La répression des familles de disparus en Algérie…
…les scandaleuses déclarations de Me Farouk Ksentini
Algeria-Watch, 6 septembre 2010
Me Farouk Ksentini, le « Monsieur droits de l’homme » du gouvernement algérien, l’avait annoncé à la fin du mois de juin 2010 : il ne tolérerait plus de rassemblements devant le siège de l’organisme officiel qu’il préside depuis 2001, la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (CNCPPDH) ; et il aurait donné l’instruction de les interdire1. Cette annonce a été mise en œuvre à Alger dès le premier mercredi du mois d’août – le mercredi est, depuis près de douze ans, le jour des rassemblements hebdomadaires des familles de disparus, qui réclament « vérité et justice » pour leurs proches victimes de disparitions forcées, comme avant elles les « Folles de la place de Mai » argentines.
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Bonjour, nous parlons des droits de l’hommes dans un pays ou regne la corruption un etat policier a 1000 pour cent un pays ou l’éducation la santé la culture n’a pas deplace ne peut pas parler de droits car dans un pays ou les regles morales l’ethique,l’égalité, la sécurité,la sureté et la justice font defaut.ne peut pas parler de république democratique et populaire
Je voudrais bien faire une petite correction de l’abréviation ; (CNCPPDH) = (CNCPPDE) ceci devient protection des droits de l’Etat mafieux et policier au lieu de des droits de l’Homme.
C’est vraiment ridicule de croire qu’un état policier désigne un défenseur des droits de l’homme qui défend vraiment les droits fondamentaux, de l’homme alors que cet état policier n’a jamais cru et ne croira pas en ce droit.
Donc M. Ksentini est un délégué du pouvoir comme les autres délégués, il défendra toujours le droit de ce pouvoir assassin.
Ksentini doit etre poursuivi en justice internationale SURTOUT pour les crimes contre l’humanité et aussi pour segregation contre les femmes (meres) en general.
Eid Mabrouk!