Le mensonge de Ould Kablia

ould.jpgDans un entretien accordé aujourd’hui à l’APS, le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales a indiqué que les services de sécurité ont enregistré 736 blessés dans leur rang, 53 blessés l’ont été parmi les manifestants. Le ministre a annoncé hier sur les ondes de la chaîne 3 de la radio nationale que ses services ont enregistré 320 blessés parmi les services de sécurité et 100 blessés parmi les manifestants. El Mouhtarem 

Commentaires

  1. justice&verite dit :

    Menteur,
    Assassin et
    Voleur
    de la nation algerienne.

  2. aboudouma dit :

    Mr Ould Kablia, vous qui annoncez triophalement qu’une page est tournée……dites nous de quel livre elle fait partie?
    Est ce le registre du pillage integral des ressources nationales algeriennes?
    Est le manifeste de la gabegie , de la corruption et des passe droits que les generaux -vampires s »octrioient a eux memes et a toute leur progeniture?
    est le registre des 250000 tues , assassines , deportes, enterres vivants ou des croupissants dans les goulags secrets du sahara?
    Est ce le livre des lamentations, des pleurs et des sanglots des meres , des epouses et des soeurs de ces disparus que vous malmenez chaque mercredi que fait le bondieu?
    Est ce le livre des records de la felonie, des coups bas et manipulations qui sont la base des relations avec le monde exterieur jusqu’a avoir obtenu l’isolation complete de l’algerie et la punition humiliante de ses ressortissants?

    quelque soit le livre de la page que vous decretez fermee, j ai le regret qu’elle ne le sera pas …elle ne le sera jamais…..elle restera ouverte dans la rue ou les jeunes algeriens hurleront leur malheur, leur « degoutage » et leur desespoir en la ponctuant par les pierres et n’importe quel projectile……elle restera ouverte pour l’Histoire que vous avez violee , malmenee et que vous avez voulu asservir…..tetue, cette derniere clamme son triomphe par la voix des jeunes algeriens…..cette jeunesse aqui elle a confié ses secrets et a qui elle promet l’avenir radieux parce que democratique, stable et debarrassé des parasites comme que vous Mr Ould kabliya, les generaux-importateurs monopolistiques-affameurs et leurs servants civils et serviles…..
    Cette page et encore d’autres ,qui se comptent par milliers , resteront ouvertes pour temoigner contre vous le jour des justes devant le Tribunal Penal International………elles resteront ouvertes pour garder en memoire ….celle de tous les algeriens ……notamment vos descendants messieurs les bourreaux ……..la forfaiture de votre hold up , de vos crimes contre le peuple algerien et ….le monde entier……..
    ….MM les generaux-assassins-profiteurs -incompetent-gateux
    MM leurs complices civiles et serviles …..votre Nuremberg approche…..

  3. NARMOTARD dit :

    « Le mensonge de Old Kablia », dites-vous.

    J’estime qu’aboudouma dit la vérité.

    Ces menteurs du pouvoir clanique de la RADP ne sont autres que ceux-là mêmes qui avaient opté et optent encore pour la méthode du mensonge, des barbouzes, des meurtres de leurs opposants politiques. Ils rejettent, « globalement et dans le détail » les propositions que suggère le FFS, seul parti d’opposition politique crédible, dans le stupide but de continuer à dominer leur peuple localement afin de l’exposer, ainsi affaibli, à l’exploitation des multinationales, aux dépens des Algériennes et Algériens.

    Mais, dans leur lutte légitime contre la somme colossale de mensonges et d’exactions au plans local, national et mondial, les peuples attachés à la vérité, à la justice, aux principes et valeurs universels, à l’intégralité des droits de l’homme et à la suprématie du droit universel, sortiront vainqueurs.
    Il suffit de choisir la bonne méthode de lutte ainsi que le bon partenaire.

  4. El Erg Echergui dit :

    Chez la dictature, il y a toujours cette indifférence méprisante pour l’Algérien « d’en bas ». C’est toujours ce dernier qui est coupable, ses revendications insensées, ses actes déplorables, sa violence criminelle et ses débordements inadmissibles. Les serviteurs zélés du régime algérien comme Ould Kablia, son dauphin Chorfi, et Belkhadem pour ne citer que les plus visibles d’entre eux, n’ont pas tari d’anathèmes pour stigmatiser une révolte populaire et légitime. Ces apparatchiks du système Bouteflika, grassement nourris, ont été unanimes pour fustiger les jeunes émeutiers et surtout minimiser la portée politique de leur action violente. Leur analyse et leur lucidité ne sont pas allées au-delà des dommages immenses qu’a causés l’ouragan ignorant totalement les causes ayant conduit à la formation et au déchaînement de cet ouragan. Dans ce contexte inédit, leur mission principale est de se dresser contre le désir de changement et contre toute alternative politique exprimée par la société à travers sa jeunesse. Une aspiration forte qui va être nécessairement relayée, avec plus de force, par la société civile et l’opposition démocratique qui se sont trop longtemps prêtées aux manœuvres de neutralisation ou de marginalisation du pouvoir.

    Par le biais de ses représentants, le pouvoir fait des tours de prestidigitation dans le but de plomber la vie politique et d’empêcher l’ouverture au sein de la société et dans les journaux d’un débat libre sur les questions fondamentales (Les médias lourds et publics continueront à être verrouillés devant la société civile libre et l’opposition démocratique). Un débat qui va s’imposer à tous suite à ces évènements douloureux et qui va nécessairement opposer le pouvoir à la société algérienne. Tous les moyens sont donc bons, y compris les inepties, pour résister à ce souffle qui enfle et gronde de plus en plus. Tous les mensonges et les boniments sont mis à contribution pour démentir les faits de la contestation d’ampleur nationale et nier l’existence d’une aspiration forte pour le changement radical et les réformes politiques et économiques. Des réformes dans lesquels… Ould Kablia et ses pairs dans le gouvernement n’ont pas de place. Et justement, le pouvoir en place, devant une telle perspective désastreuse pour ses privilèges, pousse ses manœuvres déloyales jusqu’à qualifier la revendication de changement, lorsque son expression devient très forte, comme une tentative de déstabilisation de l’Algérie ou une haute trahison.

    Ould Kablia ou la révélation d’une grosse pointure de la politique…

    Etant le premier concerné par les émeutes de la génération, dite, de « l’état d’urgence », Ould Kablia vient de révéler un talent insoupçonné, lui qui d’habitude reste en retrait de l’actualité politique laissant le champ libre au général-major Hamel sur qui il a peu d’autorité. Mais en parlant ces derniers jours, il brilla subitement par mille feux. Il montra un goût immodéré pour les analyses politiques de haute facture. En deux temps, trois mouvements, il transforma le blanc en noir et le noir en blanc et sans rougir. Dans ses dernières déclarations qu’il termina avec une interview avec un « e-journaliste » d’un site Web – du genre bébé moustachu dans son genre bébé moustachu – nommé « Algérie-Plus », il fait preuve d’une rare arrogance et sort brusquement un discours insolite dans lequel il ne s’embarrasse pas des contradictions et des invraisemblances débiles qu’il contient.

    Après avoir « contenu » l’insurrection, sans se soucier de la facture salée qu’elle va coûter au Trésor public –ce n’est pas un problème grave pour lui-, il bombe le torse et livre, le premier, sa lecture de l’évènement. Il ne s’agit pas d’une revendication politique, rassure-t-il – comme si le contraire l’aurait poussé à démissionner, lui le vertueux politique -. Il écarte d’un revers de la main tout lien avec la politique de Bouteflika ou avec un quelconque échec d’un programme économique. Selon sa lecture, il s’agit seulement d’ « un mouvement de violence épisodique » qu’il connaît bien; comme preuve, il donne l’exemple de la violence dans stades – passant sous silence les jacqueries locales-. En sommes pour lui, il n’y a rien de bien grave, seulement un tas de voyous, de frustrés et de jeunes égarés et de clabaudeurs; un « chahut de gamin ». Leurs parents sont plus raisonnables, assurent-ils. Et la preuve qu’il donne avec un extraordinaire sens de l’objectivité est la suivante : les adultes et les parents n’ont pas manifesté ». Selon Ould Kablia, pour qu’une insurrection soit prise politiquement en considération ou être considéré comme une contestation populaire contre le gouvernement, il faut que les « familles », parents et adultes, participent aux émeutes. Autrement les motifs des émeutes sont nuls et non avenus. Fichtre alors, les jeunes émeutiers ont manqué leurs coups cette fois…. Ils ignoraient les lois de Ould Kablia en matière d’émeutes. La prochaine fois, c’est certain, ils vont traîner leurs pères et leurs mères et leurs soeurs dans les batailles rangées avec la police. En attendant ce jour-là, Ould Kablia déclare sereinement qu’il n’y a rien à changer dans les orientations politiques ou économiques du gouvernement. Autrement la voie est encore libre pour Bouteflika, l’Algérie est encore sous contrôle. Le régime peut continuer à faire ce que, bon, lui semble même si, avec ses programmes politiques et son rafistolage économique, il bute sans cesse contre le mur faisant perdre à l’Algérie des milliards de dollars et une occasion précieuse pour un vrai décollage économique.

    Pour Ould Kablia comme pour tous ceux dont la survie dépend du pouvoir, faire de la politique se résume à quelques actions principales : faire passer des pilules au peuple, nier grossièrement la réalité, trafiquer les statistiques le plus sérieusement du monde et créer une illusion qui sera imposée à tous comme étant une vérité vraie et « officielle ». Dans le cas des dernières émeutes, le ministre de l’intérieur a fait un raisonnement qui laisse pantois. Il veut faire admettre aux Algériens que « ces évènements “déplorables” sont un phénomène attendu et presque fatal. L’insurrection « juvénile » est due simplement au manque de maturité de ses auteurs. Les Algériens doivent comprendre qu’ils ont à faire à un genre de houliganisme atypique et doivent se préparer à vivre de manière sporadique d’autres émeutes de même ampleur. Ce ne sont que des magmas de “voyous” capricieux qui déferlent sur les villes pour effrayer les honnêtes citoyens et détruire leurs acquis sociaux et économiques…

    A suivre…

  5. El Erg Echergui dit :

    Ould Kablia, tourne la page des émeutes, le chapitre de « Langue de bois, impunité et El hogra » se poursuit.

    Chez la dictature, il y a toujours cette indifférence méprisante pour l’Algérien « d’en bas ». C’est toujours ce dernier qui est coupable, ses revendications insensées, ses actes déplorables, sa violence criminelle et ses débordements inadmissibles. Les serviteurs zélés du régime algérien comme Ould Kablia, son dauphin Chorfi, et Belkhadem pour ne citer que les plus visibles d’entre eux, n’ont pas tari d’anathèmes pour stigmatiser une révolte populaire et légitime. Ces apparatchiks du système Bouteflika, grassement nourris, ont été unanimes pour fustiger les jeunes émeutiers et surtout minimiser la portée politique de leur action violente. Leur analyse et leur lucidité ne sont pas allées au-delà des dommages immenses qu’a causés l’ouragan ignorant totalement les causes ayant conduit à la formation et au déchaînement de cet ouragan. Dans ce contexte inédit, leur mission principale est de se dresser contre le désir de changement et contre toute alternative politique exprimée par la société à travers sa jeunesse. Une aspiration forte qui va être nécessairement relayée, avec plus de force, par la société civile et l’opposition démocratique qui se sont trop longtemps prêtées aux manœuvres de neutralisation ou de marginalisation du pouvoir.

    Par le biais de ses représentants, le pouvoir fait des tours de prestidigitation dans le but de plomber la vie politique et d’empêcher l’ouverture au sein de la société et dans les journaux d’un débat libre sur les questions fondamentales (Les médias lourds et publics continueront à être verrouillés devant la société civile libre et l’opposition démocratique). Un débat qui va s’imposer à tous suite à ces évènements douloureux et qui va nécessairement opposer le pouvoir à la société algérienne. Tous les moyens sont donc bons, y compris les inepties, pour résister à ce souffle qui enfle et gronde de plus en plus. Tous les mensonges et les boniments sont mis à contribution pour démentir les faits de la contestation d’ampleur nationale et nier l’existence d’une aspiration forte pour le changement radical et les réformes politiques et économiques. Des réformes dans lesquels… Ould Kablia et ses pairs dans le gouvernement n’ont pas de place. Et justement, le pouvoir en place, devant une telle perspective désastreuse pour ses privilèges, pousse ses manœuvres déloyales jusqu’à qualifier la revendication de changement, lorsque son expression devient très forte, comme une tentative de déstabilisation de l’Algérie ou une haute trahison.

    Ould Kablia ou la révélation d’une grosse pointure de la politique…

    Etant le premier concerné par les émeutes de la génération, dite, de « l’état d’urgence », Ould Kablia vient de révéler un talent insoupçonné, lui qui d’habitude reste en retrait de l’actualité politique laissant le champ libre au général-major Hamel sur qui il a peu d’autorité. Mais en parlant ces derniers jours, il brilla subitement par mille feux. Il montra un goût immodéré pour les analyses politiques de haute facture. En deux temps, trois mouvements, il transforma le blanc en noir et le noir en blanc et sans rougir. Dans ses dernières déclarations qu’il termina avec une interview avec un « e-journaliste » d’un site Web – du genre bébé moustachu dans son genre bébé moustachu – nommé « Algérie-Plus », il fait preuve d’une rare arrogance et sort brusquement un discours insolite dans lequel il ne s’embarrasse pas des contradictions et des invraisemblances débiles qu’il contient.

    Après avoir « contenu » l’insurrection, sans se soucier de la facture salée qu’elle va coûter au Trésor public –ce n’est pas un problème grave pour lui-, il bombe le torse et livre, le premier, sa lecture de l’évènement. Il ne s’agit pas d’une revendication politique, rassure-t-il – comme si le contraire l’aurait poussé à démissionner, lui le vertueux politique -. Il écarte d’un revers de la main tout lien avec la politique de Bouteflika ou avec un quelconque échec d’un programme économique. Selon sa lecture, il s’agit seulement d’ « un mouvement de violence épisodique » qu’il connaît bien; comme preuve, il donne l’exemple de la violence dans stades – passant sous silence les jacqueries locales-. En sommes pour lui, il n’y a rien de bien grave, seulement un tas de voyous, de frustrés et de jeunes égarés et de clabaudeurs; un « chahut de gamin ». Leurs parents sont plus raisonnables, assurent-ils. Et la preuve qu’il donne avec un extraordinaire sens de l’objectivité est la suivante : les adultes et les parents n’ont pas manifesté ». Selon Ould Kablia, pour qu’une insurrection soit prise politiquement en considération ou être considéré comme une contestation populaire contre le gouvernement, il faut que les « familles », parents et adultes, participent aux émeutes. Autrement les motifs des émeutes sont nuls et non avenus. Fichtre alors, les jeunes émeutiers ont manqué leurs coups cette fois…. Ils ignoraient les lois de Ould Kablia en matière d’émeutes. La prochaine fois, c’est certain, ils vont traîner leurs pères et leurs mères et leurs soeurs dans les batailles rangées avec la police. En attendant ce jour-là, Ould Kablia déclare sereinement qu’il n’y a rien à changer dans les orientations politiques ou économiques du gouvernement. Autrement la voie est encore libre pour Bouteflika, l’Algérie est encore sous contrôle. Le régime peut continuer à faire ce que, bon, lui semble même si, avec ses programmes politiques et son rafistolage économique, il bute sans cesse contre le mur faisant perdre à l’Algérie des milliards de dollars et une occasion précieuse pour un vrai décollage économique.

    Pour Ould Kablia comme pour tous ceux dont la survie dépend du pouvoir, faire de la politique se résume à quelques actions principales : faire passer des pilules au peuple, nier grossièrement la réalité, trafiquer les statistiques le plus sérieusement du monde et créer une illusion qui sera imposée à tous comme étant une vérité vraie et « officielle ». Dans le cas des dernières émeutes, le ministre de l’intérieur a fait un raisonnement qui laisse pantois. Il veut faire admettre aux Algériens que « ces évènements “déplorables” sont un phénomène attendu et presque fatal. L’insurrection « juvénile » est due simplement au manque de maturité de ses auteurs. Les Algériens doivent comprendre qu’ils ont à faire à un genre de houliganisme atypique et doivent se préparer à vivre de manière sporadique d’autres émeutes de même ampleur. Ce ne sont que des magmas de “voyous” capricieux qui déferlent sur les villes pour effrayer les honnêtes citoyens et détruire leurs acquis sociaux et économiques…

    A suivre…

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