L’éternel Jugurtha, névrosé et exaspérant
Par Bastos El Bombardi
Figure de rhétorique de Jean El Mouhoub Amrouche qui résume à la perfection ce que c’est la quintessence d’un(e) Algérien(ne) ‘Je sais bien où m’attend Jugurtha: il est partout présent, partout insaisissable; il n’affirme jamais mieux qui il est que lorsqu’il se dérobe. Il prend toujours le visage d’autrui, mimant à la perfection son langage et ses mœurs; mais tout à coup les masques les mieux ajustés tombent, et nous voici affrontés au masque premier: le visage nu de Jugurtha; inquiet, aigu, désespérant’.
On s’en fout si Ali Mecili, héros national est buté à Paris par un proxénète jouissant d’une totale impunité. On s’en fout si les mères des disparus sont matraquées à Alger par des flics trois fois jeunes et incultes. On préfère se scandaliser en Arabe et en Français si le Berbère doit être transcrit en Latin ou en Chinois…
Désolé mais ce post n’a ni queue ni tête! Si quelqu’un a compris quelque chose…
Et on s’en fout si jugurtha fut le fils illigitime de Manastabal! Ou etant le petit fils de Massinissa!ou qu’il a liquide un de ses cousins et pris le territoire du second! ou qu’il a execute des marchands Italiens! ou qu’il fut execute par les romains!!!!!!!!
quelle culture !