31 août, 2010
Algérie: Quand la gendarmerie nationale impose sa loi
Abbes Said pour « Algérie Politique »
La brigade de gendarmerie de Zemmouri (Boumerdes) a une bien curieuse façon d’appliquer les lois de la République. Pour protéger la quiétude de ses gendarmes, celle-ci n’a pas trouvé que de fermer un chemin de wilaya emprunté par toute la population de cette localité. Les habitants de cette petite bourgade côtière de Zemmouri se sont réveillés le premier jour du ramadhan par la fermeture de la bretelle du chemin de wilaya n° 220 qui mène à la plage et la forêt du Sahel.
Pourtant ce chemin ancestral existait depuis des années et même durant le terrorisme, il n’a jamais été fermé. L’argument avancé par la gendarmerie est le chantier en construction d’une école de la gendarmerie surplombant la forêt et la plage du Sahel. Cette décision irréfléchie sanctionne au bout toute une population dont les fellahs, les pêcheurs et les résidents des bungalows.
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Abbes Said pour « Algérie Politique »
Ce 30 août 2010, à l’occasion de la journée internationale des disparus, les familles de disparus en Algérie, à l’image de celles de tous les continents, sont sorties dans la rue. La répression vécue à Alger ces dernières semaines ne les a pas dissuadées d’organiser un rassemblement pour leurs disparus devant
Les services de l’APC de Tébessa ont été empêchés, ce dimanche, par un député et un sénateur, d’exécuter l’ordre de démolition d’une habitation anarchique, construite sur un lopin de 1000 m2 appartenant à la commune de Tébessa et destiné à être aménagé en espace vert.
Il m’a été donné, avec une très grande surprise mêlée d’indignation, de constater que Messieurs les «démocrates» ont annoncé par e-mail, envoyé par Si Mohammed Baghdadi à une flopée de destinataires, la parution le 27 août 2010 sur leur site «Réseau des démocrates» de la copie intégrale d’un chapitre des Mémoires de S. L. Bentobbal.
La cour d’appel de Paris a accordé mardi un non-lieu au diplomate algérien Mohamed Ziane Hasseni, mis en examen puis témoin assisté dans l’enquête sur l’assassinat à Paris en 1987 de l’opposant Ali Mecili, a-t-on appris auprès de son avocat, Me Jean-Louis Pelletier.
El Erg Echergui pour « Algérie Politique »




