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Archive pour le 16 octobre, 2010

FLN Annaba: Le sénateur Zitouni brandit son pistolet

zitounimoh.jpgJeudi dernier vers 1 heure, le mouhafed Mohamed-Salah Zitouni et sénateur, à la tête d’une centaine de militants, a violemment attaqué le siège de la représentation politique du FLN à Annaba, occupé depuis une semaine par des militants opposés à sa gestion de l’instance du parti. La tentative du sénateur Zitouni de reprendre la mouhafada par la force était attendue, après que le tribunal d’Annaba l’eut débouté mardi dernier suite à sa plainte «pour violation d’un siège de parti politique et destruction des moyens appartenant à celui-ci». Selon Le Jeune Indépendant, poussé à bout, Zitouni a brandi son arme à feu, un pistolet de gros calibre, pour faire peur aux jeunes militants qui gardaient jalousement le siège situé au cours de la Révolution, pour les forcer à lui ouvrir le portail. «Zitouni était prêt à nous tirer dessus», raconte un des jeunes militants barricadés à l’intérieur, indiquant qu’il les avait traités de tous les noms d’oiseaux.

Said Sadi: « L’Armée a repris les choses en main »

sadi3.jpgLe président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Said Sadi a affirmé à Alger que les rapports de force au sommet de l’État ont fini par rebasculer en faveur de l’institution militaire qui, selon lui, « vient de reprendre les choses en main ». Afin d’étayer ses propos, le président du RCD rappellera le départ de Chakib Khelil, l’ex-ministre de l’Énergie et des Mines, et la désignation de Yazid Zerhouni comme vice-Premier ministre, un poste sans prérogatives. La nomination du général major Hamel Abdelghani à la tête de la DGSN constitue aussi, aux yeux du Dr Sadi, une preuve tangible quant à la volonté des décideurs de “remilitarisation des institutions de l’État”, rappore Liberté.

Algérie: 31 communes bloquées

ould.jpgLe ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Dahou Ould Kablia, a déclaré à l’APN qu’il y a 31 communes qui connaissent actuellement une situation de blocage à travers 18 wilayas du pays, pour plusieurs raisons, entre autres le retrait de confiance, des conflits entre les membres de l’APC ainsi que des poursuites judiciaires lancées à l’encontre de certains d’élus, rapporte El Watan.

Algérie: Comment rendre le pouvoir au peuple ?

boutef.jpgMohand Tahar MOHAMMEDI 

La mémoire collective de l’histoire du peuple Algérien est écrite par des traces de sang, le pouvoir sensé lui revenir lui est arraché et spolié par ceux qui détiennent les moyens de contrainte et n’a en sa main aucun moyen de contrôle. Ce pouvoir qui est entre les mains des forces occultes et qui œuvrent pour que l’Etat des choses restent le même afin de servir leur seul et unique intérêt qui est celui de ne jamais rendre le pouvoir au peuple.

Rendre le pouvoir au peuple pour barrer la route à la continuité de l’empire de ce régime qui  a exclu le peuple de l’exercice du pouvoir est indispensable pour espérer une transition politique, seule capable de nous amener vers une vie démocratique réelle ou tous les enfants de ce pays chèrement acquis par nos parents et nos grands parents proposent un débat sur la forme de la société dans laquelle ils souhaitent vivre en osmose.

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«C» comme…

charlot.jpgR.Z pour « Algérie Politique » 

Au cours d’une séance  d’expression orale en cours de français de 1e Année, et où les élèves devaient se présenter et communiquer leur identité, le professeur, après avoir abordé le sujet sous toutes ses facettes, proposa aux enfants un jeu dans lequel ils devaient  trouver l’identité d’un personnage. Une sorte de «Question pour un champion». 

La première série de questions portait sur le personnage de Zorro. «Je suis un acteur  qui  joue le rôle d’un cavalier habillé tout en noir, qui porte un masque quand je vais sauver des gens en difficultés, mon cheval s’appelle Tornado, j’ai un ami fidèle qui ne parle pas et qui se prénomme Bernardo, mon nom commence par la dernière lettre de…» Le prof n’a pas eu le temps de prononcer le dernier élément de réflexion que la classe se souleva et une forêt de doigts se dressa: «Moi Monsieur ! Moi Monsieur… !» Et bien sûr, tout le monde  avait trouvé la réponse : il s’agit bien de Zorro. Le cavalier qui surgit hors de la nuit…

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Benbitour: Ignorant ou falsificateur de l’histoire nationale

benbitour.jpgMaamar BOUDERSA pour « Algérie Politique »

 

Ahmed Benbitour, l’ancien chef du gouvernement, l’ancien plusieurs fois ministre (ministre délégué au Trésor dans les gouvernements de Sid Ahmed Ghozali et de Belaid Abdesselam, ministre de l’Energie dans celui de Rédha Malek, ministre des Finances dans celui de Mokdad Sifi), l’ancien sénateur par décret, l’ancien élève de Camdessus, le DG du FMI, a signé une chronique dans le quotidien « Liberté » dans son édition du jeudi 14 octobre 2010 consacrée aux leçons à tirer de la crise de 1953-1954.

Benbitour, depuis qu’il a quitté le pouvoir est devenu un opposant, un penseur, un analyste et un stratège politique. Mais ceci est un leurre, car Benbitour, par cette chronique, a montré, soit qu’il ignore l’histoire nationale, soit qu’il veut la falsifier comme les autres. 

Voici ce qu’il écrit: «Et c’est dans cette ambiance de désespoir total que neuf jeunes ont pris leur responsabilité devant l’histoire et ont créé le comité révolutionnaire d’unité et d’action en mars1954». A la fin de la chronique, il cite les noms des neuf jeunes qui sont: Aït Ahmed, Benbella, Krim, Beboulaid, Ben M’hidi, Bitat, Boudiaf, Didouche et Khider.

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Les pompiers pyromanes

canc.jpgEl Hadi pour « Algérie Politique »

A travers la presse algérienne, en particulier celle dite indépendante, nous lisons des reportages (sur commande) concernant la cancérologie en Algérie et en particulier la radiothérapie et le calvaire que vivent les patients cancéreux. Les ministres  se succèdent et annoncent des plans pour résoudre cet épineux et dramatique problème mais rien de concret, sauf que les rapaces se multiplient et la corruption atteint des proportions inimaginables même dans le corps médical. 

Du matériel destiné à atténuer la forte pression sur les hopitaux est acheté à coup de millions de dollars puis stocké car non fonctionnel ou mal entretenu. Des marchés négociés de gré à gré par de pseudo experts aidés par des mercenaires attirés par un marché juteux souvent avec la complicité de médecins prétendus universitaires et autoproclamés experts. 

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