettre qu’a envoyée à El Mouhtarem une personne se présentant comme diplomate afin d’exprimer sa solidarité envers un de ses collèges, qui a maille à partir avec la justice française, porte ce genre réflexion. L’auteur de la lettre dit qu’il parle au nom d’un groupe de confrères attristés par le sort de monsieur Hasseni. Bien qu’imprégnée de beaucoup de tact et de diplomatie, cette lettre ne soulève pas moins d’interrogations sur la logique le système de valeur, sur lesquels elle se base et ne reflète pas elle aussi un décalage de perception entre « le gratin de la société » auquel appartiennent le groupe des diplomates et le reste de l’Algérie. Examinons de près deux points qui me paraissent contestables, voire blâmables.
Les deux points concernent deux sujets qui sortent du cadre de la solidarité de corporations et jettent des doutes sur l’objectif principal de la lettre. C’est à se demander à qui s’adresse la solidarité de ces diplomates représentés par l’auteur de la lettre. Est-ce qu’ils viennent réaffirmer leur solidarité avec monsieur Hasseni simplement ou bien défend-il l’intégrité du journaliste Ameur Ouali en appelant au respect de l’éthique qu’El Mouhtarem aurait transgressée ou bien encore les diplomates viennent au secours d’une autre « corporation » en minimisant son emprise sur la société algérienne et en la présentant sous un jour plus humain. C’est probablement tout ça à la fois et c’est ce qui est problématique dans la lettre.
Pour la solidarité avec Hasseni, il n’y a rien à ajouter, il est dans son droit de soutenir son confrère en son âme et conscience. Monsieur Hasseni n’est pas connu par le grand public pour que celui-ci puisse s’exprimer sur son identité réelle. L’affaire suit son cours et on espère que la vérité triomphera quelle que soit sa nature.
L’éthique a été respecté dites-vous?
Par contre là où le bât blesse c’est quand l’auteur de la lettre dépasse ce cadre de solidarité pour exprimer son soutien à un journaliste qui n’a cessé d’influencer l’opinion publique avec des manières peu honorables pour ne pas dire viles. Et c’est là que la perception entre en jeu entre la haute société et la basse société. Si pour le diplomate Ameur Ouali est un journaliste respectueux de l’éthique observant la déontologie de sa profession, pour une bonne partie des Algériens qui ont l’occasion de le lire, il n’en est rien. Mais probablement les écrits de ce journaliste indélicat cadrent bien avec le système de pensée du diplomate. Formaté de dans l’école de l’Etat autoritaire, ce dernier ne tiquera pas aux graves accusations qu’a proférées Ameur Ouali contre le colonel Samraoui qui serait tantôt « déserteur de l’armée » au lieu de dissident, tantôt fabulateur et d’autres fois « félon ». Il n’a cessé de le jeter en pâtre à l’opinion publique. Comment dès lors ne pas affirmer qu’entre l’éthique et ce journaliste il y a un grand fossé. Comment ne pas croire qu’il veut peser un tant soit peu sur le cours du procès en décrédibilisant honteusement un témoin. Un fossé créé justement par le DRS. Lorsque l’on sait que le patron de Ameur Ouali a assisté aux funérailles de Smaïn Lamari, le comportement du journaliste, par le principe de cause à effet devient clair…
Je trouve lamentable qu’un diplomate puisse s’immiscer dans une cause si peu défendable au lieu de s’intéresser uniquement au sort de son confrère.
Plus grave encore est la tentative vaine de l’auteur de la lettre à banaliser le comportement des agents des services de renseignements algériens. Là aussi, la différence entre le système des valeurs entre clients du pouvoir et la majorité du peuple algérien entre en jeu. Il est inutile de s’étaler trop sur cette question qui a fait couler beaucoup d’encre, mais il serait possible de dessiller les yeux aux crédules du « gratin de la société » qui vivrait sur leur nuage et dans les bureaux capitonnés en rappelant simplement quelques faits. Messieurs les diplomates, vous représentez un pays dans lequel un Algérien croupit dans les geôles depuis plus de dix ans sans jugement grâce à la loi du DRS. Messieurs les diplomates, l’Algérie ne veut pas ouvrir les dossiers des dizaines de milliers de disparus grâce à la puissance de DRS. Messieurs les diplomates, il y a des centaines de témoignages d’Algériens qui ont subi des tortures dans les geôles des services. Ou bien ces Algériens ne seraient-ils pas de la même extraction que la vôtre ? Messieurs les diplomates, ouvrez vos yeux et tendez vos oreilles, de temps en temps, à ce que dit la plèbe. Vous êtes peut-être un petit peu déconnectés de la réalité.
Je m’excuse des erreurs qui ont pu glissé dans mon précédant commentaire. J’e soumet le même commetaire avec les corrections qui s’imposent. Merci
Messieurs les diplomates, ouvrez les yeux!
Les logiques des uns et des autres
Pour comprendre la logique et le raisonnement de quelqu’un qui appartient au système algérien, qui le représente et le défend avec plus ou moins de diplomatie, il faut… appartenir au système, car il y a une incompatibilité totale avec la logique et le raisonnement de ceux qui n’appartiennent pas à l’Etat ou ne subissent pas on influence. C’est une logique qui a ses principes et ses lois qui s’entrecroise rarement avec celle connue universellement. Même les sentiments et les systèmes des valeurs divergent grandement comme on va le voir avec la solidarité qui s’est exprimée çà et là à l’occasion de l’affaire de Hasseni.
Pas plus loin qu’hier, on a vu que ce qui est un crime et un génocide pour le commun des mortels devient dans la logique d’un commis de l’Etat, une simple erreur de parcours de l’Etat, pour laquelle il est honteux d’en faire des vagues ou de boucan sur la place publique. Un besoin aussi naturel et aussi humain que la recherche de la vérité et la justice par les familles des victimes des « erreurs de l’Etat », devient pour le même commis qui parle au nom de l’Etat dans un langage très diplomatique, un simple point de vue respectable, mais contestable, car chimérique et de ce fait, un point de vue ridicule comme les procès ridicules qu’il engendrerait. Et bien sûr l’Etat n’a pas vraiment le goût pour s’amuser aux parodies des procès ridicules contre ses propres erreurs comme l’a proclamé ce commis.
Les exemples ne manquent pas sur la dichotomie édifiante entre la logique « étatique » qui, pour des considérations conjoncturelles impérieuses, est s’est déployée et s’est imposée souverainement aux citoyens, la logique de ces derniers sidérés ou celle de l’esprit de la loi. L’exemple de la réaction assez tardive du chef de l’Etat suite à la corruption avérée dans laquelle s’était noyé un de ses ministres exprime ce vaste décalage de perception qui nuit à la cohésion et la « concorde » nationale. Après avoir été coupable de dilapidation des fonds publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence et de bradage de la plus importante société nationale qui ont causé un préjudice se chiffrant en milliards de dollars au profit de ses proches et au profit de sociétés américaines, un légendaire ministre rappelé, a été simplement prié d’aller retourner à son Far West et fut remplacé par un autre ministre. Au moment où un vol à tire est passible d’une peine pouvant aller à l’emprisonnement, relâcher un ministre pourri sans lui demander aucun compte sur sa gestion catastrophique, traduit le fossé dans l’entendement qui sépare ceux qui appartiennent à l’Etat et ceux qui l’observent de l’extérieur est subissent ses lois… à la lettre.
De Hasseni, de Ameur Ouali et du DRS le quel est innocent…
La lettre qu’a envoyée à El Mouhtarem une personne se présentant comme diplomate afin d’exprimer sa solidarité envers un de ses collèges, qui a maille à partir avec la justice française, porte à ce genre réflexion. L’auteur de la lettre dit qu’il parle au nom d’un groupe de confrères attristés par le sort de monsieur Hasseni. Bien qu’imprégnée de beaucoup de tact et de diplomatie, cette lettre ne soulève pas moins d’interrogations sur la logique et le système de valeur sur lesquels elle se base et reflète elle aussi un décalage de perception entre « le gratin de la société » auquel appartiennent le groupe des diplomates et le reste de l’Algérie. Examinons de près deux points qui me paraissent contestables, voire blâmables.
Les deux points concernent deux sujets qui sortent du cadre de la solidarité de corporation et jettent des doutes sur l’objectif principal de la lettre. C’est à se demander à qui s’adresse la solidarité de ces diplomates représentés par l’auteur de la lettre. Est-ce qu’ils viennent réaffirmer leur solidarité avec monsieur Hasseni simplement ou bien défendent-ils l’intégrité du journaliste Ameur Ouali en appelant au respect de l’éthique qu’El Mouhtarem aurait transgressée ou bien encore les diplomates viennent-ils au secours d’une autre « corporation ». le DRS, en minimisant son emprise sur la société algérienne et en le présentant sous un jour plus humain. C’est probablement tout ça à la fois et c’est ce qui est problématique dans la lettre.
Pour la solidarité avec Hasseni, il n’y a rien à ajouter, il est dans son droit de soutenir son confrère en son âme et conscience. Monsieur Hasseni n’est pas connu par le grand public pour que celui-ci puisse s’exprimer sur son identité réelle. L’affaire suit son cours et on espère que la vérité triomphera quelle que soit sa nature.
L’éthique a été respectée dites-vous?
Par contre là où le bât blesse c’est quand l’auteur de la lettre dépasse ce cadre de solidarité pour exprimer un autre son soutien, celui pour un journaliste qui n’a cessé d’influencer l’opinion publique avec des manières peu honorables pour ne pas dire viles. Et c’est là que la différence de perception entre en jeu entre la haute société et la basse société. Si pour le diplomate Ameur Ouali est un journaliste respectueux de l’éthique observant la déontologie de sa profession, pour une bonne partie des Algériens qui ont eu l’occasion de le lire, il n’en est rien. Mais probablement les écrits de ce journaliste indélicat cadrent bien avec le système de pensée de ce diplomate. Formaté de dans l’école de l’Etat autoritaire, ce dernier ne verra pas d’entorse à l’éthique et ne tiquera pas aux graves accusations qu’a proférées Ameur Ouali contre le colonel Samraoui qui serait tantôt « déserteur de l’armée » au lieu de dissident, tantôt fabulateur et d’autres fois « félon ». Il n’a cessé de le jeter en pâtre à l’opinion publique. Comment dès lors ne pas affirmer qu’entre l’éthique et ce journaliste il y a un grand fossé. Comment ne pas croire qu’il veut peser un tant soit peu sur le cours du procès en décrédibilisant honteusement un témoin. Un fossé créé justement par le DRS. Lorsque l’on sait que le patron de Ameur Ouali a assisté aux funérailles de Smaïn Lamari, le comportement du journaliste, par le principe de cause à effet devient clair…
Je trouve lamentable qu’un diplomate puisse s’immiscer dans une cause si peu défendable au lieu de s’intéresser uniquement au sort de son confrère.
Plus grave encore est la tentative vaine de l’auteur de la lettre à banaliser le comportement des agents des services de renseignements algériens. Là aussi, la différence entre le système des valeurs entre clients du pouvoir et la majorité du peuple algérien entre en jeu. Il est inutile de s’étaler trop sur cette question qui a fait couler beaucoup d’encre, mais il serait possible de dessiller les yeux aux crédules du « gratin de la société » qui vivrait sur leur nuage et dans les bureaux capitonnés en rappelant simplement quelques faits. Messieurs les diplomates, vous représentez un pays dans lequel un Algérien croupit dans les geôles depuis plus de dix ans sans jugement grâce à la loi du DRS. Messieurs les diplomates, l’Algérie ne veut pas ouvrir les dossiers des dizaines de milliers de disparus grâce à la puissance de DRS. Messieurs les diplomates, il y a des centaines de témoignages d’Algériens qui ont subi des tortures dans les geôles des services. Ou bien ces Algériens ne seraient-ils pas de la même extraction que la vôtre ? Messieurs les diplomates, ouvrez vos yeux et tendez vos oreilles, de temps en temps, à ce que dit la plèbe. Vous êtes peut-être un petit peu déconnectés de la réalité.
[....je suis moi-même diplomate algérien et je peux vous dire que nous sommes nombreux à avoir....] :
Se referer a ma reponse suivante :
1)-Comme decrit sur plusieurs forums [via internet/blogosphere et journeaux
electronique en ligne]:
Pourquoi ne pas juger le criminel/les coupables et les top commanditaires a Alger/actuellement en Algerie : Toute personne dotee d’un minima de rationalite ne comprend pas qu’une justice d’un pays [dans le sens de justice] puisse ignorer cette trivialite : le ou les coupables etant connus [il semble bien] ainsi que les anciens chefs [ordonateurs] et les commanditaires nationaux au pays [Algerie].
2)-(Indirectement lie : mais pratiquement tout est directement ou
indirectement lie dans ce monde) , alors:
Mon experience et celle d’autres emigres (vieux de la vieille, des dizaines d’annees dans l’emigration) montre que :
Il existent beaucoup de diplomates pretentieux, arrogants!, etc… Algeriens “qui non seulement embetent via abus [utilisant le chantage! directe, indirecte de delivrance de paperasse: CNI, passeports, etc.. conditionnes par l’obligation “voir chantage? indirecte?” d’immatriculation-fichage!..] embetent “mes proches et moi avont des preuves concrete en main” via abus donc de fonction, les ressortissants algeriens residents a l’etranger” (comme ca devrait exister pour certains pays du tiers monde, essentiellement dans les republiques bananiere avec dirigeants genre imposteurs, clandestins!?, voir genre delinquants!?.. naviguant au jour le jour, obstines “say: DJI’AN” obstines principalement par la retention non-stop [depuis 62] du koursi a n’importe quel prix!, genre après soi le deluge et racler le fond des ressources minieres, petroliere, un don de la nature saharienne…. ) , parmi ces diplomates donc “et ce depuis 62!”: existent des diplomates qui sont restes plus que la dizaine d’annees en poste a l’etranger (dans des ambassades et consulats) mais qui n’ont pas fait beneficier, ne serait-ce que d’un seul dollar [ou d’un euro] le trésor algérien ! via un travail productif [avec resultat directe ou indirecte] a l’aval ..
En fait que restera-t’il comme results provided [by those kinds of Ambassadors] to Algeria since 1962 (in terms of reliable and concrete creation of jobs for the millions of young algerians jobless « c.a.d des harragas, drogues, candidats au suicide, delinquants etc.. potentiels« with jobs creation stemming from concrete installation of foreign companies with the transfert of technology [and added value] at the downstream in Algeria, encouragement and expansion of tourism in Algeria « Ref : to the french written tourism !-guide-book [le PETIT-FUTE] !!?? « , etc..).
According thus to the concrete situation from 1962 till 2010: it seems [at less there’s some ….?] that concrete results (as the direct or indirect incitement to get added values for industry, agriculture, tourism, technology transfer, education, arts, .. etc..for Algeria) provided by several Algeria Ambassadors etc.. [diplomats when in post in foreign countries].. approach the Zero.. , c.a.d que l’on a a faire quelquefois ? /plusieurs fois a des ambassadeurs [consuls, et simples diplomates,...] parasites anarchique et/ou predateurs beznassa-affairistes etc… [incluant aussi des vicelards a l’age de la quarantaine, cinquantaine ! et plus, etc..quoique maries !, mais genre depraves affames sexuel coureurs non-stop ! de jupons et presque abonnes d’endroits de debauche «endroits de… etc.. « via petro-dollars saharien [pendant qu’au meme moment a Alger, Annaba, etc... d’autres algeriens sont a la recherche de dechets de victuailles dans les poubelles..] , sans oublier que l’on a a faire aussi quelquefois ? /plusieurs fois a des ambassadeurs [consuls, et simples diplomates,...] parasites anarchique et/ou predateurs ayant meme transformes de temps a autre leur propre lieu «ambassade !.. « de travail ! HA-HA-HA de la diplomacie vers un lieu de draguage et debauche !: etonnant mais vrai !..], sans compter les cas [voir plusieurs cas] d’ambassadeurs bougres [plus consuls, et simples bougres diplomates,...] osant ! se comporter avec une mechancete inouie , avec arrogance , insolence /comportement de pretentieux !/ et un mepris stupide et/ou audacieux !, etc.. envers des residents emigres algerien [incluant des intellectuels residents vieux de la vieille et quelquefois incluant some world renown scientists !...] , ces emigres algerien a l’etranger qui ne comprennent pas encore ! comment ? et en vertu de quelle legitimite ? [depuis 62 !] ces quelques bougres ambassadeurs [consuls, et simples bougres diplomates,...] puissent etre « osent etre !« representants diplomatique de l’Algerie via une direction centrale-interne clandestine !?! depuis 62 ! [direction centrale-interne clandestine !?! d’imposteurs elue par quel peuple ?].
! Comme mes proches [la plupart intellectuels incluant someones who have received a class-one « audacious filthy [ordurieuses] mouth outputs from an ambassador some years ago , this ambassador designe ?/supporte-elu par qui ?/comment ? [imbu ! au max of the max ! de sa personne alors que c’est un simple bougre ..... ! pensant etre un bahr el-ouloum !] ambassador is still in post elsewhere« ] Comme mes proches donc et moi-meme sommes localises dans diverses continents et durant des dizaines d’annees d’emigration [avec pas mal de data accumules durant ces dizaines d’annees sur des diplomates ! Algeriens a l’etranger : Nous possedons donc des datas desquels se degagent aussi des informations donnant la nausee concernant certains diplomates algeriens « ambassadeurs, consuls et autres diplomates, etc...« ]..
Finalement si ce diplomate [ayant poste un post dans ce blog] donne son nom complet nous pourrions via une recherche operationelle sur nos datas/archives possiblement trouver le nom de ce diplomate auteur du post sur ce blog et extraire ainsi les avis d’algeriens emigres ayant contactes ? directement ? ou indirectement ? ce diplomate Amar [c.ad trouver si ce diplomate fait partie ? ou non ? de l’historique cauchemardesque de la diplomatie algerienne elue par qui ? via qui ? depuis 62 !]..
N.B. : (de notre part) Ecrire avec utilisation de pseudo n’est nullement cause par un but de dissimulation [ou de cache-cache de notre part] mais cause uniquement par le fait de ne pas vouloir prodiguer des problemes a d’autres personnes [qui pourraient etre victimes de pratiques fourbes, laches, revanchardes ?] , pratiques habituelles [du depuis 62] dans des environnements de non-droit et specialement dans l’etat actuel d’environnement d’etat de siège [ou etat d’urgence, etc..] actuellement normalise, symbole d’une justice denuee de son sens et d’une democratie inexistante ou tendant vers zero.
Et MECILLI dans tous ça Monsieur le « consul »
Le seul sentiment qu’on devrait avoir et pour mecilli et sa famille et surtout ses enfants qui ont vecu dans l’orphelinat, et pour quoi vous nous demandez pas alors au pouvoir de donner le veritable commanditaire et le criminel bien sur qui se porte bien a hydra.
Cela ne m’étonne guère puisque venant d’un diplomate qui a un fil à la patte. Dans tout le réquisitoire fait à notre ami El-Mouhtarem, le diplomate au fil à la patte n’a à aucun moment parlé de la mort de Ali Mécili. Avant de s’attaquer à d’autres il y a lieu de balayer devant votre porte messieurs les derniers de classe. Vous êtes la risée des nations civilisées. Au lieu de dénoncer un crime commis contre un avocat-moudjahid-algérien et défenseur des droits de l’homme, vous vous pleurnicher pour un diplomate au fil à la patte. Dans le cas où Hasseni n’est pour rien dans la mort de Mécili alors qu’attendez-vous pour nous balancer le nom du criminel-assassin.
Extrait de:
Précisions du colonel SAMRAOUI
Dans le cadre de l´affaire Mecili, je ne me tiens qu’à ma conscience, et les tentatives du DRS cherchant à modifier mon témoignage n´auront aucun impact sur ma volonté et ma quête de vérité et de justice.
Je tiens aussi à préciser que je n´ai jamais rencontré en Allemagne ou ailleurs ce Mourad Halouane (que je ne connais d´ailleurs pas), pour la simple raison que ma rupture avec le DRS est consommée depuis belle lurette.
Si mes souvenirs sont exacts, la dernière fois que j´ai rencontré un cadre du DRS remonte à juillet 2002 lors du fameux procès de la « sale guerre ».
Brader mes principes contre une amnistie ! Ca se voit que le journaliste qui a commis l´article ne me connaît pas.
Je confirme enfin que les propos rapportés par l´article paru dans Rue 89 sont authentiques. Sachant que l´affaire Mecili est toujours en cours d´instruction, je ne peux malheureusement pas révéler l´identité de «Mustapha » qui est un ami de longue date pour qui j´ai du respect et de la considération. Ce dernier m´avait contacté sur insistance des généraux Toufik et Attafi, mais je suis resté inflexible à l´appel des sirènes ou pour être plus précis, tant « à la carotte qu´au bâton ».
Je jure devant Dieu en ce mois sacré du Ramadhan que tout ce qui est écrit ci-dessus est vrai.
Le 28.08.2010.
M. Samraoui
http://www.lequotidienalgerie.org/2010/08/28/precisions-du-colonel-samraoui/
La famille Mecili et SURTOUT le feu Maitre A. Mecili ont tout simplement le droit á une justice si ce n’est pas de leur pays respectif peut-etre d’un droit international reconnu par les 30 articles des droits de l’homme de l’ONU
10 DECEMBRE 2008 | 60e ANNIVERSAIRE DE LA DECLARATION UNIVERSELLE
__La Déclaration universelle des droits de l’homme est le principal texte international affirmant les droits inaliénables et inviolables de tous les membres de la famille humaine
http://www.aidh.org/30Articles/30.htm
Qu’attend l’Algerie OFF-icielle de remettre Amellou l’executeur du crime qui est sous la protection du regime dictateur d’alger?
Qu’attend le france OFF-icielle pour rendre serieusement justice á une femme francaise et europeenne dans son propre pays?
Et ONU? pourquoi ce silence? est-ce Maitre Mecili n’est pas un etre humain ?
Par ex. Rafik Hariri et la reaction de l’ONU !!!!!!
est-ce ONU differe entre les etres humains?
Tendrement votre
je voudrai bien vous posez qlq question mr le diplomate _quelle poste ocupiez vous dans les annees 80 et 90 et ql salaire avez vous eu quand la majorite de nous soufraient la mort et la famine .j espere que tu n etais pas de ceux qui nettoyer la fassade du regime criminel a l exterieur on s appuiyant sur la phrase (servir l algerie) pcq pour servir l algerie il faut aider les algeriens que sans eux l algerie n aurai jamais exister .
tout personne qui participe ou participait au maintien du regime de n importe ql facon n as jamais servis lalgerie il sert ses maitres du pouvoir et ses interets personel.
voila ce que je pense de vous me le diplomate laissez nous tranquille ne venez pas pleurnicher quand vous perdez le lux que avez eu toute ces annees.
sans parler des incompetances de nos ambassades et nos consulats a l etranger que c 1 autre sujet .
C’est bien de constater que le témoin à charge confirme ne pas avoir eu peur et livré un témoignage de bonne foi en disculpant une personne qu’il sait innocente.
Pour comprendre la logique et le raisonnement de quelqu’un qui appartient au système algérien, qui le représente et le défend avec plus ou moins de diplomatie, il faut… appartenir au système, car il y a une incompatibilité totale. C’est une logique qui a ses principes et ses lois qui s’entrecroisent rarement avec celle connue universellement. Même les sentiments et les systèmes des valeurs divergent grandement comme on va le voir avec la solidarité qui s’est exprimée çà et là à l’occasion de l’affaire de Hasseni.
Pas plus loin qu’hier, on a vu que ce qui est un crime et un génocide pour le commun des mortels devient dans la logique d’un commis de l’Etat, une simple erreur de parcours de l’Etat, pour laquelle il est honteux d’en faire des vagues ou de boucan sur la place publique. Un besoin aussi naturel et aussi humain que la recherche de la vérité et la justice par les familles des victimes des « erreurs de l’Etat », devient pour le même commis qui parle au nom de l’Etat dans un langage très diplomatique, un simple point de vue respectable, mais contestable, car chimérique et de ce fait, un point de vue ridicule comme les procès ridicules qu’il engendrerait. Et bien sûr l’Etat n’a pas vraiment le gout pour s’amuser aux procès formels et ridicules contre ses propres erreurs comme l’a proclamé ce commis.
Les exemples ne manquent pas sur la dichotomie édifiante entre la logique « étatique » qui, pour des considérations conjoncturelles impérieuses, est venue se déployer et s’imposer souverainement devant la logique des citoyens sidérés ou devant l’esprit de la loi. L’exemple de la réaction assez tardive du chef de l’Etat suite à la corruption avérée dans laquelle s’était noyé un de ses ministres exprime ce vaste décalage de perception qui nuit à la cohésion et la « concorde » nationale. Après avoir été coupable de dilapidation des fonds publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence et de bradage de la plus importante société nationale qui ont causé un préjudice se chiffrant en milliards de dollars au profit de ses proches et au profit de sociétés américaines, un légendaire ministre rappelé, a été simplement prié d’aller retourner à son Far West et fut remplacé par un autre ministre. Au moment où un vol à tire est passible d’une peine pouvant aller à l’emprisonnement, relâcher un ministre pourri sans lui demander aucun compte sur sa gestion catastrophique, traduit le fossé dans l’entendement qui sépare ceux qui appartiennent à l’Etat et ceux qui l’observent de l’extérieur est subissent ses lois… à la lettre.
La lettre qu’a envoyée à El Mouhtarem une personne se présentant comme diplomate afin d’exprimer sa solidarité envers un de ses collèges, qui a maille à partir avec la justice française, porte ce genre réflexion. L’auteur de la lettre dit qu’il parle au nom d’un groupe de confrères attristés par le sort de monsieur Hasseni. Bien qu’imprégnée de beaucoup de tact et de diplomatie, cette lettre ne soulève pas moins d’interrogations sur la logique le système de valeur, sur lesquels elle se base et ne reflète pas elle aussi un décalage de perception entre « le gratin de la société » auquel appartiennent le groupe des diplomates et le reste de l’Algérie. Examinons de près deux points qui me paraissent contestables, voire blâmables.
Les deux points concernent deux sujets qui sortent du cadre de la solidarité de corporations et jettent des doutes sur l’objectif principal de la lettre. C’est à se demander à qui s’adresse la solidarité de ces diplomates représentés par l’auteur de la lettre. Est-ce qu’ils viennent réaffirmer leur solidarité avec monsieur Hasseni simplement ou bien défend-il l’intégrité du journaliste Ameur Ouali en appelant au respect de l’éthique qu’El Mouhtarem aurait transgressée ou bien encore les diplomates viennent au secours d’une autre « corporation » en minimisant son emprise sur la société algérienne et en la présentant sous un jour plus humain. C’est probablement tout ça à la fois et c’est ce qui est problématique dans la lettre.
Pour la solidarité avec Hasseni, il n’y a rien à ajouter, il est dans son droit de soutenir son confrère en son âme et conscience. Monsieur Hasseni n’est pas connu par le grand public pour que celui-ci puisse s’exprimer sur son identité réelle. L’affaire suit son cours et on espère que la vérité triomphera quelle que soit sa nature.
Par contre là où le bât blesse c’est quand l’auteur de la lettre dépasse ce cadre de solidarité pour exprimer son soutien à un journaliste qui n’a cessé d’influencer l’opinion publique avec des manières peu honorables pour ne pas dire viles. Et c’est là que la perception entre en jeu entre la haute société et la basse société. Si pour le diplomate Ameur Ouali est un journaliste respectueux de l’éthique observant la déontologie de sa profession, pour une bonne partie des Algériens qui ont l’occasion de le lire, il n’en est rien. Mais probablement les écrits de ce journaliste indélicat cadrent bien avec le système de pensée du diplomate. Formaté de dans l’école de l’Etat autoritaire, ce dernier ne tiquera pas aux graves accusations qu’a proférées Ameur Ouali contre le colonel Samraoui qui serait tantôt « déserteur de l’armée » au lieu de dissident, tantôt fabulateur et d’autres fois « félon ». Il n’a cessé de le jeter en pâtre à l’opinion publique. Comment dès lors ne pas affirmer qu’entre l’éthique et ce journaliste il y a un grand fossé. Comment ne pas croire qu’il veut peser un tant soit peu sur le cours du procès en décrédibilisant honteusement un témoin. Un fossé créé justement par le DRS. Lorsque l’on sait que le patron de Ameur Ouali a assisté aux funérailles de Smaïn Lamari, le comportement du journaliste, par le principe de cause à effet devient clair…
Je trouve lamentable qu’un diplomate puisse s’immiscer dans une cause si peu défendable au lieu de s’intéresser uniquement au sort de son confrère.
Plus grave encore est la tentative vaine de l’auteur de la lettre à banaliser le comportement des agents des services de renseignements algériens. Là aussi, la différence entre le système des valeurs entre clients du pouvoir et la majorité du peuple algérien entre en jeu. Il est inutile de s’étaler trop sur cette question qui a fait couler beaucoup d’encre, mais il serait possible de dessiller les yeux aux crédules du « gratin de la société » qui vivrait sur leur nuage et dans les bureaux capitonnés en rappelant simplement quelques faits. Messieurs les diplomates, vous représentez un pays dans lequel un Algérien croupit dans les geôles depuis plus de dix ans sans jugement grâce à la loi du DRS. Messieurs les diplomates, l’Algérie ne veut pas ouvrir les dossiers des dizaines de milliers de disparus grâce à la puissance de DRS. Messieurs les diplomates, il y a des centaines de témoignages d’Algériens qui ont subi des tortures dans les geôles des services. Ou bien ces Algériens ne seraient-ils pas de la même extraction que la vôtre ? Messieurs les diplomates, ouvrez vos yeux et tendez vos oreilles, de temps en temps, à ce que dit la plèbe. Vous êtes peut-être un petit peu déconnectés de la réalité.
Messieurs les diplomates, ouvrez les yeux!
Les logiques des uns et des autres
Pour comprendre la logique et le raisonnement de quelqu’un qui appartient au système algérien, qui le représente et le défend avec plus ou moins de diplomatie, il faut… appartenir au système, car il y a une incompatibilité totale. C’est une logique qui a ses principes et ses lois qui s’entrecroisent rarement avec celle connue universellement. Même les sentiments et les systèmes des valeurs divergent grandement comme on va le voir avec la solidarité qui s’est exprimée çà et là à l’occasion de l’affaire de Hasseni.
Pas plus loin qu’hier, on a vu que ce qui est un crime et un génocide pour le commun des mortels devient dans la logique d’un commis de l’Etat, une simple erreur de parcours de l’Etat, pour laquelle il est honteux d’en faire des vagues ou de boucan sur la place publique. Un besoin aussi naturel et aussi humain que la recherche de la vérité et la justice par les familles des victimes des « erreurs de l’Etat », devient pour le même commis qui parle au nom de l’Etat dans un langage très diplomatique, un simple point de vue respectable, mais contestable, car chimérique et de ce fait, un point de vue ridicule comme les procès ridicules qu’il engendrerait. Et bien sûr l’Etat n’a pas vraiment le gout pour s’amuser aux procès formels et ridicules contre ses propres erreurs comme l’a proclamé ce commis.
Les exemples ne manquent pas sur la dichotomie édifiante entre la logique « étatique » qui, pour des considérations conjoncturelles impérieuses, est venue se déployer et s’imposer souverainement devant la logique des citoyens sidérés ou devant l’esprit de la loi. L’exemple de la réaction assez tardive du chef de l’Etat suite à la corruption avérée dans laquelle s’était noyé un de ses ministres exprime ce vaste décalage de perception qui nuit à la cohésion et la « concorde » nationale. Après avoir été coupable de dilapidation des fonds publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence et de bradage de la plus importante société nationale qui ont causé un préjudice se chiffrant en milliards de dollars au profit de ses proches et au profit de sociétés américaines, un légendaire ministre rappelé, a été simplement prié d’aller retourner à son Far West et fut remplacé par un autre ministre. Au moment où un vol à tire est passible d’une peine pouvant aller à l’emprisonnement, relâcher un ministre pourri sans lui demander aucun compte sur sa gestion catastrophique, traduit le fossé dans l’entendement qui sépare ceux qui appartiennent à l’Etat et ceux qui l’observent de l’extérieur est subissent ses lois… à la lettre.
De Hasseni, de Ameur Ouali et du DRS le quel est innocent…
La lettre qu’a envoyée à El Mouhtarem une personne se présentant comme diplomate afin d’exprimer sa solidarité envers un de ses collèges, qui a maille à partir avec la justice française, porte ce genre réflexion. L’auteur de la lettre dit qu’il parle au nom d’un groupe de confrères attristés par le sort de monsieur Hasseni. Bien qu’imprégnée de beaucoup de tact et de diplomatie, cette lettre ne soulève pas moins d’interrogations sur la logique le système de valeur, sur lesquels elle se base et ne reflète pas elle aussi un décalage de perception entre « le gratin de la société » auquel appartiennent le groupe des diplomates et le reste de l’Algérie. Examinons de près deux points qui me paraissent contestables, voire blâmables.
Les deux points concernent deux sujets qui sortent du cadre de la solidarité de corporations et jettent des doutes sur l’objectif principal de la lettre. C’est à se demander à qui s’adresse la solidarité de ces diplomates représentés par l’auteur de la lettre. Est-ce qu’ils viennent réaffirmer leur solidarité avec monsieur Hasseni simplement ou bien défend-il l’intégrité du journaliste Ameur Ouali en appelant au respect de l’éthique qu’El Mouhtarem aurait transgressée ou bien encore les diplomates viennent au secours d’une autre « corporation » en minimisant son emprise sur la société algérienne et en la présentant sous un jour plus humain. C’est probablement tout ça à la fois et c’est ce qui est problématique dans la lettre.
Pour la solidarité avec Hasseni, il n’y a rien à ajouter, il est dans son droit de soutenir son confrère en son âme et conscience. Monsieur Hasseni n’est pas connu par le grand public pour que celui-ci puisse s’exprimer sur son identité réelle. L’affaire suit son cours et on espère que la vérité triomphera quelle que soit sa nature.
L’éthique a été respecté dites-vous?
Par contre là où le bât blesse c’est quand l’auteur de la lettre dépasse ce cadre de solidarité pour exprimer son soutien à un journaliste qui n’a cessé d’influencer l’opinion publique avec des manières peu honorables pour ne pas dire viles. Et c’est là que la perception entre en jeu entre la haute société et la basse société. Si pour le diplomate Ameur Ouali est un journaliste respectueux de l’éthique observant la déontologie de sa profession, pour une bonne partie des Algériens qui ont l’occasion de le lire, il n’en est rien. Mais probablement les écrits de ce journaliste indélicat cadrent bien avec le système de pensée du diplomate. Formaté de dans l’école de l’Etat autoritaire, ce dernier ne tiquera pas aux graves accusations qu’a proférées Ameur Ouali contre le colonel Samraoui qui serait tantôt « déserteur de l’armée » au lieu de dissident, tantôt fabulateur et d’autres fois « félon ». Il n’a cessé de le jeter en pâtre à l’opinion publique. Comment dès lors ne pas affirmer qu’entre l’éthique et ce journaliste il y a un grand fossé. Comment ne pas croire qu’il veut peser un tant soit peu sur le cours du procès en décrédibilisant honteusement un témoin. Un fossé créé justement par le DRS. Lorsque l’on sait que le patron de Ameur Ouali a assisté aux funérailles de Smaïn Lamari, le comportement du journaliste, par le principe de cause à effet devient clair…
Je trouve lamentable qu’un diplomate puisse s’immiscer dans une cause si peu défendable au lieu de s’intéresser uniquement au sort de son confrère.
Plus grave encore est la tentative vaine de l’auteur de la lettre à banaliser le comportement des agents des services de renseignements algériens. Là aussi, la différence entre le système des valeurs entre clients du pouvoir et la majorité du peuple algérien entre en jeu. Il est inutile de s’étaler trop sur cette question qui a fait couler beaucoup d’encre, mais il serait possible de dessiller les yeux aux crédules du « gratin de la société » qui vivrait sur leur nuage et dans les bureaux capitonnés en rappelant simplement quelques faits. Messieurs les diplomates, vous représentez un pays dans lequel un Algérien croupit dans les geôles depuis plus de dix ans sans jugement grâce à la loi du DRS. Messieurs les diplomates, l’Algérie ne veut pas ouvrir les dossiers des dizaines de milliers de disparus grâce à la puissance de DRS. Messieurs les diplomates, il y a des centaines de témoignages d’Algériens qui ont subi des tortures dans les geôles des services. Ou bien ces Algériens ne seraient-ils pas de la même extraction que la vôtre ? Messieurs les diplomates, ouvrez vos yeux et tendez vos oreilles, de temps en temps, à ce que dit la plèbe. Vous êtes peut-être un petit peu déconnectés de la réalité.
Je m’excuse des erreurs qui ont pu glissé dans mon précédant commentaire. J’e soumet le même commetaire avec les corrections qui s’imposent. Merci
Messieurs les diplomates, ouvrez les yeux!
Les logiques des uns et des autres
Pour comprendre la logique et le raisonnement de quelqu’un qui appartient au système algérien, qui le représente et le défend avec plus ou moins de diplomatie, il faut… appartenir au système, car il y a une incompatibilité totale avec la logique et le raisonnement de ceux qui n’appartiennent pas à l’Etat ou ne subissent pas on influence. C’est une logique qui a ses principes et ses lois qui s’entrecroise rarement avec celle connue universellement. Même les sentiments et les systèmes des valeurs divergent grandement comme on va le voir avec la solidarité qui s’est exprimée çà et là à l’occasion de l’affaire de Hasseni.
Pas plus loin qu’hier, on a vu que ce qui est un crime et un génocide pour le commun des mortels devient dans la logique d’un commis de l’Etat, une simple erreur de parcours de l’Etat, pour laquelle il est honteux d’en faire des vagues ou de boucan sur la place publique. Un besoin aussi naturel et aussi humain que la recherche de la vérité et la justice par les familles des victimes des « erreurs de l’Etat », devient pour le même commis qui parle au nom de l’Etat dans un langage très diplomatique, un simple point de vue respectable, mais contestable, car chimérique et de ce fait, un point de vue ridicule comme les procès ridicules qu’il engendrerait. Et bien sûr l’Etat n’a pas vraiment le goût pour s’amuser aux parodies des procès ridicules contre ses propres erreurs comme l’a proclamé ce commis.
Les exemples ne manquent pas sur la dichotomie édifiante entre la logique « étatique » qui, pour des considérations conjoncturelles impérieuses, est s’est déployée et s’est imposée souverainement aux citoyens, la logique de ces derniers sidérés ou celle de l’esprit de la loi. L’exemple de la réaction assez tardive du chef de l’Etat suite à la corruption avérée dans laquelle s’était noyé un de ses ministres exprime ce vaste décalage de perception qui nuit à la cohésion et la « concorde » nationale. Après avoir été coupable de dilapidation des fonds publics, d’abus de pouvoir, de trafic d’influence et de bradage de la plus importante société nationale qui ont causé un préjudice se chiffrant en milliards de dollars au profit de ses proches et au profit de sociétés américaines, un légendaire ministre rappelé, a été simplement prié d’aller retourner à son Far West et fut remplacé par un autre ministre. Au moment où un vol à tire est passible d’une peine pouvant aller à l’emprisonnement, relâcher un ministre pourri sans lui demander aucun compte sur sa gestion catastrophique, traduit le fossé dans l’entendement qui sépare ceux qui appartiennent à l’Etat et ceux qui l’observent de l’extérieur est subissent ses lois… à la lettre.
De Hasseni, de Ameur Ouali et du DRS le quel est innocent…
La lettre qu’a envoyée à El Mouhtarem une personne se présentant comme diplomate afin d’exprimer sa solidarité envers un de ses collèges, qui a maille à partir avec la justice française, porte à ce genre réflexion. L’auteur de la lettre dit qu’il parle au nom d’un groupe de confrères attristés par le sort de monsieur Hasseni. Bien qu’imprégnée de beaucoup de tact et de diplomatie, cette lettre ne soulève pas moins d’interrogations sur la logique et le système de valeur sur lesquels elle se base et reflète elle aussi un décalage de perception entre « le gratin de la société » auquel appartiennent le groupe des diplomates et le reste de l’Algérie. Examinons de près deux points qui me paraissent contestables, voire blâmables.
Les deux points concernent deux sujets qui sortent du cadre de la solidarité de corporation et jettent des doutes sur l’objectif principal de la lettre. C’est à se demander à qui s’adresse la solidarité de ces diplomates représentés par l’auteur de la lettre. Est-ce qu’ils viennent réaffirmer leur solidarité avec monsieur Hasseni simplement ou bien défendent-ils l’intégrité du journaliste Ameur Ouali en appelant au respect de l’éthique qu’El Mouhtarem aurait transgressée ou bien encore les diplomates viennent-ils au secours d’une autre « corporation ». le DRS, en minimisant son emprise sur la société algérienne et en le présentant sous un jour plus humain. C’est probablement tout ça à la fois et c’est ce qui est problématique dans la lettre.
Pour la solidarité avec Hasseni, il n’y a rien à ajouter, il est dans son droit de soutenir son confrère en son âme et conscience. Monsieur Hasseni n’est pas connu par le grand public pour que celui-ci puisse s’exprimer sur son identité réelle. L’affaire suit son cours et on espère que la vérité triomphera quelle que soit sa nature.
L’éthique a été respectée dites-vous?
Par contre là où le bât blesse c’est quand l’auteur de la lettre dépasse ce cadre de solidarité pour exprimer un autre son soutien, celui pour un journaliste qui n’a cessé d’influencer l’opinion publique avec des manières peu honorables pour ne pas dire viles. Et c’est là que la différence de perception entre en jeu entre la haute société et la basse société. Si pour le diplomate Ameur Ouali est un journaliste respectueux de l’éthique observant la déontologie de sa profession, pour une bonne partie des Algériens qui ont eu l’occasion de le lire, il n’en est rien. Mais probablement les écrits de ce journaliste indélicat cadrent bien avec le système de pensée de ce diplomate. Formaté de dans l’école de l’Etat autoritaire, ce dernier ne verra pas d’entorse à l’éthique et ne tiquera pas aux graves accusations qu’a proférées Ameur Ouali contre le colonel Samraoui qui serait tantôt « déserteur de l’armée » au lieu de dissident, tantôt fabulateur et d’autres fois « félon ». Il n’a cessé de le jeter en pâtre à l’opinion publique. Comment dès lors ne pas affirmer qu’entre l’éthique et ce journaliste il y a un grand fossé. Comment ne pas croire qu’il veut peser un tant soit peu sur le cours du procès en décrédibilisant honteusement un témoin. Un fossé créé justement par le DRS. Lorsque l’on sait que le patron de Ameur Ouali a assisté aux funérailles de Smaïn Lamari, le comportement du journaliste, par le principe de cause à effet devient clair…
Je trouve lamentable qu’un diplomate puisse s’immiscer dans une cause si peu défendable au lieu de s’intéresser uniquement au sort de son confrère.
Plus grave encore est la tentative vaine de l’auteur de la lettre à banaliser le comportement des agents des services de renseignements algériens. Là aussi, la différence entre le système des valeurs entre clients du pouvoir et la majorité du peuple algérien entre en jeu. Il est inutile de s’étaler trop sur cette question qui a fait couler beaucoup d’encre, mais il serait possible de dessiller les yeux aux crédules du « gratin de la société » qui vivrait sur leur nuage et dans les bureaux capitonnés en rappelant simplement quelques faits. Messieurs les diplomates, vous représentez un pays dans lequel un Algérien croupit dans les geôles depuis plus de dix ans sans jugement grâce à la loi du DRS. Messieurs les diplomates, l’Algérie ne veut pas ouvrir les dossiers des dizaines de milliers de disparus grâce à la puissance de DRS. Messieurs les diplomates, il y a des centaines de témoignages d’Algériens qui ont subi des tortures dans les geôles des services. Ou bien ces Algériens ne seraient-ils pas de la même extraction que la vôtre ? Messieurs les diplomates, ouvrez vos yeux et tendez vos oreilles, de temps en temps, à ce que dit la plèbe. Vous êtes peut-être un petit peu déconnectés de la réalité.
By TIME-H
Bonjour,
Concernant le diplomate qui a ecrit :
[....je suis moi-même diplomate algérien et je peux vous dire que nous sommes nombreux à avoir....] :
Se referer a ma reponse suivante :
1)-Comme decrit sur plusieurs forums [via internet/blogosphere et journeaux
electronique en ligne]:
Pourquoi ne pas juger le criminel/les coupables et les top commanditaires a Alger/actuellement en Algerie : Toute personne dotee d’un minima de rationalite ne comprend pas qu’une justice d’un pays [dans le sens de justice] puisse ignorer cette trivialite : le ou les coupables etant connus [il semble bien] ainsi que les anciens chefs [ordonateurs] et les commanditaires nationaux au pays [Algerie].
2)-(Indirectement lie : mais pratiquement tout est directement ou
indirectement lie dans ce monde) , alors:
Mon experience et celle d’autres emigres (vieux de la vieille, des dizaines d’annees dans l’emigration) montre que :
Il existent beaucoup de diplomates pretentieux, arrogants!, etc… Algeriens “qui non seulement embetent via abus [utilisant le chantage! directe, indirecte de delivrance de paperasse: CNI, passeports, etc.. conditionnes par l’obligation “voir chantage? indirecte?” d’immatriculation-fichage!..] embetent “mes proches et moi avont des preuves concrete en main” via abus donc de fonction, les ressortissants algeriens residents a l’etranger” (comme ca devrait exister pour certains pays du tiers monde, essentiellement dans les republiques bananiere avec dirigeants genre imposteurs, clandestins!?, voir genre delinquants!?.. naviguant au jour le jour, obstines “say: DJI’AN” obstines principalement par la retention non-stop [depuis 62] du koursi a n’importe quel prix!, genre après soi le deluge et racler le fond des ressources minieres, petroliere, un don de la nature saharienne…. ) , parmi ces diplomates donc “et ce depuis 62!”: existent des diplomates qui sont restes plus que la dizaine d’annees en poste a l’etranger (dans des ambassades et consulats) mais qui n’ont pas fait beneficier, ne serait-ce que d’un seul dollar [ou d’un euro] le trésor algérien ! via un travail productif [avec resultat directe ou indirecte] a l’aval ..
En fait que restera-t’il comme results provided [by those kinds of Ambassadors] to Algeria since 1962 (in terms of reliable and concrete creation of jobs for the millions of young algerians jobless « c.a.d des harragas, drogues, candidats au suicide, delinquants etc.. potentiels« with jobs creation stemming from concrete installation of foreign companies with the transfert of technology [and added value] at the downstream in Algeria, encouragement and expansion of tourism in Algeria « Ref : to the french written tourism !-guide-book [le PETIT-FUTE] !!?? « , etc..).
According thus to the concrete situation from 1962 till 2010: it seems [at less there’s some ….?] that concrete results (as the direct or indirect incitement to get added values for industry, agriculture, tourism, technology transfer, education, arts, .. etc..for Algeria) provided by several Algeria Ambassadors etc.. [diplomats when in post in foreign countries].. approach the Zero.. , c.a.d que l’on a a faire quelquefois ? /plusieurs fois a des ambassadeurs [consuls, et simples diplomates,...] parasites anarchique et/ou predateurs beznassa-affairistes etc… [incluant aussi des vicelards a l’age de la quarantaine, cinquantaine ! et plus, etc..quoique maries !, mais genre depraves affames sexuel coureurs non-stop ! de jupons et presque abonnes d’endroits de debauche «endroits de… etc.. « via petro-dollars saharien [pendant qu’au meme moment a Alger, Annaba, etc... d’autres algeriens sont a la recherche de dechets de victuailles dans les poubelles..] , sans oublier que l’on a a faire aussi quelquefois ? /plusieurs fois a des ambassadeurs [consuls, et simples diplomates,...] parasites anarchique et/ou predateurs ayant meme transformes de temps a autre leur propre lieu «ambassade !.. « de travail ! HA-HA-HA de la diplomacie vers un lieu de draguage et debauche !: etonnant mais vrai !..], sans compter les cas [voir plusieurs cas] d’ambassadeurs bougres [plus consuls, et simples bougres diplomates,...] osant ! se comporter avec une mechancete inouie , avec arrogance , insolence /comportement de pretentieux !/ et un mepris stupide et/ou audacieux !, etc.. envers des residents emigres algerien [incluant des intellectuels residents vieux de la vieille et quelquefois incluant some world renown scientists !...] , ces emigres algerien a l’etranger qui ne comprennent pas encore ! comment ? et en vertu de quelle legitimite ? [depuis 62 !] ces quelques bougres ambassadeurs [consuls, et simples bougres diplomates,...] puissent etre « osent etre !« representants diplomatique de l’Algerie via une direction centrale-interne clandestine !?! depuis 62 ! [direction centrale-interne clandestine !?! d’imposteurs elue par quel peuple ?].
! Comme mes proches [la plupart intellectuels incluant someones who have received a class-one « audacious filthy [ordurieuses] mouth outputs from an ambassador some years ago , this ambassador designe ?/supporte-elu par qui ?/comment ? [imbu ! au max of the max ! de sa personne alors que c’est un simple bougre ..... ! pensant etre un bahr el-ouloum !] ambassador is still in post elsewhere« ] Comme mes proches donc et moi-meme sommes localises dans diverses continents et durant des dizaines d’annees d’emigration [avec pas mal de data accumules durant ces dizaines d’annees sur des diplomates ! Algeriens a l’etranger : Nous possedons donc des datas desquels se degagent aussi des informations donnant la nausee concernant certains diplomates algeriens « ambassadeurs, consuls et autres diplomates, etc...« ]..
Finalement si ce diplomate [ayant poste un post dans ce blog] donne son nom complet nous pourrions via une recherche operationelle sur nos datas/archives possiblement trouver le nom de ce diplomate auteur du post sur ce blog et extraire ainsi les avis d’algeriens emigres ayant contactes ? directement ? ou indirectement ? ce diplomate Amar [c.ad trouver si ce diplomate fait partie ? ou non ? de l’historique cauchemardesque de la diplomatie algerienne elue par qui ? via qui ? depuis 62 !]..
N.B. : (de notre part) Ecrire avec utilisation de pseudo n’est nullement cause par un but de dissimulation [ou de cache-cache de notre part] mais cause uniquement par le fait de ne pas vouloir prodiguer des problemes a d’autres personnes [qui pourraient etre victimes de pratiques fourbes, laches, revanchardes ?] , pratiques habituelles [du depuis 62] dans des environnements de non-droit et specialement dans l’etat actuel d’environnement d’etat de siège [ou etat d’urgence, etc..] actuellement normalise, symbole d’une justice denuee de son sens et d’une democratie inexistante ou tendant vers zero.
Cordialement,
TIME-H
commentaire trop long
le lire est très fatiguant
l’abandonner est cependant
dommage car très intéressant!
comment tu sais toi s’il est ou il n’est pas innocent , t’as assisté au meurtre, alors tu peux nous dire qu l’a tué?
bande de cireurs