6 septembre, 2010
La répression des familles de disparus en Algérie…
…les scandaleuses déclarations de Me Farouk Ksentini
Algeria-Watch, 6 septembre 2010
Me Farouk Ksentini, le « Monsieur droits de l’homme » du gouvernement algérien, l’avait annoncé à la fin du mois de juin 2010 : il ne tolérerait plus de rassemblements devant le siège de l’organisme officiel qu’il préside depuis 2001, la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (CNCPPDH) ; et il aurait donné l’instruction de les interdire1. Cette annonce a été mise en œuvre à Alger dès le premier mercredi du mois d’août – le mercredi est, depuis près de douze ans, le jour des rassemblements hebdomadaires des familles de disparus, qui réclament « vérité et justice » pour leurs proches victimes de disparitions forcées, comme avant elles les « Folles de la place de Mai » argentines.
Lire la suite: www.algeria-watch.org
Commentaires(3)
Ce dimanche 5 septembre 2010, les familles de disparus se sont retrouvées devant le siège de la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’Homme (CNCPPDH) à Alger, lieu de rassemblement habituel des familles pour demander Vérité et Justice.
Djilali Hadjadj, le président de l’Association Algérienne de lutte contre la corruption (AACC), a été arrêté par la police des frontières au niveau de l’aéroport Mohamed Boudiaf de Constantine. Selon Yahia Bounouar
« Après sa mise en examen le 15 août 2008 du chef de complicité d’assassinat, Mohamed HASSENI contestait connaître Hicham ABOUD comme Mohamed SAMRAOUI, et avoir rencontré Mohamed SAMRAOUI », peut-on lire dans l’arrêt de la chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris proclamant l’innocence du diplomate Hasseni (voir le site Viva l’Algérie).
Mohand Arezki pour « Algérie Politique »
Ali Abdulemam, un
Mamar Boudersa pour « Algérie Politique »
El Erg Echergui pour « Algérie Politique » 



