21 décembre, 2010
Pas au nom des Kabyles, SVP !
Le président du Haut Conseil de la Diaspora Kabyle (HCDK), Arezki BAKIR, a osé parler au nom des Kabyles de France lors des assises « antiislam » tenues le 18 décembre à Paris. Alors que le rôle d’une diaspora est de contibuer au développement de son pays d’origine, sinon de sa région d’origine, les membres du HCDK se distinguent plutôt par leur rapprochement des milieux hostiles à l’islam et aux musulmans. Sinon comment expliquer la participation du président autoproclamé de la communauté kabyle en France, aux « assises internationales contre l’islamisation », organisées par des militants extrêmistes ?
Ce président autorproclamé a déclaré à Kabyle.com que « Les kabyles de France et de la Diaspora doivent être au service de la défense des valeurs républicaines, de la laïcité et des libertés, individuelles et collectives. C’est le sens de notre présence à ces assises. Ce n’est qu’à ce prix qu’ils pourront défendre au mieux leur identité d’origine« . Par ailleurs, une délégation du drôle du Gouvernement Provisoire Kabyle conduite par Ferhat Mehenni a pris part au colloque organisé le dimanche 12 décembre 2010 à Paris par l’Union des Patrons et des Professionnels Juifs de France. El Mouhtarem
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Selon un câble de la diplomatie américaine daté de 2005, Bouteflika a fait savoir au sénateur américain Richard Lugar que dès 1999, il avait pris une décision qui a contrarié « l’armée et les services de renseignement de ne pas impliquer l’Algérie dans une guerre si le Polisarion décide de reprendre la lutte armée ». « Le Polisario n’impliquera pas l’Algérie dans une guerre », a déclaré Bouteflika en faisant savoir aux diplomates américains qu’il interdira aux sahraouis de se servir de l’Algérie comme « une base arrière » El Mouhtarem
Le président Abdelaziz Bouteflika montre sa préférence pour la contrebande. Dans un mémo datant de 2005, le chef de l’Etat a déclaré, en marge d’une entrevue à Alger avec Richard Lugar, président de la commission des affaires étrangères du Sénat américain, que le Maroc profite bien de la fermeture des frontières avec l’Algérie, «car il gagne chaque année trois milliards d’euros de la contrebande ». Selon la logique de Bouteflika, vaut mieux faire profiter les contrebandiers que le peuple marocain. El Mouhtarem
A partir du 21 décembre 2010, Reporters sans frontières hébergera à l’adresse
Abdelhafid Feghouli, PDG de Tassili Airlines et ancien PDG par intérim de Sonatrach, a été placé, lundi 20 décembre, sous mandat de dépôt, par le juge d’instruction du tribunal d’Arzew, à Oran. Feghouli est mis en cause 




