Rappel des lignes de discours à tous les baltaguins de service

bouteflikaoujdi.jpgLa Baltaguière en chef pour « Algérie Politique » 

- Les Algériens ont déjà fait leur révolution pour la démocratie en 1988. C’est à dire 23 ans avant la Tunisie, et l’Égypte, et la Libye et tous les autres qui vont suivre…

- Nous sommes donc une démocratie depuis 23 ans déjà et nous n’avons pas besoin d’une autre révolution ni d’une autre démocratie. Cela ne sert à rien puisque nous ne sommes pas comme les autres qui viennent juste de se réveiller. Rien avoir et aucune comparaison possible à faire. D’ailleurs les revendications des Algériens se limitent juste aux prix de l’huile et du sucre… rien de politique là-dedans.

- Cette révolution nous a valu une décennie de «guerre civile» (insister lourdement sur cette expression), de souffrances, de violences, de morts, de terrorisme, mais heureusement que l’homme providentiel que toute l’Algérie attendait nous a enfin été envoyé en 1999 pour nous sortir des ténèbres, mettre un terme à tout cela, nous montrer le chemin de la lumière et nous apporter la paix, la prospérité et la richesse…

- Le peuple algérien ne veut donc pas retomber dans le «chaos» (insister sur ce mot et le répéter indéfiniment) qui a marqué cette décennie noire, rouge et surtout verte et/ou kaki… Al-hamdoulillah, le peuple est très bien comme il est maintenant. Depuis que notre guide éclairé Bouteflika nous a été envoyé, nous pouvons nous déplacer sans problèmes et à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit sur tout le territoire national en toute sécurité sans se faire trucider ou égorger… Sauf à Alger, un jour seulement par semaine, où il est encore difficile de marcher vu le nombre impressionnant de policiers mobilisés pour assurer la sécurité du citoyen, encore menacé par les attentats terroristes (répéter encore et encore le mot «terrorisme»), surtout depuis la levée de l’état d’urgence décidé par notre bien aimé Bouteflika.

- Non, nous ne manquons absolument de rien et nous n’avons besoin de rien d’autre que de notre bien aimé Bouteflika international qui nous manque tant et dont nous avons, heureusement, des nouvelles à travers certains de ses illustres visiteurs étrangers qui se précipitent et font la chaîne pour l’écouter et s’abreuver de sa sagesse infinie, mais aussi pour le féliciter et s’inspirer des grandes réformes inédites qu’il compte entamer dans un proche avenir imminent. Nous sommes chanceux et heureux de l’avoir à nous seuls. Tout le monde nous l’envie et nous le jalouse.

- Et puis, il faut aussi le dire et le répéter : c’est bien grâce à la Baraka et au génie de notre saint Bouteflika international, reconnue et certifiée par toutes les zaouiates du pays, que l’Algérie est devenue aussi prospère et aussi riche, mais ce n’est pas de sa faute si les ministres de son gouvernement sont vieux, incompétents et ne savent même pas comment redistribuer cette richesse en dehors des circuits traditionnels. Il va d’ailleurs bientôt tous les changer… dans un proche avenir imminent, et nommer d’autres hommes qui l’aiment autant que nous tous et en qui il peut avoir une plus grande confiance encore.

- En attendant, il a décidé de prendre les choses en main, par lui-même et comme un grand, pour régler les quelques soucis de logement, de chômage et d’autres broutilles de ce genre… qui ne sont pas pires que dans d’autres pays, et mêmes ceux classés parmi les plus riches et les plus avancés de la planète. Parfois, c’est même le contraire. Les chiffres de l’ONS, validés par le FMI et la Banque Mondiale, sont d’ailleurs là pour le prouver (se référer exclusivement et scrupuleusement aux fiches établies et mises à votre disposition à cette effet).

- Vous verrez par vous-mêmes que Bouteflika va éradiquer la corruption qui n’existait pas autant avant son arrivée. Ce sont les autres, les méchants et les jaloux profiteurs, qui en sont responsables, pas lui ni ses frères. La preuve, dès qu’un de ses amis d’enfance et de confiance, qu’il a nommé au gouvernement en tant que ministre de l’énergie et de la Sonatrach, a été à peine soupçonné de «rumeurs insistantes de corruption et de détournement de deniers publics», il l’a démis de ses fonctions, dans un proche avenir imminent, sans la moindre hésitation ou tergiversation.

- Non, notre bien aimé guide Bouteflika ne badine jamais avec les questions de probité et d’intégrité de ses ministres même s’ils étaient ses propres frères. Il tient cela de l’époque où il était encore jeune ministre des affaires étrangères. Aujourd’hui, beaucoup pensent que le ministre de l’énergie et de la Sonatrach, ami d’enfance et de confiance que Bouteflika a nommé et écarté du gouvernement, n’a été qu’une victime de l’intransigeance légendaire et internationale de Bouteflika. D’autant plus que la justice, pourtant plus aveugle que partout ailleurs dans le monde, n’a finalement rien trouvé à reprocher à ce pauvre ministre, devenu aujourd’hui chômeur et sans revenu pour nourrir ses enfants, puisqu’elle n’a même pas jugé nécessaire de l’entendre sur cette scabreuse «rumeur insistante sans fondements». Ce qui confirme donc son innocence…

- Bref, c’est pour tout cela que le peuple aime son guide éclairé Bouteflika et le veut comme président à vie. D’ailleurs, perspicace, intelligent et prévoyant comme il est, Bouteflika avait même anticipé cela. Toujours à l’écoute, il a voulu en faire la surprise à son peuple, toute en finesse, toute en douceur et avec toute la classe qu’on lui connaît, sans déranger le moindrement son peuple dont la quiétude lui importe beaucoup. Il est ainsi allé jusqu’à amender la Constitution pour devancer et répondre aux vœux et aux attentes inexprimés de son peuple qui l’aime plus que tout au monde. Il y’en a même qui sont prêts, chaque jour que Dieu fait, à s’immoler pour lui…

- Oui, le peuple aime et adore Bouteflika. La preuve, des algériens, issus de cette jeunesse qui a conduit récemment une émeute générale à travers le pays rien que pour dénoncer les ennemis et les jaloux qui lui veulent du mal et sabotent son programme au sein de son gouvernement, continuent à ce jour à lui manifester leur soutien indéfectible et inconditionnel. Ils le font d’ailleurs tous les samedi matin à Alger…

Commentaires

  1. karim dit :

    centraliser tout autour bouteflika est une preuve que l’algerie a reculer de quatre decades en arrière.l’algerie est en otage du duo bouteflika mediene.ils sont les responsables de tout les maux qui rongent l’algerie.ce sont des diables au sens propre.

  2. NETIZEN dit :

    Je ne pense pas que le peuple Algérien est aussi débile de croire que l Algérie est un pays démocrate gouverné par un président élu honnêtement, sauf par hypocrisie.
    Concernant les émeutes du 05 oct. 1988. c’était une tentative de la démocratisation du pourvoir, mais ça n’a pas marché face aux terrorisme multidimensionnel, dirigé par le DRS.
    Si on conçoit cette idée illogique disant que les Algériens ont fait leur révolte en 1988, et qu’on a eu une démocratie fictive ou une démocratie tyrannique, nos pères ne devaient pas faire la guerre de libération en 1954 parce que nos arrières grands, grands pères avait déjà fait la guerre de Mohamed el Moukrani on 1871.on peut concevoir l’idée que les Algeriens ont eu leur independance 6 ans apres l’idependance de la tunisie. Soyez un peut logique Merci.

  3. Louasli mouhoub dit :

    mais incroyable les gens mangent dans les ordures et tu dit que boutef est un président,ils ont une brique dans leurs têtes ou quoi?

  4. Mourad. T dit :

    Votre article est bien fait, franchement exceptionnel.

    Retenez moi sinon je m’immole

  5. levetoi algerie dit :

    faut de tout pour faire un monde,si des hommes qui cherchent a etre libre se focalisent sur certains qui sont soumis,alors là c est vraiment fotu,la liberté est au bout du chemin,soyez fort ayez de l’espoire,la libertée s »arrache ayez des principes « meme si les rues ruissellent de sang » poursuivez votre chemin sans preter attention a ce genre de gueux que genetiquement sont predestiner a etre des porte parapluies.

  6. davidlemac dit :

    Joli texte. Est ce qu’il a été copié d’un journal de Corée du Nord qui avait flatté Kim Il Sung ?

  7. Dr. Amina/Amin dit :

    Ce regime mercenaire qui se devoile de jour en jour
    il a 2 genre de Baltaguia
    les narcomans de la rue et la boulitic.

    la face du regime sanguinaire

    GIA, GSPC, AQMI, OJAL, BALTAGUIA, Zaouiya, ONEC, CNEC, UGTA, UNFA, Rezzag Barra, Ksentini, differents clans mais tous se ressemblent voleurs, violeurs assassins et sanguinaires.

    APN oú chaque partie á son armée de GLD mercenaire

    senatORIUM manger et dormir puis kiffage droguage ensuite concours de battage de record du Hadj!

    Un pays riche mais un peuple pauvre.

    Corruption vol et viol de la nation prostitution suicide harraga et les immolations

    Bouteflika avec UN SEUL compte bancaire 989 millions de dollars us
    et les autres comptes bancaires en Suisse et son fameux « compte noir » quand il etait ministre des Affaires etrangeres bien evident des voleurs et les commptes des ces freres et demi-freres et soeurs et les comptes bancaires ailleurs….
    c’est pourquoi il se permet des baltaguias mercenaires d’ailleurs comme tous les autres chefs voleurs et violeurs de la nation algerie.

    Leur temps est venu.

  8. Louasli mouhoub dit :

    se sont des moutons rien d’autres ces baltgia,méme le pouvoir et ils vont mourir comme tel.

  9. khalti fatima dit :

    oui moi aussi j aime bouteflika et puis apres !!chacun son choix

  10. ALGERIE MEILLEUR dit :

    Adel H.

    Le pouvoir algérien a connu plusieurs phases :

    1- Le round d’observation qui a vu le groupe de Tlemcen constitué autour de Ben-Bella et Boumédiène prendre l’avantage sur ses rivaux (Ben Khedda, Boudiaf, Aït-Ahmed, Krim, entre autres). Après quelques mois, certains membres de ce groupe sont passés dans l’opposition (exemple: Ferhat Abbas, Khider). L’incertitude quant à l’issue définitive de l’affrontement entre groupe au pouvoir et groupes de l’opposition dura jusqu’au 19 juin 65.

    2- Le coup d’État de Houari Boumédiène inaugura le règne de l’ANP, qui dure à ce jour. Le Conseil de la Révolution avec Boumédiène à sa tête (détenant le commandement civil et militaire) devint le maître du pays, le FLN et ses organisations de masse servant de caisse de résonance, appareil de propagande et amortisseur. La SM eut pleins pouvoir pour liquider toute forme d’opposition. Cette situation dura jusqu’à la mort de Boumédiène, en décembre 78.

    3- La période Chadli : l’homme fort disparu, les colonels finirent par trouver un arrangement entre eux, sacrifiant quelques gêneurs (boutef et Yahiaoui, entre autres) afin de maintenir le système. Chadli et sa femme découvrirent les fastes de la cour et constituèrent leur clan. Kasdi Merbah, le tout-puissant chef de la SM attendit son heure (qui ne vint jamais). Une redistribution s’opéra progressivement et la cabinet noir prit forme (belkheir, nezzar et leurs acolytes). La classe de nouveaux riches apparut au grand jour et la crise économique frappa en 85. De gros nuages noirs commencèrent à s’amonceler dans le ciel d’Algérie. Chadli et son clan engagèrent l’épreuve de force afin de se débarrasser du FLN et du socialisme boumédiénien (ou ce qu’il en restait). Tout cela déboucha sur octobre 88, l’ouverture démocratique de 89-91 et la fulgurante percée du FIS.

    4- Le règne des DAF et du DRS, qui débuta avec le putsch de janvier 92 et qui se poursuit à ce jour. Cette étape connut plusieurs épisodes (Boudiaf, HCE, Zéroual et finalement boutef). La caractéristique principale de ce pouvoir post 92 est la gestion du pays dans la clandestinité, comme l’a bien expliqué Lahouari Addi. Derrière une façade civile et pseudo-démocratique, se cachent les vrais décideurs qui se réunissent dans la clandestinité et décident des grandes orientations politiques. Derrière eux se trouve un puissant réseau mafieux d’hommes de main et d’hommes d’affaires. Leurs hommes se trouvent partout, dans l’administration, les entreprises, les partis, les médias. Le DRS est le maître d’œuvre de ce pouvoir occulte. Les généraux putschistes, n’ayant aucune légitimité, avaient besoin dès le début d’une couverture : ce fut Boudiaf, puis Kafi, Zéroual et enfin boutef. Seul Ali Kafi fut docile et ne leur posa aucun problème. Boudiaf, ayant éventé leur complot, fut liquidé. boutef pressenti une première fois en 94, prit peur et se débina; ce fut Zéroual qui prit la place qu’on lui destinait. Ce dernier tenta de voler de ses propres ailes et de constituer son propre groupe. Le cabinet noir utilisa alors la grosse artillerie contre lui et le poussa à la démission (campagne contre Betchine, massacres de Bentalha, Raïs, Sidi Youcef). boutef accepta enfin le deal en 99. Rusé et habitué aux coups tordus, il obligea le cabinet noir à lui faire de nombreuses concessions et à lui permettre de constituer son clan et d’arroser abondamment sa smala avec l’argent de la rente.

    La relative stabilisation du pouvoir depuis 99 est le résultat du deal passé entre les deux principaux clans, celui du cabinet noir et celui de boutef. Les promotions aux postes supérieurs civils et militaires se fait sur la base de ce deal et du maintien de l’équilibre. Cela ne se fit pas toujours sans heurts (différentes affaires et scandales, Tounsi, Zerhouni, etc.)

    Aujourd’hui que le vent du changement venant de l’Est risque de devenir une tempête et d’emporter tout ce beau monde, il faudra bien procéder à quelques réaménagements et sacrifier quelques brebis devenues trop galeuses et compromettantes. Qui sera le bouc émissaire? Qui passera à la trappe? Qui se fera oublier? Chacun des deux clans envoie des signaux codés à la société et aux puissances étrangères, faisant jouer ses relais et présentant l’autre clan comme la dent pourrie à extraire afin de préserver le pays du chaos qui risque de l’emporter, si jamais la tempête se déchaine.

    La grande inconnue reste le peuple et le peu qui reste encore sain parmi les élites civiles et militaires. Jusqu’à présent, enfermés dans leur arrogance, les chefs des deux clans et leurs sous-fifres ont balayé d’un revers de la main tout risque venant de ce côté. « L’Algérie n’est ni la Tunisie, ni l’Égypte. », ne cessent-ils de répéter à qui veut bien les entendre.

    Aujourd’hui le peuple algérien et les élites sincères doivent faire échec à toutes ces manigances et refuser le deal qu’on lui propose. Finie la gestion clandestine du pays. Ce que le peuple algérien mérite depuis 62, c’est l’État de droit, la gestion transparente des affaires de l’État, l’indépendance de la Justice, la liberté de choisir ses représentants qui décideront de la politique à appliquer, qu’elle soit socialiste ou libérale. Le peuple en a assez des généraux, du DRS, de boutef et de leurs clans. Il leur demande de partir où bon leur semble, mais de disparaître de son univers. Non, après eux, ce ne sera pas le chaos. Il y a dans notre pays suffisamment d’hommes et de femmes de toutes sensibilités politiques, compétents, dévoués et sincères, pour prendre le relais. Dès demain, un gouvernement de transition pourra être constitué et le pays sera géré de la meilleure manière qui soit, en attendant la convocation d’une Assemblée Constituante et l’organisation d’élections pluralistes à tous les niveaux auxquelles participeront toutes les sensibilités politiques sans exclusion (des communistes aux islamistes).

    Vous, les requins qui avez martyrisé notre pays, humilié notre peuple et pillé nos richesses pendant des décennies, nous vous demandons de partir et de nous laisser nous débrouiller sans vous. Vous avez fait assez de mal.

    Si vous ne comprenez pas ce langage, alors la tempête vous emportera à coup sûr; ce n’est qu’une question de mois, de semaines peut-être. La gestion du pays par la police politique, dans la clandestinité, ne sera plus acceptée. Aujourd’hui, nous savons, grâce à nos frères et sœurs de Tunisie, d’Égypte et de Libye que vous n’êtes pas invincibles et que par notre union et notre persévérance, nous pourrons vous mettre tous dehors en quelques semaines. Les Algériennes et Algériens qui vous ont subi en silence jusqu’à aujourd’hui ont maintenant la possibilité d’observer en direct les révolutions qui se font chez leurs voisins et de tirer les conclusions qui s’imposent. Dans leur esprit, les choses deviennent de plus en plus claires et la voie à suivre est bien tracée. Ce n’est plus qu’une question de temps.

    Alors, partez avant qu’il ne soit trop tard.

  11. Ahmed dit :

    Je vous adore, votre prose est superbe… écrivez des livres, je jure que j’achète d’avance et que je forcerai mes enfants – j’ai un peu de pouvoir sur eux, quoique..- au plaisir de vous lire…

  12. le mouvement de citoyen pour une Algérie libre ! dit :

    On croit que la presse est libre, illustre samy. On peut critiquer Bouteflika, un ministre, mais c’est impossible de dire ce qui se passe derrière. En fait, nous sommes gouvernés par des clandestins, des généraux, le DRS… »
    Le général Toufik, le patron du Département de renseignement et de sécurité, est redouté et honni. Comme ses services, omniprésents dans les administrations, les associations, les entreprises… Ce qui fait dire à Aissa Rahmoune, membre du bureau de la LADDH, que « l’armée exerce le pouvoir sans être apparente. On pense que l’Algérie est un pays émergent qui commence à s’ouvrir. La réalité est tout autre ».
    Comment une nation aussi riche – grâce au miracle pétrolier et gazier, fort d’une entreprise de gestion des hydrocarbures aussi puissante que la SONATRACH (55 milliards en 2009, première compagnie d’Afrique) – peut-elle laisser enfler le ras-le-bol ? Oublier que deux tiers des 36 millions d’Algériens ont moins de 30 ans, qu’ils autant faim de travail que de libertés ? Les étudiants manifestent devant leur ministère les hôpitaux seront en grève demain…
    « Acheter la paix sociale »
    La pression exercée par les révolutions des voisins du Maghreb peut changer la donne. L’état d’urgence a été levé le 24 février, pour la première fois depuis 1992. Le gouvernement annonce des ouvertures en faveur de l’emploi des jeunes, du logement, entend s’attaquer à la corruption qui gangrène le pays. « Des replâtrages pour acheter la paix sociale. ça explosera de nouveau plus tard », estime Salim, qui s’éclipse prudemment du centre d’El Madania.
    Pendant ce temps-là, les familles algéroises goûtent au premier soleil de printemps, sur la magnifique corniche de Bab El Oued, le long de la pimpante et commerçante rue Didouche.

  13. George Harisson dit :

    vous êtes dans une Démocratie, ca me fais rire cette article

  14. souraya dit :

    rabi ysalem yadikoum ca me fait tres plaisire de vous lire malheuresement j suis anglophone mon francais nest pas fameux go on writing like this i see a change in people’sz awarness about whats going on in our country

  15. mouloudamalou dit :

    A Elmouhtarem

    Je suis surpris de constater la disparition de mon commentaire de cette page.
    Pourtant mon commentaire n’a rien d’insultant ni de subversif.
    A moins que l’auteur de l’article  » la baltaguière » soit chargé du tri des commentaires.

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