Les huit non-jeûneurs relaxés par le tribunal d’ Akbou
Poursuivis pour atteinte à l’un des préceptes de l’Islam, les 8 jeunes prévenus, arrêtés le 31 août dernier dans la localité d’Ighzer Amokrane, 60 km à l’ouest de Béjaïa, ont bénéficié d’une relaxe au terme d’un procès qui s’est tenu hier au tribunal correctionnel d’Akbou. C’est en vertu de l’article 144 bis 2 du code pénal qu’ils ont été poursuivis mais, selon leurs avocats, la cour, ayant constaté le défaut d’infraction et l’absence d’éléments légaux, a estimé qu’elle ne pouvait condamner des citoyens pour non-observation du jeûne, car cela relève de la conviction intime, rapporte El Watan.
Que de temps perdu pour ces pauvres malheureux trainés en justice pour n’avoir pas observé le jeun pour lequel ils ne sont pas convaincus!
Où le droit de conscience dans notre pays?
Aucune position du F.F.S concernant ce sujet,Pour quoi?!
@ Anonyme ( l’autre , pas moi !)
« BOU KISTIOU » qu’il faut poser à notre cher( sans « E » , je précise !) T A O U S …..
Le pluralisme cultuel doit être soutenu.
C’est aussi ça la laicité, une laicité
tolérante.
L’égalité cultuelle doit accompagner cette exigence. Il faut mettre fin à la
consécration de la domination d’une
religion sur les autres rites ou cultes.
Faut-il rappeler que deuxles premières religions des Berbères ,ce sont le
Judaisme et le Christianisme. Des milliers de familles s’étaient judaisées ou christianisées .Elles gardent encore
les noms.
Mais, l’exigence principale de l’Etat
de droit (à construire),c’est la promotion de la sciences,du rationalisme,de l’esprit laique, de la libre pensée,donc une place prépondérante aux athées et agnostiques.
C’est ainsi que le spectre de l’islam
extrémiste dépérera…
Bien sur, la crise est fondamentalement
politique,mais multidimensionnelle par
son ampleur .
Toutefois, le « front idéologique » ne
doit pas être refoulé…
Les paretis ne doivent pas craindre de mesure leurs » champs d’audience réelle »
L’ajout de l’art. 144 bis 2 en 2006 confirme la tendance de l’APN : Assemblée non tolérante donc intégriste.
L’application de cette article est rejetée en Kabylie ( Akbou et Ain El Hammam) et appliquée ailleurs ( Oum El Bouagui, Biskra, Tiaret….).Alors ?
Les lois de la république ne s’appliquent pas pour tous les citoyens?
C’est de la descrimination!
apparament le système mafieux n’arrive pas assoir completement sa dictature en kabylie et c’est tant mieux ,par contre, il continue de distribuer la hogra équitablement parmi le ghachi sur les autre régions du pays.
Qui n’aimerait pas voir son pays se développer, progresser, devenir une nation respectable, moderne et prospère? : créer des richesses, et faire bénéficier tous ses compatriotes. C’est le souhait de tout un chacun. Même le scorpion des hauts plateaux algériens le souhaite. Pour réaliser ce rêve, il faut une toile politique de fond avec une transparence, une vision, une accountability, une bonne gouvernance, une bonne gestion des affaires du pays, et une bonne politique transparente de recrutement. En Algérie, il y a des hommes et femmes capables et compétents, et peuvent la différence. Mais, ils sont très mal utilisés. Un pays est une organisation. Qui dit organisation dit système politique, leadership et management. N’importe quel spécialiste d’organisation nous affirmera qu’il y a deux sortes d’organisations : une organisation fonctionnelle et dysfonctionnelle. Une organisation fonctionnelle fonctionne et crée des richesses et opportunités. Par contre une organisation dysfonctionnelle échouera tôt ou tard, même si on y injecte tous les ressources du monde. Un individu compétent va amener sa valeur ajoutée dans la première, mais il ne pourra rien faire dans la deuxième. C’est une perte dans le temps et en retour en investissement . C’est exactement la même chose pour un pays ..
D’ailleurs, il ne faut pas être impressionné par le CV d’une personne, et de là déduire, de facto, qu’il va changer quelque chose, et c’est la personne qu’il faut. La vraie question à se poser, n’est pas son CV, ni les positions occupées. Ce sont aussi son attitude, sa personnalité et ses réalisations sur le terrain. Quelles ont été toutes ses réalisations, ses réformes, ses projets, et la réussite des mises en œuvre ? A partir de ceci, on pourrait dire que tel individu peut faire la différence. Le CV n’est qu’une façade, car il y a des bâtisseurs motivés et des gestionnaires de postes. Comment peut-on parler de changement, quand on nomme 11 ministres d’une même APC ? On appelle cela la politique du tribalisme et du clientélisme. En Algérie, cela ne sert à rien de faire des remaniements ministériels, ou des mettre des gens à postes. Depuis 1962, l’Algérie est comme les poupées russes. On change et on remanie. Et, on remet toujours les mêmes figures. Ce qu’il faut changer, c’est le leadership (le gouvernement), le management (les hauts fonctionnaires), et surtout le système politique et les politiques d’application pour que :
- Les institutions nationales soient efficaces, et transparentes,
- La politique de résorption du chômage (40% des jeunes sont au chômage),
- La politique d’insertion dans la formation professionnelle
- La politique démographique,
- Ministère des religions : Prêcher un islam moderne, d’ouverture, et de tolérance, et non le wahabisme
- Respect des libertés individuelles
- Stabilité politique et Sécurité, car un simple policier peut faire sa propre loi, le beau et la pluie sans être enquiquiné !
- La qualité du système éducatif,
- La justice indépendante et saine: Pas une justice poreuse et de la hogra, Etc……..
Quand un pays ne fonctionne pas, à tous les niveaux, la solution qui est prête à portée de la main : c’est la manipulation politique, le régionalisme, la politique étrangère de prestige, la répression, la hogra, la corruption et la harraga. C’est connu, que dans une organisation dysfonctionnelle : » Tout changement ou restructuration ne sont que non-changement », car c’est la toile de fond qu’il faut changer, et non la peinture des murs.
Sage décision…il faut que l’algérie décide bien un jour ou l’autre de devenir un pays ou la laicité serait systeme politique…
Un ministère des religions ? Ah, non!
Surtout pas ! Non seulement ça n’a pas d’utilité, mais c’est que ce serait dangereux !
Un Etat de droit, démocrtaique,laic
doit veiller à séparer la/les religions
de la « cité », grantit le pluralisme
cutuel, mais aussi l’égalité cultuelle.
Ce qui suppose la fin de la consécration
de la domination d’une religion (entendre
l’islam) sur les autres, étant donné la
pluralité historique du patrimoine
religieux en Algérie : le judaisme , le
christianisme, l’islam,le bahaisme .
L’Etat de droit doit proumouvoir la laicité, le rationalisme scientifique,la promotion et la vulgarisation de la science et des technologies La Libre
pensée, l’athéisme et l’agnosticisme
doivent avoir leur place….
La gestion des cultes est une attribution relevant du Ministère de l’Intérieur.
Le système socio-éducatif doit etre
laic, la religion ne doit pas y etre
enseignée…
- suite -
L’Education cvique en tant que dicipline/matière scolaire pourra
introduire un ou des chapitres sur le
» fait religieux « , sous les angles historiques et sociologiques, donc de manière struturée,scientifique…En
philosophie (en Terminale), une ou deux leçons lui sont consacrés déjà…
Cependant, L’Education nationale ne
doit en aucun dispenser un enseignement
relighieux.Ni Bible, ni Coran, ni Thorah.