Nouveau DG de l’APS: Un nom remplace un autre
El Erg Echergui pour « Algérie Politique »
Un nom remplace un autre, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Cet énième pingouin est un enfant du système, rompu à la culture de l’opacité et de la chape de plomb. Il mange bien, s’habille bien, vit bien et voyage souvent. Sa famille est à l’abri du besoin et tout marche à merveille. Alors que demande le peuple de plus ? La voie est toute tracée par Zahia Benarous: la réussite sociale et le sénat avec sa sinécure et sa belle vie comme ultime récompense pour les journalistes dévoués et incompétents. Incompétents!? Ce n’est pas moi seul qui le pense, mais c’est le ministre de la Communication et ex-responsable de l’APS qui l’a déclaré à haute voix à l’APN.
Monsieur Nacer Mehal parle en connaissance de cause, on le croit sur parole. Qui a dit que le gouvernement ne sait pas faire de l’autocritique… de circonstance. Le ministre a même parlé de manque d’intégrité et d’inefficacité des journalistes. C’est un jugement assez dur, mais heureusement pas très grave pour la carrière des journalistes de l’APS et de la télé. Les journalistes à part transmettre la vision et les déclarations des autorités sont incapables de débattre politiquement donc incapables de faire une analyse objectif sur la situation générale du pays. C’est pour ça qu’il va leur ouvrir la télévision pour les débats politiques. Et c’est pour ça que des journalistes comme ceux de l’APS, de la télé etc., n’arrêtent jamais d’être promus, jusqu’à devenir ministres et sénateurs…
Commentaires(7)
vive la brosse,plus tu t’aplatis, plus tu lèche les botte et plus tu monte dans l’ echelle sociale et tu descends dans l’ autre echelle, celle de la dignité,de l ‘honneur, des vertus et des valeurs nobles.Mais aujourd’hui, qui s’ en soucie, l’ essentiel? c’ est de construire un avenir pour ses enfants. Méme si l’ argent est sale et meme s’ il faut mentir,etre hypocrite ou tuer,la devise pour ces predateurs c ‘ est « MANGE AVANT D’ ETRE MANGE!!!! Qu’ importent les moyens pourvu qu’ on fasse fortune,l’ argent n’ a pas d ‘odeur.DIEU SAUVEZ NOUS!!!!!
Cher El Erg Echergui, si tu soutiens aussi vigoureusement le ministre de l’information dans ses propos sur les journalistes algériens, je ne peux que m’interroger sur une aussi facilité dans laquelle on vous a eu. Mon cher, la vérité est ailleurs. Les journalistes de la télé ou de l’aps ne sont que de simple fonctionnaires, comme tous les algériens d’ailleurs, qui travaillent pour leur croûte. Nos journalistes, les vrais, ont assez donné. De leur vie et de leur sueur pour que ce pays se redresse, se batte contre l’hydre terroriste. C’est un acquis pour les journalistes. Cela dit en passant, Mehal est très mal placé pour critiquer la presse algérienne ou les journalistes qu’il dirigeaient pendant plusieurs années. S’ils sont mauvais, c’est à son image. Pour votre gouverne, Mehal est un très mauvais journaliste d’abord, ensuite un très mauvais responsable. En son temps, ils attendait les journalistes devant le portail de l’APS et renvoyait ceux qui arrivaient en retard. sa reptation l’a suivit au ministère même. Ceux qui ont travaillé sous sa coupe n’en reviennent pas, très mauvais gestionnaire, peureux et tout le temps en train de râler pour un oui ou un non…. je m’arrête là
@ El Erg Echergui
Le Ministre de la Com. sait pertinement que la corporation est « truffée » de journalistes en « Service Commandé » (Public/Privé) donc , il a dû se faire sermonner par les responsables des différents segments des services de Sécurité .
Pourquoi ?
Parce que les « Srabesses » sont sensés avoir « recruté » parmi les journalistes les plus brillants de leurs Rédactions . (J’insiste sur : « sont sensés » !)
D’où l’attitude cavalière de Nacer MEHAL , qui traite finalement, devinez qui ? …..Les Services de Sécurité ! ….d’être IN-COM-PE-TENTS . CQFD , Ya Si El.Er.Ech !!!
Hamid Khacha n’a jamais été journaliste, c’est un membre du DRS. A Bruxelles, il n a pas écrit un seul papier; il a été rejoint par une journaliste qui elle lui faisait le boulot. Mais remarquez bien avec moi une chose, Hamid kacha, toufik khalladi et M’hal sont tous les trois tlemcéniens???
@ LANGERIEN
Je pense que si vous lisiez le billet au second degré, vous pourriez déceler autre chose que ce que vous m’attribuez. Personne n’est assez dupe pour croire que Nacer Mehal est sincère dans sa critique, puisque toute sa vie professionnelle a été consacrée à la consolidation d’un Etat autoritaire, inique et corrompu, contrôlée par un pouvoir militaire criminel qui se place au-dessus de la loi et de la Constitution.
D’un autre côté, il serait hasardeux de faire l’amalgame entre les journalistes qui, de par leur fonction, participent à la propagande officielle d’une façon ou d’une d’autre et les fonctionnaires de l’Etat encore intègres (excepté les hauts responsables) qui, eux, ne pensent pas moins que nous sur la nature despotique du pouvoir algérien. La croûte des uns est infecte puisqu’ils nous empoisonnent la vie des Algériens, celle des autres est légitime et compréhensible. Les journalistes et les hauts responsables qui acceptent la censure ou versent dans l’autocensure contribuent sciemment pour maintenir le pays dans un état de servilité et de soumissions. Ils sont comme les hérauts et les bourreaux d’un seigneur sanguinaire qui sévit parmi la population démunie et vulnérable. Les autres « sujets » de l’Etat ne peuvent survivre autrement que d’être fonctionnaires dans les institutions de l’Etat ou salariés dans des entreprises publiques. Les « propriétaires de l’Etat » savent jouer sur cette corde sensible. Affame ton chien, il te suit. La tournure en queue de poisson du vaste mouvement de revendication syndicale des enseignants, il y a quelques mois, est assez édifiant et montre toute l’emprise de pouvoir sur les fonctionnaires. Quand le pouvoir a menacé leur croûte, les enseignants grévistes ont rapidement baissé les bras et ont mis fin à leur grève.
Sur un autre chapitre, vous avez évoqué les journalistes dont la valeur et l’héroïsme sont synonymes, selon vous, à la résistance à l’ « hydre islamiste ». Sur cette question qui appelle à la prudence, personnellement je fais une nuance entre ceux qui résistent ou ont résisté à l’islamisme politique avec seulement leurs plumes et ceux qui ont appelé l’armée à intervenir dans la vie publique pour, disent-ils, « sauver la République ». Les premiers sont honorables, les seconds non. Les journalistes qui résistent à l’islamisme avec des massacres non clarifiés, des camps de concentrations et de milliers de disparitions n’ont rien d’héroïque. Ces derniers ne sont pas moins coupables de violence que les généraux génocidaires et les groupes islamiques armés qui sont une créature d’une puissance qui n’a rien d’islamique. Un journaliste qui passe sa vie à dénoncer l’islamisme tout en se gardant de dénoncer les méthodes barbares du DRS est un lâche. Il ne sert pas la vérité et ne contribue pas à panser les blessures profondes des Algériens. Leur lâcheté est devenue criarde, ces derniers temps, par le silence de mort qu’ils observent toujours devant les revendications légitimes des familles des disparus entre autres. Ils ne vont pas jusqu’au bout de leur logique pour défendre la position de l’Etat et des généraux qui veulent enterrer au plus vite ce dossier. Ils ne vont pas non plus dans le sens contraire pour chercher la vérité : ils ne veulent pas la voir. Ils savent pertinemment que ceux qui « ont sauvé la République » sont de la même nature que ceux qui voulaient la détruire. Par contre, pour un seigneur de la guerre comme Mohamed Gharbi, ils ont fait bloc autour de lui et ont fait beaucoup de tintamarre médiatique, pour demander sa libération. Toute leur hypocrisie est là.
Diriger un poste aussi sensible ne peut
etre « octroyé » sans « l’imprimature » de la
SM-DRS ! Inconcevable !
Pour une affectation aux rubriques
« politique, société, internanational »
sans parler de »la défense,sécurité/aire »
il est impossible d’accéder sans l’aval
du Département de propagande et désinformation de la SM-DRS.
La Junte dictatoriale ne peut se résoudre à accépter les principes d’
« autonomie et indépendance », conditions siné qua none de la construction
démocratique du « champs médiatique » à
même d’acheminer vers l’édification d’un Etat de droit.Le même procédé coércitif est parallèlement appliqué au « champ
politique » par l’interposition d’ « agitateur » spensorisés et mis au devant de la scène par les Généreux véreux et mafieux….
Ces journaleux ou vulgaires plumitifs et propagandistes à la solde de la Junte
agissent de concert et en totale symbiose
avec ces faux opposants,pseudo démocrates
micros partis, tous faisant partie de ce
« façonnage artificiel » monté par les Maitres de la SM-DRS, et ce depuis 1989.
Je suis sidere de la legerte avec laquelle vous caricaturez les personnes qui exercent chez l Etat comme si ce pays pouvait tourner sans fonctionnaires, sans magistrats sans diplomates etc…
Je peux comprendre que chacun a eu sa fortune personelle ( evolution de carriere) mais a racourcir aussi facilement les portraits c’est plus qu infamant
Je ne connais pas ce Monsieur Kacha encore moins ceux qui regulierement tombent sous les phrases assassines de blogueurs mais je pense qu’avec la pauvrete intellectuelle qui fait des ravages y co;pris sur ce site on est loin du compte.