Zoubir Arous, professeur en sociologie: «Les conditions d’une révolte sont bien réelles en Algérie»
Le sociologue Zoubir Arous a affirmé hier que les conditions de la révolte en Algérie sont bien réelles, tout en mettant en garde contre les réformes annoncées, notamment la révision de la constitution «qui pourraient constituer prétexte à un retour à la case départ», c’est-à-dire au reniement des acquis.
S’exprimant hier lors la 2e conférence de l’Ecole de formation Ali Mecili qu’a organisée le Front des forces socialistes (FFS) au cours d’une communication intitulée «L’approche sociologique des mouvements de changement dans les pays du Maghreb et du Moyen»Orient», le professeur Arous a justifié son analyse en comparant la situation en Algérie à celles qui ont prévalu en Egypte et en Tunisie, par le fait que «ces trois pays ont des systèmes rentiers» incapables, selon lui, d’intégrer le nombre important de diplômés dans la sphère économique et le monde du travail gangrené par l’informel.
Les jeunes, diplômés ou non, se retrouvent alors, selon les explications de M. Arous, dans une autre sphère qu’est la rue, point de jonction, dont le cas Bouazizi en Tunisie n’a été que l’élément déclencheur. Pour le chercheur universitaire qui s’est longuement attardé sur la révolte tunisienne et le travail des organisations syndicales et autres qui ont transformé «une logique de clan en logique politique», il faut distinguer entre une révolution et une révolte.
«Sommes-nous devant des révoltes de travailleurs, de tribus ou de secteurs ?» s’est interrogé le conférencier avant de faire remarquer que ce qui s’est passé en octobre 1988 en Algérie est toujours qualifié d’«évènements. Les conditions d’une révolte existent en Algérie», a-t-il averti, expliquant qu’«on n’a pas encore atteint le point de jonction».
L’invité du FFS qui affirme que le pluralisme politique issu de la révolte de 1988 «est un moyen utilisé par le pouvoir pour reprendre sa véritable nature», a considéré que la révision des lois «pourrait constituer un prétexte au retour à la case départ».
Il rappellera dans ce contexte les acquis démocratiques de
la Constitution de 1963 et d’autres constitutions, telles les libertés qui pourraient en pâtir. «Nous sommes devant une force de changement qui est la jeunesse», a-t-il dit, qui «ne croit ni aux partis ni aux associations utilisés par le pouvoir». La jeunesse «non idéologisée» a selon lui «des revendications qualitatives de liberté». En témoigne aux yeux du conférencier qui prône «une critique historique», le mouvement des étudiants. Le Temps d’Algérie
C’est le seul moyen pou sauve l’honneu bafoué de note pays.
En effet, les USA, l’Angleterre et la France profitent de la faiblesse extrême du pouvoir algérien due à la maladie et à l’isolement de Bouteflika, pour que notre pays mette à leur disposition sa riche expérience en matière de lutte contre le terrorisme islamiste que nous avons tous payé chèrement, achète leurs produits même s’ils sont plus chers et pas forcément meilleurs que ceux des autres pays, respecte scrupuleusement la feuille de route des réformes imposées et fasse le profil bas sur le plan diplomatique sur les questions qui les fâchent. C’est ce que disent les ambassadeurs anglais et français en poste à Alger et ce qu’anonce de Washington le nouvel ambassadeur américain qui vient de passer devant la commission des affaires étrangères du Congrès. Tout ça pour permettre à Bouteflika de rester quelques mois encore à son poste dévalorisé, usurpé en 1999.Les Algériens refusent vigoureusement ce marché de dupes passé sur le dos de leur pays, dont les richesses naturelles non renouvelables sont bradées et les ressources financières sont dilapidées à tous vents. La fuite en avant suicidaire de Bouteflika à genoux doit être stoppée immédiatement.
http://diplomatiealgerienne.centerblog.net
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http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
Tout ce que Boutef fait dans la forme est pour cacher sa grande traitrise dans le fond qu’il a toujours fais pour détruire le pays en cachette.
Il a constitutionnalisé la corruption et décrété l’impunité, le régionalisme, en plus de transgresser la constitution.
Mais, le vrai problème de l’Algérie est la faiblesse du peuple, sa désunion et sa naïveté.
Où sont nos animateurs du FFS ? Ils sont tous partis ? Pourquoi ? Ils n’ont plus leur place au FFS ou quoi ? On ne veut plus d’eux ? ah bon ! Alors il faut importer de l’extérieur si c’est le cas!
Ramenez nos cadres militants du FFS, ils sont en mesure de faire le travail de conférenciers! Ils connaissent parfaitement la politique du Parti ! Évitez de nous empoisonner avec les externes au parti!
Ce n’est qu’une fois que disparait un ancien cadre du parti que l’on fait semblant de lui rendre hommage en se rendant à son enterrement peut-être pour se rendre compte qu’il est bien décédé et qu’il n’est plus dangereux pour le poste à pourvoir dans le parti! Ca ne marche pas comme çà ! Un jour ou l’autre le mensonge nous rattrape!
Tribalite triviale ou LATENTE d’une seule region sur toutes les autres,nourrie par des ideologies refractaires au mot DEMOCRATIE,c’est ce qui definit l’etat Algerien.
Les fils(ou FIS) du FLN,ont trop travaillé derriere l’opacite,l’exclusion des autres..
Analphabetes par impuissance,on envoie de Medea,Guelma ou de Batna,des faux bachelers,des ALLIENS pour continuer leurs etudes et recevoir de faux diplomes dans les universites d’Alger,et en fin de compte OCCUPER DES POSTES DE RESPONSABILITE,dans les ministeres et dans les entreprises et leurs sieges directionnels …
Alger et l’etat doit etre etudié et raconté
a travers cette Tribalite Chaouie !
Les diplômes, à une certaine époque, s’offraient par le pouvoir à leurs sbires si bien qu’aujourd’hui, ces gens viennent conférer devant des parterres de gens trop crédules et naïfs de surcroit! C’est vrai, on nous brandi des Magisters, des Doctorats dans tous les domaines et on y croit!
Untel se proclame en Professeur, un autre Docteur és mais dans le fond ils sont incapables de balayer devant leurs portes mais viennent nous montrer comment le faire devant les notres! Saha dhi Rabi yatsakan irdhane iyir thoughmasse!
Entre temps, on les croit malgré nous!
Untel se proclame Professeur, un autre Docteur és mais dans le fond ils sont incapables de balayer devant leurs portes mais viennent nous montrer comment le faire devant les notres! Saha dhi Rabi yatsakan irdhane iyir thoughmasse!
Entre temps, on les croit malgré nous!