Algérie: Nouveau sit-in des journalistes de la radio
Une trentaine de journalistes de la radio algérienne ont observé ce dimanche 3 avril à Alger un nouveau sit-in dans l’entreprise pour réclamer des augmentations salariales, un mouvement qualifié d’« illégal » par le directeur général Tewfik Khelladi. « Je suis responsable de la bonne marche de l’entreprise comme de la discipline qui doit régner », a affirmé M. Khelladi, cité par l’agence APS. « En conséquence, a-t-il averti, nous appliquerons le règlement intérieur, dans toute sa vigueur et sa rigueur ».
« Nous dénonçons le comportement policier de la direction qui menace les journalistes de procès-verbaux, tandis que les chefs, rangés de leur côté, sont menacés d’être démis de leur responsabilités », a déclaré à l’AFP un journaliste de la Radio algérienne internationale (RAI) qui a requis l’anonymat. Selon ce dernier, le directeur a demandé aux chefs de départements de punir les protestataires qui ont été photographiés par les agents de sécurité pendant leur sit-in de quelques heures.
M. Khelladi a rappelé qu’un accord en trois points avait été signé avec le syndicat en 2010 : augmentation de 25 % des salaires, organisation des plans de carrière et régularisation des personnels permanents, prévue ce mois-ci. Pour les journalistes, cette augmentation (moins de 50 euros pour les chanceux) est « une humiliation ». Ils demandent, à l’instar des autres fonctionnaires, qu’elle soit rétroactive depuis janvier 2008 et non juin dernier. Le 27 mars, ils avaient organisé un premier sit-in après s’être joint la veille à leurs confrères du secteur privé pour demander « un statut particulier du journaliste ». Une grève générale est prévue le 3 mai, journée mondiale de la liberté de la presse. AFP
Au lieu de s’obstiner à vouloir marcher en vain entre la Place du 1er Mai et celle des Martyrs ou à organiser des meetings stériles dans des salles obscures, à demi vides, les membres des différentes associations et organisations à caractère politique ou social, devraient appeler leurs sympathisants à investir massivement El Mouradia comme l’ont fait certaines associations, qui ont fini par avoir gain de cause.
Ils seront ainsi à quelques mètres de la présidence de la république qu’ils pourraient éventuellement occuper à tout moment et chasser le symbole même du système corrompu et corrupteur qui la squatte depuis 1999.
Darba bel Fess khir man aachra bel gadoum.
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IFDAHOU EL DAMI3 c bon on connais la chanson.