Dellys: Le jeune qui s’était immolé par le feu a été enterré hier
Karim Bendine, un jeune de 35 ans qui s’était immolé par le feu le 18 janvier en plein centre-ville de Dellys (Boumerdes) a été enterré hier dans son village à Tala Ayache dans la communude d’Afir. C’est lors de son service militaire que Karim avait fait une depression nerveuse, témoigne un jeune de son village. Depuis, Karim avait souffet de troubles mentaux. Il a succombé à ses brulures après une tentative de suicide en s’immolant par le feu. El Mouhtarem
« Dellys: Le jeune qui s’était immolé par le feu a été enterré hier », dites-vous.
Une victime de trop sur le compte du régime dictatorial militaro-policier affolant et vomi de la RADP.
Allah yarham ech chouhada!
APPEL A LA JEUNESSE ALGERIENNE
Chers frères, chères soeurs, nos jeunes doivent immédiatement cesser de s’auto- détruire.
Il faut stopper ce fléau criminel.
Ils le font déjà assez à travers la drogue, la prostitution, la harga et le suicide sous differentes formes.
Le suicide par l’immolation, pour exprimer le désespoir ou ils se trouvent, ne changera rien à leur situation désatreuse et dramatique.
Ils doivent donc concentrer leur énergie contre les canailles qui ont fait de notre pays un cimetière pour les jeunes et un paradis pour eux et leurs clans.
Jeunesse algérienne, vous n’avez rien a vous reprocher, ne vous laisser pas détruire par les ennemis de notre pays, qui le moment venu vont s’enfuir comme des rats, comme l’ont fait BenAli et d’autres dictateurs avant lui.
Allah yarham Karim et les autres victimes.
http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
http://contreleclandoujda.centerblog.net
« Je partage ici le point de vue de « Jeune Algérien » ainsi que son conseil: « Il doivent concentrer leur énergie contre les canailles… ». La dispersion des énergies relève en effet de la stratégie de la police politique. Celle-ci consiste à « diviser pour régner », à désinformer les citoyennes et citoyens et à allumer des feux de paille en guise de soupapes et d’exorcismes pour mieux pérenniser la tyrannie et la toxicité du régime. C’est clair.
« At Sabredh, Atetchedh Aïn yobban », disait le père sage d’un écrivain algérien à son fils, professeur en médecine. C’est-à-dire, « patiente, tu mangeras quand c’est mûr ».
tout en rappelant la sagesse italienne de « qui va piano, va sano, va lontano « , soit, « qui va prudemment doucement, va sainement, va loin ».