Aux responsables d’Echourouk: « Vous recevez bien chez vous Kartali et Madani Mezrag !»
Abbes Said pour « Algérie Politique »
Pour avoir prononcé que le sinistre repenti Kartali «était le bienvenu chez Echourouk et pas lui», un ancien policier affecté à la brigade antiterroriste, -il a démissionné de la police en 1995 après avoir reçu deux balles des terroristes- et père de deux enfants qui vit dans un total dénouement a été conduit illico presto au poste de commissariat de Kouba ou deux agents AOP ont failli lui «fabriquer un PV» qui l’aurait sûrement mis en prison.
Avant-hier, le dénommé Nacerdine Djâaboub, s’est présenté au siége du journal arabophone Echourouk pour y rencontrer son DG, Ali Fodhil dans l’espoir de l’aider financièrement vu que le journal n’arrête pas de demander aux musulmans du monde entier de s’entraider en cette période de jeûne. Le réceptionniste du journal n’était pas du même avis et lui a expressément interdit de rencontrer le chef ou de revenir ensuite.
Pris de rage, il lança cette phrase: «des gens comme Karatli ou Madani Mezrag vous les recevez et vous leur offrez même des burnous et moi qui suis venu demander un peu d’aide vous me méprisez ! ». Le réceptionniste fit alors appeler la force publique pour emmener au commissariat de Kouba le valeureux citoyen qui a failli être emprisonné par ses anciens collègues. Heureusement que tout finit bien puisque l’officier de service connaissait la personne qui combattait avec lui au temps du terrorisme sanglant le remit en liberté.
ce torchon qui s’appelle « echourouk »,ainsi que « ennahar » sont une honte pour la corporation des journalistes algériens.
El ghouroub et Ali FODIL
Par Ali ZOUBIRI, Birghbalou
Ali Fodil était mon camarade de classe, c’est un homme intelligent et comme nous tous, à Birghbalou, on ne trouvait pas toujours quelques chose à mettre sous la dent.
Il a accepté le deal d’un certain clan de généraux. Sa ligne éditoriale est dictée et voulue par ledit clan. Fodil s’y est soumis. Il n’avait pas beaucoup le choix, à vrai dire : Vendre le journal aux généraux et se maintenir au poste de directeur ou bien, finir comme le fut Hadda Hazzam d’ El Fadjr, en Prison, avant qu’elle ne se soumette à son tour et ne jure plus que par le pouvoir. La grande muette divisée en clans a racheté tous journaux dits privés. A présent, la presse privée en Algérie, obéit au doigt et à la lettre de ces généraux. Donc soyons sérieux, zappons cette presse, payante de surcroît et rabattons nous sur la presse électronique qui en plus d’être gratuite, elle est de loin plus fiable.
Merci Ali Zoubiri. Vous avez tout dit. Il faut boycotter le journal. ne pas l’acheter et ne pas visiter son site. Il y a pas de medias libres en Algérie. Nous respirons grace aux blogs qui informent vraiment. Donc ce que disent ou font Ali Fodil et son journal est un NON-EVENEMENT.