Blague du jour…
Le président américain Barack Obama aurait dit à Bouteflika que tous les pays arabes sont concernés par le changement. Le président Bouteflika répond: « Mais qui t’a dit que nous sommes Arabes ? We are Amazigh, we are Amazigh, we are Amazigh ». El Mouhtarem
pour rester sur le trône même belkhadem l’arabo-arabiste peut le penser
le kourçi quand tu nous tiens
dans ce cas la notre amazigheté dépend de monsieur obama?
voir c’est plus facile de la revendiquer chez obama que chez nos gouverneurs de la dernière pluie. lool.
Obama va probablement annoncer cette semaine qu’il briguera un nouveau mandat en 2012 et pourrait effectuer dès lundi les formalités nécessaires auprès de la Commission électorale fédérale, a annoncé samedi un responsable démocrate.
L’initiative permettrait au président des Etats-Unis d’entamer aussitôt sa collecte de fonds.
Le locataire de la Maison blanche, engagé dans une bataille budgétaire avec les républicains, majoritaires à la Chambre des représentants, s’est focalisé ces dernières semaines sur la réduction des dépenses publiques et de la dépendance énergétique, ainsi que sur les investissements dans l’éducation et la recherche, des thèmes qui seront probablement au centre de sa campagne pour 2012.
Dans le même temps, il a défendu l’engagement des Etats-Unis dans les opérations militaires en Libye.
Barack Obama ne devrait pas entrer immédiatement en campagne alors que les républicains, eux, n’ont encore aucun candidat déclaré à la candidature.
Les sondages révèlent une opinion divisée sur l’actuel président. Une synthèse effectuée par Real Clear Politics le crédite de 47,4% d’opinions favorables contre 46,6% d’opinions défavorables.
Mais les enquêtes indiquent aussi qu’à ce stade, Obama aborderait la campagne en favori face au candidat républicain, quel qu’il soit. Mitt Romney, l’ancien gouverneur du Massachusetts, pas plus que Sarah Palin, colistière de John McCain en 2008, ou Newt Gingrich, président de la Chambre des représentants dans les années 1990, ne le devancerait.
Obama pourrait être en outre renforcé par les dernières statistiques du département du Travail qui ont fait état vendredi d’un léger recul du chômage à 8,8% de la population active.
Analystes et politologues s’accordent pour dire que l’économie sera un facteur clé d’une possible réélection du président démocrate à la Maison blanche.
arack Obama va probablement annoncer cette semaine qu’il briguera un nouveau mandat en 2012 et pourrait effectuer dès lundi les formalités nécessaires auprès de la Commission électorale fédérale, a annoncé samedi un responsable démocrate.
L’initiative permettrait au président des Etats-Unis d’entamer aussitôt sa collecte de fonds.
Le locataire de la Maison blanche, engagé dans une bataille budgétaire avec les républicains, majoritaires à la Chambre des représentants, s’est focalisé ces dernières semaines sur la réduction des dépenses publiques et de la dépendance énergétique, ainsi que sur les investissements dans l’éducation et la recherche, des thèmes qui seront probablement au centre de sa campagne pour 2012.
Dans le même temps, il a défendu l’engagement des Etats-Unis dans les opérations militaires en Libye.
Barack Obama ne devrait pas entrer immédiatement en campagne alors que les républicains, eux, n’ont encore aucun candidat déclaré à la candidature.
Les sondages révèlent une opinion divisée sur l’actuel président. Une synthèse effectuée par Real Clear Politics le crédite de 47,4% d’opinions favorables contre 46,6% d’opinions défavorables.
Mais les enquêtes indiquent aussi qu’à ce stade, Obama aborderait la campagne en favori face au candidat républicain, quel qu’il soit. Mitt Romney, l’ancien gouverneur du Massachusetts, pas plus que Sarah Palin, colistière de John McCain en 2008, ou Newt Gingrich, président de la Chambre des représentants dans les années 1990, ne le devancerait.
Obama pourrait être en outre renforcé par les dernières statistiques du département du Travail qui ont fait état vendredi d’un léger recul du chômage à 8,8% de la population active.
Analystes et politologues s’accordent pour dire que l’économie sera un facteur clé d’une possible réélection du président démocrate à la Maison blanche.