Le P/APC sous contrôle judiciaire à Boumerdès
Le P/APC de la commune de Boumerdès a été mis sous contrôle judiciaire, avant-hier, par le juge d’instruction près le tribunal de Boumerdès. Selon El Watan, M. Sarni a été entendu dans le cadre de l’affaire relative à une passation douteuse d’un marché public et dilapidation de biens publics. Il a été poursuivi pour fausses déclarations et falsification d’un procès-verbal de réunion tenue avec d’autres élus de l’Assemblée communale en 2008.
Diversion,de la diversion, encore de la diversion
La plupart P/APC condamnés et médiatisés, ne sont que des lampistes jetés en pâtures par cela même qui les protégeait de tous contrôle populaire pour mieux les asservir . exemple,( toute propension gardée )de cette dernière déclaration des élus de notre modeste Commune n’ont jamais cessé de dénoncer les abus
DÉCLARATION
Quand Les larbins se prennent pour Rambo
Après trois années de diatribes stériles, force est de souffrir que les autorités en charge du respect de la réglementation incitent volontairement à l’irrémédiable. En cautionnant sciemment le piétinement de la loi régissant la commune, le gaspillage des fonds publics et l’utilisation indue du patrimoine communal, les responsables de la tutelle administrative sourds à nos récriminations, encouragent pernicieusement l’exécutif à s’aventurer sur des voies hasardeuses.
Repoussant de façon véreuse l’obligation de rendre compte à l’assemblée, qui a solennellement adopté à l’unanimité, l’audit de gestion et le remaniement de l’exécutif, lors de l’unique session ordinaire avortée du 22 juillet écoulé, l’édile communal perpétue les outrances en usant de procédés fallacieux.
Le maintient en emploi d’un deuxième adjoint de sa famille politique, détaché par collusion de l’école primaire au café du coin et, de surcroit en s’apprêtant à lui octroyer une prime, avec effet rétroactif équivalente à 40% de son salaire, ne peut être qualifié que de népotisme.
Quant des élus consciencieux, exigent d’exercer leur prérogatives dans la cadre de la loi, en refusant notamment d’être les complices de malversations, ils sont ouvertement prit a partie par ces dévoyés qui ne respectent ni la loi ni l’éthique. Excités par la cupidité, ils se sont découvert des attributs de Rambo ; n’hésitant pas à recourir à l’insulte en guise d’arguments durant le déroulement des délibérations.
Souk-Oufella le 28 septembre2010
Signer A.ACHAT