Pur produit du système, Abdelkader Bensalah conduira les « réformes »
El Mouhtarem « Algérie Politique »
Au moment où les Tunisiens s’apprêtent à élire une Assemblée constituante, le pouvoir algérien n’a pas trouvé mieux que de désigner le président du conseil de la nation pour la conduite des réformes. « Dans le cadre du cheminement des réformes politiques qu’il a explicité ce jour, le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a désigné M. Abdelkader Bensalah pour la conduite des consultations avec les partis politiques et les personnalités nationales», a indiqué lundi un communiqué de la présidence de la République.
Le sénateur du Rassemblement national démocratique (RND), un parti issu de la fraude électorale en 1997, a été choisi par l’enfant de son patelin, Abdelaziz Bouterlika, pour «sa profonde connaissance de la scène politique nationale», a souligné la présidence.
Né le 24 novembre 1941 à Tlemcen, Abdelkader Bensalah a été journaliste au quotidien El Chaab en 1967, puis journaliste à El Moudjahid de 1968 à 1974. Il a été ambassadeur d’Algérie en Arabie Saoudite et en Egypte et député du parti unique.
Après le coup d’Etat de janvier 1992, il a été porte-parole de la Commission de dialogue national (CDN) qui a conduit en janvier 1994 Liamine Zeroual à la tête de l’Etat. Il a présidé le Conseil national de transition (CNT) jusqu’en juin 1997 date de son élection en tant que député puis président de l’APN à la faveur de la « victoire » de son parti le RND dont il a été le secrétaire général. Créature du DRS, le RND a obtenu, grâce à la fraude et l’usage des armes, la majorité des sièges lors des élections législatives du 5 juin 1997. «Le bébé né avec des moustaches» a obtenu 156 sièges sur 380, suivi du MSP et du FLN.
Après le décès de Mohamed Cherif Messadia en 2002, Abdelkader Bensalah, démissionne de son poste de député du RND pour devenir président du conseil de la nation ! Un sénateur n’a pas hésité à remarquer, selon L’Expression, qu’ «aucun pays ni aucune démocratie n’ont vu un député élu par le peuple démissionner de son poste pour prétendre sans équivoque au poste de président d’une autre institution».
Enfoiré de merde comme le DRS
Nous sommes dans un état constant, d’hébétude et d’abrutissement
Par ce geste de mépris, sa fakhamatouhou Bout-hef 1er vient tout simplement de signifier que son projet de «réformes» n’est finalement qu’une gigantesque masscarade.
Que ceux qui y ont le moindrement cru s’en prennent alors à leur… naïveté.
Aucun bien (Kheïr) ne viendra jamais de cet imposteur et de son clan de oujdis.
La désignation de Bensalah, oulid lebled de Bouteflika est une provocation inacceptable. Les personnalités politiques et de la societé civile qui seront contactées pour être utilisées comme alibi et rejetées comme des mouchoirs kleenex, doivent refuser d’en faire partie pour ne pas entériner la fuite en avant suicidaire de Bouteflika.
Cette nouvelle mascarade doit être dénoncée avec toute la rigueur nécessaire.
j’aime bien la chanson de slimane chabi; il disait kaci ou belkacen hamou ou dakich
amchiche dima damchiche (un chat et tjs un chat )
Il n’ya pas d’espoir dans ce pays. Le peuple algérien doit encore attendre trés longtemps peut etre un siecle pour espérer acceder a la democratie.
Chers amis, il faut par tous les moyens nécessaires empêcher d’urgence le clan présidentiel atteint de démence aigüe de commettre sa dernière forfaiture avant sa prochaine débandade.
Le motif de l’impotence de Bouteflika n’est pas le seul argument à charge, d’autres chefs d’accusation plus graves pourraient être aisément être retenus contre ce clan d’aventuriers.
Demain, le mal sera fait et les dégats seront très difficiles à réparer par leurs succésseurs.
http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
http://contreleclandoujda.centerblog.net
aider les travailleurs handicapés…par l’exonération totale de L’I.R.G SUR la fiche de paie…les réformes ne marginalisent pas cette catégorie de la société algérienne.