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Archive pour octobre, 2010

Algérie: 100 000 élus locaux mandatés depuis 1967 dont 10.000 poursuivis

codeprison1.jpgDepuis 1967, près de 100 000 élus locaux ont acquis des mandats électoraux qui leur ont permis d’exercer une fonction au sein d’une APC ou d’une APW. Durant ces dix mandats, certains ont cumulé trois procurations à la fois contrairement à la principale règle qui interdit le cumul des mandats électoraux au sein des Collectivités locales.  Selon Le Jour, près de dix mille élus locaux ont été poursuivis tout au long de ces dix mandats. La plupart sont accusés de détournements, d’autres sont directement impliqués dans la corruption, alors que certains sont en sursis. Plus de 1500 retraits de confiance ont été également recensés au cours de ces dix mandats.

Entretien avec Lounis Aggoun/ Algérie: Les années de sang et les complicités de la France

livre1.jpgL’indépendance n’a pas permis à l’Algérie de sortir de la violence. Loin s’en faut. Le pouvoir n’a pas été rendu au peuple, mais a été accaparé par un groupe, initialement choisi par la France pour protéger ses intérêts. Pour se maintenir, ce groupe n’a pas hésité à manipuler des islamistes et à plonger le pays dans un nouveau cycle de violence. Dans un ouvrage documenté, «La colonie française en Algérie. 200 ans d’inavouable», Lounis Aggoun dénonce un système élaboré par des Algériens avec le soutien de la France, puis des Etats-Unis, au détriment de tout un peuple.

http://www.silviacattori.net

 Silvia Cattori : Votre ouvrage «La colonie française en Algérie. 200 ans d’inavouable» [1] est très impressionnant. 600 pages, denses, captivantes, s’appuyant sur une ample documentation, qui parlent avec empathie d’un peuple maltraité, mis à genoux. On comprend que c’est là le récit d’un homme meurtri par la souffrance de son peuple, résolu à se confronter à cette réalité brutale, à la vérité. Est-ce comme cela que vous le vivez ?

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SOS…SOS…SOS

Bonjour, je suis une sinistrée du séisme du 10/10/1980, orpheline à l’âge de 13ans, mes parents, je précise ma mère et mon père, sont décédés tous les deux au sein du CFPA d’El Asnam lors du séisme ou mon père travaillait comme enseignant pendant plusieurs années. Depuis, nous n’avons reçu ni logement ni capital décés ni indemnisation. Que faire ? Si ce n est pas encore trop tard .

Exclusif: La face cachée de Lakhdar Brahimi

brahimi1.jpgMokdad KARAOUI pour « Algérie Politique »

Vous ne connaissez qu’une des nombreuses facettes de notre Lakhdar Brahimi national. Ancien ambassadeur d’Algérie à Londres, ancien conseiller du président Chadli Bendjedid, ancien conciliateur des Libanais, ancien haut diplomate au Zaïre, ancien ministre des Affaires Etrangères, ancien haut fonctionnaire à la Ligue arabe, ancien envoyé spécial de Kofi Anane à Bagdad, proche de la famille Bush et de CNN où il plaça sa fille comme correspondante en Jordanie…. Permettez-moi de vous donner une autre facette de cet homme au fabuleux destin.

Ce natif de Birghbalou dans la wilaya de Bouira, est de père Caïd, et dont la mère était aussi d’une famille des Caïds. Ces deux familles ont fait saigner à blanc, en toute impunité, la population de Birghbalou, Ain Bessem, Battam et Sedraya, régions où s’étendent encore aujourd’hui leurs biens terriens spoliés aux pauvres fellahs au temps de l’Algérie française. Féodaux jusqu’au bout de leurs burnous rouges, fidèles et loyaux à la France coloniale, ils ont exproprié des dizaines de familles de leurs terres avant de les transformer en Khammassine (1)

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FLN Annaba: Le sénateur Zitouni brandit son pistolet

zitounimoh.jpgJeudi dernier vers 1 heure, le mouhafed Mohamed-Salah Zitouni et sénateur, à la tête d’une centaine de militants, a violemment attaqué le siège de la représentation politique du FLN à Annaba, occupé depuis une semaine par des militants opposés à sa gestion de l’instance du parti. La tentative du sénateur Zitouni de reprendre la mouhafada par la force était attendue, après que le tribunal d’Annaba l’eut débouté mardi dernier suite à sa plainte «pour violation d’un siège de parti politique et destruction des moyens appartenant à celui-ci». Selon Le Jeune Indépendant, poussé à bout, Zitouni a brandi son arme à feu, un pistolet de gros calibre, pour faire peur aux jeunes militants qui gardaient jalousement le siège situé au cours de la Révolution, pour les forcer à lui ouvrir le portail. «Zitouni était prêt à nous tirer dessus», raconte un des jeunes militants barricadés à l’intérieur, indiquant qu’il les avait traités de tous les noms d’oiseaux.

Said Sadi: « L’Armée a repris les choses en main »

sadi3.jpgLe président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Said Sadi a affirmé à Alger que les rapports de force au sommet de l’État ont fini par rebasculer en faveur de l’institution militaire qui, selon lui, « vient de reprendre les choses en main ». Afin d’étayer ses propos, le président du RCD rappellera le départ de Chakib Khelil, l’ex-ministre de l’Énergie et des Mines, et la désignation de Yazid Zerhouni comme vice-Premier ministre, un poste sans prérogatives. La nomination du général major Hamel Abdelghani à la tête de la DGSN constitue aussi, aux yeux du Dr Sadi, une preuve tangible quant à la volonté des décideurs de “remilitarisation des institutions de l’État”, rappore Liberté.

Algérie: 31 communes bloquées

ould.jpgLe ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Dahou Ould Kablia, a déclaré à l’APN qu’il y a 31 communes qui connaissent actuellement une situation de blocage à travers 18 wilayas du pays, pour plusieurs raisons, entre autres le retrait de confiance, des conflits entre les membres de l’APC ainsi que des poursuites judiciaires lancées à l’encontre de certains d’élus, rapporte El Watan.

Algérie: Comment rendre le pouvoir au peuple ?

boutef.jpgMohand Tahar MOHAMMEDI 

La mémoire collective de l’histoire du peuple Algérien est écrite par des traces de sang, le pouvoir sensé lui revenir lui est arraché et spolié par ceux qui détiennent les moyens de contrainte et n’a en sa main aucun moyen de contrôle. Ce pouvoir qui est entre les mains des forces occultes et qui œuvrent pour que l’Etat des choses restent le même afin de servir leur seul et unique intérêt qui est celui de ne jamais rendre le pouvoir au peuple.

Rendre le pouvoir au peuple pour barrer la route à la continuité de l’empire de ce régime qui  a exclu le peuple de l’exercice du pouvoir est indispensable pour espérer une transition politique, seule capable de nous amener vers une vie démocratique réelle ou tous les enfants de ce pays chèrement acquis par nos parents et nos grands parents proposent un débat sur la forme de la société dans laquelle ils souhaitent vivre en osmose.

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«C» comme…

charlot.jpgR.Z pour « Algérie Politique » 

Au cours d’une séance  d’expression orale en cours de français de 1e Année, et où les élèves devaient se présenter et communiquer leur identité, le professeur, après avoir abordé le sujet sous toutes ses facettes, proposa aux enfants un jeu dans lequel ils devaient  trouver l’identité d’un personnage. Une sorte de «Question pour un champion». 

La première série de questions portait sur le personnage de Zorro. «Je suis un acteur  qui  joue le rôle d’un cavalier habillé tout en noir, qui porte un masque quand je vais sauver des gens en difficultés, mon cheval s’appelle Tornado, j’ai un ami fidèle qui ne parle pas et qui se prénomme Bernardo, mon nom commence par la dernière lettre de…» Le prof n’a pas eu le temps de prononcer le dernier élément de réflexion que la classe se souleva et une forêt de doigts se dressa: «Moi Monsieur ! Moi Monsieur… !» Et bien sûr, tout le monde  avait trouvé la réponse : il s’agit bien de Zorro. Le cavalier qui surgit hors de la nuit…

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Benbitour: Ignorant ou falsificateur de l’histoire nationale

benbitour.jpgMaamar BOUDERSA pour « Algérie Politique »

 

Ahmed Benbitour, l’ancien chef du gouvernement, l’ancien plusieurs fois ministre (ministre délégué au Trésor dans les gouvernements de Sid Ahmed Ghozali et de Belaid Abdesselam, ministre de l’Energie dans celui de Rédha Malek, ministre des Finances dans celui de Mokdad Sifi), l’ancien sénateur par décret, l’ancien élève de Camdessus, le DG du FMI, a signé une chronique dans le quotidien « Liberté » dans son édition du jeudi 14 octobre 2010 consacrée aux leçons à tirer de la crise de 1953-1954.

Benbitour, depuis qu’il a quitté le pouvoir est devenu un opposant, un penseur, un analyste et un stratège politique. Mais ceci est un leurre, car Benbitour, par cette chronique, a montré, soit qu’il ignore l’histoire nationale, soit qu’il veut la falsifier comme les autres. 

Voici ce qu’il écrit: «Et c’est dans cette ambiance de désespoir total que neuf jeunes ont pris leur responsabilité devant l’histoire et ont créé le comité révolutionnaire d’unité et d’action en mars1954». A la fin de la chronique, il cite les noms des neuf jeunes qui sont: Aït Ahmed, Benbella, Krim, Beboulaid, Ben M’hidi, Bitat, Boudiaf, Didouche et Khider.

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