27 octobre, 2010
Mohamed Mechati: « Si Aït-Ahmed avait accepté le pouvoir en 92… »
Dans un entretien accordé au quotidien arabophone www.wakteldjazair.com, Mohamed Mechati, membre des 22, a affirmé que si le président du FFS, Hocine Aït-Ahmed, avait accepté le pouvoir en 1992, au lendemain de la démission du président Chadli Bendjedid, la situation des Algériens aurait été meilleure aujourd’hui. »Mon ami le Général Mohamed Touati m’a informé qu’il avait rencontré Hocine Aït-Ahmed pour lui proposer la présidence après la démission de Chadli. Au lendemain de la rencontre, M. Aït-Ahmed avait refusé l’offre du pouvoir et c’est ce qui a contraint le pouvoir à contacter Mohamed Boudiaf », a déclaré M. Mechati. Et d’ajouter: « Contrairement à Boudiaf, Hocine Aït-Ahmed a un parti politique derrière lui et un soutien d’une frange des décideurs ». El Mouhtarem
Commentaires(22)
Karim.B pour « Algérie Politique »
El Erg Echergui pour « Algérie Politique »
Le Burundi a décidé de ne plus reconnaître la République arabe Sahraouie démocratique (RASD), autoproclamée par le Front POLISARIO, a déclaré lundi à Rabat le ministre burundais des Relations extérieures et de la Coopération internationale, Augustin Nsanze
L’Algérie est à la 105e position dans le classement de Transparency International sur l’Indice de Perception de
Narmotard pour « Algérie Politique »
Le tribunal de Sidi M’hammed (Alger) a condamné, hier, le directeur de la publication du quotidien Ennahar El-Djadid, Anis Rahmani, à 6 mois de prison ferme et une amende de 50 000 DA, et ce, lors du procès intenté par Djezzy contre ce journal. Le tribunal a ainsi reconnu les faits d’incitation à la destruction des sièges de Djezzy tels que soulevés dans la plainte introduite par la direction d’OTA. El Mouhtarem
D’environ 600 millions d’euros, en 2004, l’importation de médicaments a presque triplé, atteignant 1,670 milliard d’euros en 2009. Cette situation, très alarmante en quelques années, a de quoi susciter les pires craintes et met à nu toute l’étendue de la dépendance vis-à-vis de l’étranger.
Dans une déclaration faite à l’APS, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, a indiqué que les besoins des mosquées en imams sont évalués à 40.000, en Algérie, sachant que le nombre des imams disponibles est de 26.000 répartis sur 15.000 mosquées. Ghlamallah a, en outre, indiqué que le secteur prévoit 1.000 postes budgétaires par an pour le recrutement des imams.
Par Domenico Losurdo*


