Levée de l’état d’urgence: L’Algérie saluée par Barack Obama
Les Etats-Unis ont salué la décision prise par le président Abdelaziz Bouteflika pour la levée prochaine de l’état d’urgence en Algérie, l’a qualifiant «d’avancée positive». Dans sa conférence de presse quotidienne, le porte-parole du Département d’Etat américain, M. Philipp Crowley, a souligné à Washington que les Etats-Unis étaient non seulement «encouragés» par une telle décision mais ils considéraient qu’elle constitue aussi une «avancée positive».
Pour ce haut responsable de la diplomatie américaine, la décision prise par l’Algérie est «importante» et reflète «une dynamique émergente dans la région pour répondre aux demandes des peuples».
bonjour
ca veux dire peux mieux faire , et s il le fait pas on va l aider a le faire. alors nos politique ont le choix le faire de leur propre chef ou par force
a eux de choisir quelle maniere ????????
Finally the system of Algeria has decided to run off the state of emergency according to the spokes man M.Bouteflika but not to leave the power. Why is it now and not before? I think it’s a kind of self solution has come from this regime to avoid the clashes with the demonstrators which is scheduled, on 12th February in other to avoid the people’s proclamation from the regime to leave the power like Tunisia and Egypt.
Mr OBAMA has saluted this initiative in order to keep the American old associates and not to deal with new ones.
We ask M.Obama to leave the Algerian people to determinate their own destiny. Every one of us knows that the Algerian regime will do so, in other to stay in power and avoid any kind of prosecution as crime against humanity and genocides.
I believe that the only one who has the ability to decide what to do is up to the Algerian people, and not to the DRS or M.Bouteflika.
Ne nous leurrons pas et ne nous réjouissons pas trop tot, le processus d’injonctions directes graduelles émanant de Washington et de Bruxelles a bel et bien commencé, comme en Tunisie et en Egypte car la levée de l’état d’urgence est positive et nécessaire mais pas suffisante.
Obama commence toujours par saluer puis exige avant de dicter carrément une « map road » à suivre strictement par le pays malade de ses dirigeants autoproclamés.
Le pouvoir vieillissant algérien a donc le choix entre aller vite et suivre le mouvement de l’Histoire en mettant en oeuvre une véritable transition, en 12 à 18 mois, incluant des législatives et une présidentielle anticipées libres et transparentes ou bien il va se voir dicter publiquement par Washington, à travers les médias americains, les mesures à prendre, comme pour la Tunisie et l’Egypte et demain le Yémen, la Syrie, la Lybie et les autres tyrans arabes ratrappés par l’Histoire.
Sur la question de la souveraineté limitée des pays arabes,
voir : »Improvisation vs Stratégie » d’amine Benrabah paru dans
http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
ou « Tant qu’il y aura des femmes », paru dans :
http://decoeuracoeur.centerblog.net
Barak Obama a l’air de nous dire que son ordre de » levée de l’ état d’ urgence » a été bien reçu par BOUTEFLIKA.Le président algérien a bien appris la leçon de ses chefs.Notons seulement que pour l’instant le président n’a fait qu’annoncer son intention de lever cette loi et que l’exécution est encore loin de l’être.
Peut-être que le pouvoir est en train de nous concocter une autre forme de loi pour d’autres restrictions.
c est pas suffisant et c est trop tard il faut maintenant qu’ils fassent valises et deguerpir car ils ont encore le sang dans des algeriens sans oubier les scandales economiques …
Au congres americain ,quand on vote c’est pour voter,un choix electoral que tout le monde reconnait.
Au parlement reconnu sur le front de mer
à Alger,on vote pour pouvoir aller roter comme des bebes apres un bon repas arrosé de limonade ou de jus Machicouli,avec l’imprimature de Monsieur le president de l’assemblée.
On delegue ,on ajourne,on bacle pour le
resultat,on exhulte et pour quel resultat ?
Dirigé par ordonnances,au temps de boumedienne,le journal officiel portait nomenclature « ennarque » en peau de chagrin
un peu a la maniere de notre actuel barlaman essouflé,rassasié,par tant de repas,de grillades,de mechouis,de salades
arrosés a force de limonades et de jus Machicouli…
B.OBAMA le savait avant notre que notre semblant de president ne le declare dans ce pays.
Sidna Hossein Abou Mbarak , que Dieu nous le garde et protège est entrain de débarasser les peuples arbo musulmans de leurs despotes qui considérent que leur pays et leurs propriétés privées, de les aider à recouvrer leur liberté et dignité . C’est grâce au soutient qu’il apporte aux révolutions tunisienne et égyptienne que notre régime « Aoudou billahi mina Achaytan Er régime’ a été contrain de prendre les dérnières
déciions d’ouverture démocratique. C’est une faiblesse de leur part ,il ferait mieux de se retirer dans la dignité et laisser la places aux jeunes car on ne fait jamais du neuf avec des chnocs dégénérées et dépassés par l’histoire.
apparemment OBAMA assume ce qu’il a dit dans son discours d’investure : »« A ceux qui s’accrochent au pouvoir par la corruption, la tromperie et en réduisant la contestation au silence, sachez que vous êtes du mauvais côté de l’histoire. Mais que nous tendrons la main si vous voulez desserrer votre poing »
en tout les cas ca se verifie(avec tout les calculs qu’on peut faire) pour le cas de l’egypte qui d’ailleurs beaucoup plus complexe que l’algerie.
une chance pour l’algerie,aux algeriens de realiser leurs reves!
Belle analyse. Simplement venant de l’ex commandant « Ringo » qui terrorisait les automobilistes à Lakhdaria, c’est triste. Quand on est disqualifié, on ne joue plus, commandant.
C’est fini.
« Levée de l’état d’urgence: L’Algérie saluée par Barack Obama », dites-vous.
Ce salut « diplomatique » selon moi, est précisément prématuré, car l’État d’urgence est toujours en vigueur en Algérie.
Mais, en même temps que cette annonce en conseil des ministres, le chef de l’État algérien a également demandé
l’élaboration d’un projet de loi anti-terroriste.
Ce projet de loi anti-terrorite me rappelle la loi anti-terroriste américaine connue sous la dénomination de « USA PATRIOT ACT » qui est proche de l’État de siège, donc plus dure que l’État d’urgence.
Actuellement, les intérêts des Américains en Algérie et dans la région du Sahel, demeureront donc en sécurité et sous bonne garde du régime dictatorial et pseudo démocratique de la RADP, jusqu’à ce que le peuple, désabusé, éveillé politiquement et organisé, manifestera massivement, comme il l’avait fait les 12 décembre 1960-1961 contre le régime colonialiste français.
Les dictatures sont des États faibles qui se mettent docilement sous la botte des puissances dominatrices, prédatrices et spoliatrices des richesses des peuples indigènes encore endormis par les fausses promesses d’un État de droit, de droits de l’homme et de démocratie.
si le regime algerien avait un gramme de pudeur …..il devrait demissionner et partir….ces felicitations ironiques disent long sur ce que pense le monde des gouvernants algeriens!…
.se faire feliciter pour avoir rendu un gramme de liberté aux citoyens !……le ridicule ne tue plus !
Quand on fait des saloperies chez nous et que,sous la pression conjoncturelle, ça finit par lacher du lest,on s’en félicite du satisfécit occidental, des kouffars donc, ,à ce que je pige,un agrément ou une distinction !
Obama ou tartanpion s’en félicitent alors que c’est le peuple algérien qui note ses politiques.
Yakhi zmen !
Dans ce cas,pourquoi continuer à faire des gaffes ou faut-il attendre que ça soit décoré ou bien vu chez les autres,les étrangers, les kouffars ,nous, qui sommes musulmans, de la lignée de Sidna Mohamed,plus juste que les justes ?
Enfin les puissants de ce monde ont fini par comprendre que soutenir des régimes dictatoriaux à l’image du notre c’est ce se positionner à contre courant de l’histoire.Ces dits régimes ont longtemps rusé avec leurs peuples par la manipulation,l’intrigue et la repression pour se maitenir.Après avoir fait le vide autour d’eux en ecrasant l’opposition et toute contestation,ils ont failli induire en erreur la communauté internationale en se plaçant comme seuls interllocuteurs et seule force capable de faire face au danger integristes qu’ils ont eux meme favorisé et fabriquer.Maintenant que les masques sont tombés,tous les peuples et les gouvernements dignes du monde entier doivent désormais choisir leur camp. Celui de la dignité,la liberté et de la démocratie ou celui des corrampus,du mépris,de la honte,du mensonge et de la dictature.Franchement,aucun argument ni interét aussi géostratégique soit-il ne peut constituer une raison valable pour priver un peuple de sa liberté et de son droit à prendre en charge sa propre déstiné.
Avis aux amateurs :
Hillary Clinton sur les pays arabes: « Le statu quo n’est tout simplement pas viable »
Les dirigeants des pays arabes sont confrontés à une « tempête » qu’ils ne pourront pas contenir longtemps, a estimé samedi la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton, les prévenant que s’ils résistaient à cette vague de fond, ils ne feraient que nourrir l’extrémisme, l’insécurité et l’instabilité.
« La région est balayée par une tempête de courants puissants », a déclaré la cheffe de la diplomatie américaine, après le renversement du président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali et tandis que la contestation se poursuit en Egypte et au Yémen.
« Les dirigeants de la région peuvent peut-être contenir la vague un moment, mais pas longtemps », a poursuivi Hillary Clinton.
Pour elle, un changement rendra les pays arabes plus forts, plus prospères et moins fragiles face aux idéologies intégristes. Faute d’évolution, ils seront davantage menacés par l’insécurité.
« Ce n’est pas une simple question d’idéalisme; c’est une nécessité stratégique », a plaidé la secrétaire d’Etat américaine. « Sans une avancée authentique vers des systèmes politiques ouverts et responsables, le fossé entre les peuples et leurs gouvernements se creusera et l’instabilité ne fera que s’aggraver ».
« Le statu quo n’est tout simplement pas viable », a-t-elle jugé, en évoquant les soulèvements populaires à Tunis et au Caire.
« Certains dirigeants peuvent croire que leur pays est une exception, que leur peuple ne demandera pas de plus grandes opportunités politiques et économiques ou qu’il peut être apaisé par des demi-mesures », a-t-elle analysé, tandis que le président Hosni Moubarak refusait de quitter le pouvoir. « A court terme, c’est peut-être vrai; mais sur le long terme, c’est intenable ». AP
Boutef rah fi warta kbira.
Ainsi finissent les tyrans : lynchés ou exilés, rarement sur leur lit.
Boutef rah fi warta kbira.
reponse:
comme toujours !
n a t il pas imploré les americains de le sortir de la warta saharienne avec le maroc?