LADDH: conférence de presse mercredi
Dans un communiqué rendu public hier, la Ligue Algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH) annonce l’organisation d’une conférence de presse ce mercredi 02 mars 2011 à 11h00. Lors de cette rencontre avec la presse, les dirigeants de la LADDH annoncerons la création d’une cellule nationale de lutte contre la corruption. La conférence aura lieu au siège de la LADDH sis au 5 rue frères Alleg,(niveau 101 Didouche Mourad) Alger. El Mouhtarem
C’est une excellente nouvelle.
Bon courage Me Bouchachi !
Les petits ruisseaux forment les grands fleuves et non pas le contraire, comme ce fut le cas avec l’amère expérience de la CNCD.
SOS, peuple et pays en danger !
Pas d’amnistie pour les corrompus et les corrupteurs !
http://amnistie.centerblog.net
Pour avoir une idée sur les autres fléaux et maux sociaux qui minent l’Etat et la Societé algériens aujourd’hui, visitez les blogs suivants :
http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
http://contreleclandoujda.centerblog.net
http://toutsurlelectionpresidentiellede2009.centerblog.net
http://nonalelectiondelahonte.centerblog.net
http://denosancetres.centerblog.net
http://algeriepolitiqueetsociale.centerblog.net
Le magot estimé à 2 milliards de dollars appartenant à Messaoud Zeggar l’ami intime du president Boumedienne, avait été récupéré par l’Arbi belkheir. En décembre 1982, Larbi Belkheir décide de mettre fin à l’épopée Zegggar. Arrête sans ménagement, il est soumis à la torture des mois durant. Que le dossier d’accusation soit mince importe peu; lorsque un capitaine, juge d’instruction militaire, montre quelque réticence à poursuivre ((un dossier vide)), le capitaine Y, un homme de Larbi Belkheir , lui répond: (( Rendez une ordonnance de non-lieu si vous avez l’étoffe d’un héros.)) Les cimetières débordent de cadavres de héros… Croyant montrer sa bonne fois, Zéggar accepte d’emblée de reverser l’intégralité de sa fortune au Trésor algérien; mais qui a parlé de l’intérêt national? L’ambition de Larbi Belkheir est de se l’approprier personnellement. En échange de promesses de libération? Zeggar cède les 2 milliards de sa fortune ( placée en Suisse) à une meute de prédateurs missionnés par ses tourmenteurs . Lorsque le dernier centime de ce monumental patrimoine a chagé de main, nous sommes en 1985: le pouvoir alors est quasi verrouillé par le clan Belkheir. En septembre, un procès expéditif condamne Messaoud Zéggar à trois ans de prison pour des délits secondaire. L’un des juges, résume la situation par ce commentaire: ((Zéggar a été arrêté pour être délesté de sa fortune par certains individus.)) Relâché après avoir purgé 33 mois de prison, dépourvu de passeport, il est contraint de rester une année de plus en Algérie avant de bénéficier de la ((mansuétude)) de ses bourreaux. Il se réfugie alors en Espagne, où il succombe à une crise cardiaque en 1987.
Histoire des crimes contre l’humanité contre l’humanité en algerie dites-vous independante…
Comme avait fait le colonialisme Pierre avant 1962 Refait le new colonialisme Abdelaziz apres 1962.
http://www.youtube.com/watch?v=_sXThKd_Rkg
Les criminels assassins sont connus/devoilés.
Il faut les juger car l’histoire les a jugé.
Une belle initiative! il faut maintenant multiplier ses initiatives pour préparer le peuple à s’intéresser à la chose politique! bonne continuation
lors d’une certaine en scandinavie sous Chadli avec son parrain le gene-ral Belkheir, des valises pleines d’argent sont deposées dans des comptes dans une banque scandinave.
Nous y reviendrons pour d’amples infos!
SOYONS NOMBREUX AU MEETING DU FFS le 4 mars à la salle Atlas de Bab el Oued
Depuis quelques semaines, la rue algérienne connait une effervescence que l’on n’a pas connue depuis la légendaire reprise de volée d’Antar Yahia à Oum Dorman.
Mais il ne s’agit plus de football aujourd’hui. Il ne s’agit même pas d’un jeu. Scotchés à Al Jazira ou à Internet, les gens ne parlent que de Tunisie et d’Egypte libérées. Ils parlent aussi et surtout de l’ignoble Kadhafi qui en tirant aveuglément sur la foule a fait sonner le glas d’une ère désormais révolue. De Tamanrasset à Alger, d’Oran à Annaba, les Algériens jubilent à la vue de ces dictateurs corrompus (un pléonasme) qui sont rattrapés par leur peuple. Le monde arabe se réveille. Le monde arabe se regarde enfin en face et ne se reconnait presque plus. Il se sent des ailes, il se découvre une force nouvelle. Qu’en est-il de cette prise de conscience chez nous en Algérie? Si aucune pierre n’a encore atteint son objectif, ça gronde toutefois aux quatre coins du pays. Ceux qui s’immolent par le feu veulent faire comprendre qu’ils ne veulent plus mourir en silence. Juste à coté de ce geste de désespoir profond, le reste de la société réclame sa part de liberté. Syndicats autonomes, associations, partis politiques, simples citoyens : l’immense majorité des Algériens veut en finir avec ce système. Mais en marge de cette effervescence, certaines voix appellent étrangement….au calme et à la raison. Comme si tout ce qui se passe ailleurs chez nos voisins était incompatible avec notre réalité à nous, certains pseudo-intellectuels essaient de nous faire comprendre que les révolutions ont chacune leur particularité et que (pour reprendre une phrase à la mode) on ne peut pas faire du copier-coller. Ces messieurs se relaient à la barre avec tant de régularité et d’énergie que l’on ne peut que s’interroger sur l’objectif de tant d’assiduité. Est-ce vraiment pour éviter un bain de sang ? Est-ce pour éviter une guerre civile qui entamerait l’unité de la nation ? Sans vouloir manquer de respect à personne, on est tout de même en droit de se poser des questions et de trouver très suspectes ces voix qui refusent de faire écho à la vox populi. « Ne manifestez pas dans la rue, vous risquez d’y laisser votre peau », « Les Algériens ont la mémoire courte s’ils ont oublié déjà les 200 000 morts et les massacres », « Il faut respecter les lois en vigueur et ne pas violer les interdictions », nous dit-on. Franchement, ces messages donnent plus l’impression de menacer les gens que des les prévenir d’un véritable danger. C’est vrai que la limite entre les deux concepts est subtile, mais il est également vrai que les Algériens ne sont pas stupides. Le système scolaire les a peut-être trahis mais nos jeunes savent quand on leur parle et quand on essaye de les entuber. Il est par ailleurs intéressant de constater comment nos habituels champions du panarabisme se trouvent si subitement « singuliers ». En taillant à droite et en coupant à gauche, ces forces du statu quo veulent en tout cas nous faire croire que le problème algérien est simplement d’ordre technique et que quelques réglages ici et là suffiront à remettre en route une machine qui n’a pourtant jamais marché. Quelle lecture absurde de notre réalité! Que d’atteintes à notre intelligence dans ces propos attachés à de trop grosses ficelles ! Si ont peut bien admettre que les révolutions ne se copient pas, on peut toutefois objecter qu’elles ont toutes en commun d’être alimentées par l’injustice, le mépris, l’arbitraire, la pauvreté et l’hypocrisie. Autant d’ingrédients qui entrent dans la composition de notre quotidien. L’autre argument avancé pour discréditer la moindre voix discordante consiste à crier au complot à la moindre déclaration de la communauté internationale au sujet de la situation que nous vivons. C’est ainsi qu’à une petite phrase d’une chancellerie occidentale appelant au respect de la liberté de manifester a reçu ce joli jet oratoire de la part de Belkhadem : « Je dirais aux partis qui nous donnent des conseils de l’étranger, que nous n’entendions pas leurs voix quand notre peuple se faisait égorger ». S’il est vrai que nous avons vécu notre décennie sanglante sans le moindre soutien extérieur, on peut néanmoins se poser une question : Comment peut-on demander aux étrangers de pleurer sur notre sort alors que nos propres « dirigeants » n’ont jamais exprimé la moindre parole compatissante face aux kidnappings hebdomadaires ou à l’impressionnante série d’immolation par le feu de ces derniers jours?? En tout cas, on remarquera qu’il est plus facile de sortir nos « responsables » de leur silence avec une seule phrase d’Obama qu’avec mille immolations de nos jeunes.
Ça ne dira sans doute rien aux potentats qui nous gouvernent, mais nous savons ce qu’il nous en coûte chaque jour de passer sous les griffes des corrompus et de goûter à la matraque de leur police. Nous savons tous que les couloirs de nos administrations ne sont que des labyrinthes conçus pour étouffer la moindre velléité de changement, le moindre souffle d’organisation de la société. Nous savons tous que le pouvoir ne fait que nous nourrir d’illusions. Il nous étrangle violemment puis relâche doucement l’étreinte pour que chaque « concession » (retrait du 12 S, permis de conduire restitués…) soit vécue comme une vraie libération. Il agit un peu comme ces gardiens de parkings sauvages que l’on paye non pas pour qu’ils surveillent notre voiture mais pour qu’ils ne nous la volent pas! Alors, si nous ne marchons pas aujourd’hui, ce sera pour demain ou le jour suivant. Chaque jour d’humiliation étant une occasion d’exploser. Une chose est sûre, le vent du changement traverse déjà les rues de nos villes et villages. Il apporte avec lui une délicieuse odeur de jasmin et quelques gouttes de l’eau du Nil. Ce ne seront certainement pas quelques kilos de sucre en plus et quelques litres d’une huile bon marché qui suffiront à nous rendre notre dignité. Nous sommes au bout d’une trop longue histoire, au bout du bout d’un système qui à force de reconduire les mêmes coquins et de reprendre les mêmes procédés abjectes a fini par se couper de la réalité. Il n’y a qu’à entendre Ouyahia parler de haricot à son peuple et voir Ould Kablia provoquer le peuple pour s’en convaincre. Le château de cartes ne tient plus que par la grâce d’un pétrole à 100 dollars. Mais, quels que soient ses appuis, un château de cartes reste un château de cartes. Nous sommes allés trop loin dans la bêtise, nous avons laissé trop d’hypocrites parler à notre place. A ceux qui veulent nous faire peur, je rappellerai que ce sont une vingtaine de jeunes « gamins » fiers et courageux qui ont initié un mouvement qui a défié une France trop sûre de sa force et trop aveuglée par son mépris. Le système veut nous faire peur mais c’est en fait lui qui a peur. Il mobilise des dizaines de milliers de policiers pour étouffer quelques centaines de marcheurs pacifiques car il sait très bien qu’il suffit d’une étincelle pour enclencher un processus irréversible. C’est pourquoi je veux vous dire à tous que je marcherai pacifiquement lorsque le jour sera venu. Je marcherai pour réclamer le départ de ce régime qui a divisé la société au point de l’atomiser. Je marcherai pour dire qu’avant d’être des Algérois, des Constantinois, des Chawis, des Kabyles, des Oranais, des Becharis, nous sommes les fils et les filles de Mohamed Boudiaf, de Krim Belkacem, de Larbi Ben M’hidi, de Abane Ramdane,….de Ferhat Abbas. Soyons dignes de nos glorieux ainés et ne laissons pas les concessions de la dernière heure nous calmer pour mieux nous mater. Nous devons reconstruire notre unité et la garder jusqu’au dernier moment du combat pacifique. Je ne fais partie d’aucune chapelle politique mais je serai présent au meeting du FFS prévu pour le 4 mars prochain à 14 heures à la salle Atlas à Alger. Je m’y rendrai pour rencontrer ceux et celles qui partagent avec moi le même désir d’en finir avec la bêtise et le malheur. J’assisterai à ce meeting ouvert à tous pour trouver ensemble les moyens de nous réveiller et de préparer sérieusement cette marche que tous les Algériens sincères et honnêtes appellent et réclament.
A Kurt Cobain
Bravo pour votre belle réflexion.Vous avez presque tout dit.
Soyez en sûr, nos gouvernants de 62 à nos jours qui ont traité le peuple d’immature et qui ont fait de ce peuple des éternels assistés, sont montés tellement haut que plus dure sera leur chute inévitable.
Les biens qu’ils ont mal acquis derrière le dos des algériennes et des algériens par la démagogie, la langue de bois, la tchipa, le vol et le sang des innocents,se dévoileront au grand jour comme une merdre (hachak)enfouie sous une neige qui aura fondu.
Toute cette bande de malfaiteurs répondera de ses actes devant une justice
de notre pays indépendante et juste dans un proche avenir.
Toutes les institutions qui les protègent seront dissoutes par le peuple et vous les verrez dans leur nudité comme des poissons dans une mer désséchée.
Ce jour le peuple aura pris sa revanche sur l’histoire.
Histoire secrete de l’Algerie depuis 1962 par Lounis Aggoun
http://www.youtube.com/watch?v=2wyPOsYmGL8&feature=related
cette femme est le symbole de la revolution algerrienne pour une algerie democratique, alors que lousa hanoune lutte pour une algerie dectatoriale elle est montee explicitement au creneau pour defondre un dectateur alors c’est la democratie q’elle la faite , quelle honte , normalement c’est elle qui doit defendre cette femme en criant democratie et justice , l’armee algerienne et maintenant et depuis toujours a la recherche d’un dectateur pour partager la rente petrolierre entre eux en fructufiant leur revenu ,on a pas compris le roles de ces hauts responsables de larmee se sont devenu des hommes d’affaires et des tenants de pouvoirs en etoufants tous les voix dui dialogues ,on dirai q’on est dans une tres grandes casernes ,bouteflika leur plait et il font en meme temp son sale boulot,
bouteflika et l’armee ont tournes le dos au grands guerries qui ont lutter et extermines le terrorisme ,ils ont abondonnes cette partie de la population et le monde entier temoigne cette indiference,quelle honte ,bouteflika n’a rien fait pendant la decinnie noir et il a confisque la revolution de 1988 et aujourdhui il est entrain de provoquer quelque chose de plus grave,son frere veut reigner apres son depart,partez famille dbagbo algerien???