Que Dieu maudisse Bouguetaya
Après avoir soutenu la candidature de Ali Benflis à l’élection présidentielle d’avril 2004 et insulté « le président-candidat » sur toutes les chaînes de télévision arabes, Sadek Bouguetaya, est revenu à de meilleurs sentiments. En avril 2009, les Algériens découvrent un autre Sadek (Sadique ?) Bouguetaya appelant à soutenir la candidature de Abdelaziz Bouteflika. A l’occasion d’un meeting de campagne animé par Bouteflika, Bouguetaya s’est adressé au chef de l’Etat en criant: « Rana maak ya sid Rais » (nous sommes avec toi monsieur le président). Bouteflika lui répond avec un sourire moqueur: « Maandek win trouh ya sadek a khouya ! » (Tu n’as pas où aller, mon frère Sadek).
Il y a quelques jours, Sadek Bouguetaya a pris part par un rassemblement des tribus libyennes proches de Mouammar El Kadhafi. Le mercenaire algérien s’est exprimé au nom du peuple pour apporter son soutien au régime de l’assassin libyen, en déclarant devant la caméra de la télévision: « Que Dieu maudisse la démocratie ». Le député du FLN a-t-il agi seul ? Non, dit un militant du FLN. Dans une déclaration au Soir d’Algérie, Hama Chouchane, a affirmé que Bouguetaya a été mandaté par Abdelaziz Belkhadem pour le représenter au rassemblement de Tripoli. Que Dieu maudisse Bouguetaya ! El Mouhtarem
Commentaires(18)
Si nous admettons que les peuples algériens et marocains appartiennent à une même ethnie et qu’ils sont indissociables, la venue du colonialisme français a fini par baliser des frontières qui ont fini par définir deux états-nation qui marquèrent une différenciation appréciable dans les systèmes de gouvernance.En effet l’un a choisi une Monarchie Constitutionnelle pendant que l’autre a adopté un système républicain issu de la guerre d’indépendance qu’il a mené avec beaucoup de pertes en vies humaines.
Si j’ai fait une allusion concise à l’histoire ce n’est pas pour porter atteinte aux libertés des uns et des autres dans le choix de leur système de gouvernance mais c’est beaucoup plus important que cela.La dernière sortie de l’ancien président « algérien » nous a révélé une vérité d’une importance capitale qui vaut bien son pesant d’or.Un véritable scoop lancé par Ben Bella! Un éclairage inouï même parvenu à nous 50 années après l’indépendance de l’ ALGÉRIE.L’information qu’il nous livre même avec beaucoup de retard, a remis en cause la légitimité de l’état algérien.Il nous dit crument qu’il tient ses origines du Maroc puisqu’il affirme sans ambages qu’il est de père et de mère marocains. Par cette révélation qui intervient à quelques encablures seulement de l’ouverture des archives françaises sur le mouvement national algérien, nous révèle que l’ Algérie a été gouverné donc par les marocains.Aujourd’hui, aucun algérien de vraie souche, ne pourrait nier cette vérité .Et lorsqu’il traite dans sa même
interview que Hocine Ait Ahmed fut ,dans son combat, plus Kabyle qu’algérien il cherche tout simplement à retirer à l’ Algérie ce grand territoire qu’est la Kabylie, perception que tous les kabyles refusent d’admettre en affirmant que l’Algérie est une et indivisible!Cela impliquerait que si avaient été portés au pouvoir les Ait Ahmed, Krim Belkacem, Abane Ramdane,Amirouche ou autres très nombreux,notre pays aurait été gouverné par des algériens purs!
Ben Bella, peut etre sans le savoir vient de rendre justice au peuple algérien en l’éclairant sur les origines des hommes qui les a gouverné.Par ailleurs,il est clair maintenant que les causes essentielles qui ont empêché notre pays d’accéder à une démocratie sont dues à la présence d’étrangers au pays.
En tout cas merci à Ben Bella pour sa confession logique qui intervient au moment où le peuple algérien cherche à rétablir sa véritable histoire.
Une faute repentie est à moitié pardonnée dit-on et Ben Bella a quand même fini par se révéler devant tout le peuple véritablement algérien très hospitalier.
Y a – t – il un pilote dans « l’avion » ? Les Belkhadem, Bouguettaya et leurs consors sont ils devenus les maitres incontestables en Algérie?
Ô rage Ô désespoir Ô médiocrité ennemie n’ai je tant vécu pour voir cette infamie?
Un clochard pareil doit être fusillé et pendu sur la place publique.
Ce Bougrettaya (tout comme d’ailleurs tous les députés de l’APN) ne représente que lui même et celui qui l’a mandaté. Le peuple libyen
saura reconnaitre les siens après sa libération du tyran Kaddafi et cie.
Bouguettaya est telle « la queue du coq » dit l’adage populaire. Il est né pour soutenir les renégats. Ils ont besoin de lui. Aujourd’hui, ils l’envoient en Libye pour représenter Boutef. Un mercenaire déguisé en représentant ! Nous leur dirons: Fakou! Tab, tab ! Leur tour viendra un jour! Ils s’enfuiront comme le Tunisien, se terront comme l’Egyptien et disparaitront comme Gbombo ( Ivoirien) – ( Il voit rien) car aveuglé par le pouvoir et son argent.
C’est la République des copains et des coquins ou chacun ménage l’autre qui le lui rend bien dans la distribution des faveurs et des priviléges.Tout baigne dans l’huile pour ces gens-là qui veulent que rien ne change tant qu’ils ont chacun son ratelier de mangeaille. Le reste du petit peuple peut toujours attendre les quelques os et autres miettes qu’ils voudraient lui jeter du haut. Entre eux, la shita et les remerciements obsèquieux sont tout ce qui reste quand on a tout oublié.
@Slam
Les propos de Ben Bella, atteint de sénilité, en plus de son « inculture politique » connue et avérée ne m’étonnent guère. N’est ce pas lui qui portait la veste « Mao » pendant qu’il était au pouvoir pour devenir plus tard presque intégriste? N’est-ce pas lui qui prononçait des discours démagogiques et annonçait la nationalisation d’un bain maure ou d’une petite salle de cinéma? Rappelons nous de ses « discours » à l’ONU qui frôlaient le ridicule et que Roger Hanin caricature encore très bien. Ce vieux monsieur regrette-t-il d’avoir été algérien? Et le vrai algérien connu pour sa fierté débordante mérite-t-il de telles insultes? A-t-il encore droit aux privilèges dont il bénéficie du pays qui l’a fait connaitre et lui a conféré un aura qu’il ne mérite pas? Ne devrait-il pas rentrer chez lui et finir sa vie dans son pays, pour lequel il éprouve de la nostalgie? Monsieur Ben Bella, nous sommes reconnaissants envers Boumediene qui a écourté votre règne et épargné à l’Algérie une véritable catastrophe. Gamin, j’avais manifesté en 1965 pour dénoncer le coup d’état, chose que je regrette à postériori.
Si on cherche les origines de chacun de nous et les anciennes frontieres de notre pays on va pas s’en sortir …
Messieurs..parler d’un renégat pareil n’est pas instructif….Surtout,un individu tel quel et qui représente la dictature algérienne montre comment est le niveau de ceux qui, nous gouvernent …ces gens aussi médiocres que lui exhibent leur désarroi pour preuve , ils comptent sur le soutien de celui qui se considère comme étant leur CHEF ,j’ai cité KADDAFI qui parait-il n’a pas encore trouver de refuge …Alors où vont-ils se réfugier ? LEUR CHUTE EST POUR TRÈS BIENTOT..
@Amesfulman
La logique de Ben Bella ne doit pas être la notre, les propos de ce monsieur qui reconnait qu’il n’est pas algérien doivent inciter tous les algériens à reserrer les rangs, et parler d’une seule voix pour libérer le pays des mains des aventuriers des mercenaires et des opportunistes, tout en valorisant notre culture algéro-berbère . Les premières paroles de ce monsieur à sa descente d’avion à Tunis où il était acceuilli par un grand hommebpolitique qui a accueilli l’ALN sur son sol, en l’occurrence Bourguiba, était « nous sommes arabes, nous sommes arabes/ bah ou arab bah ou arab, et son hôte qui lui répond et nous qui sommes nous? Ce même sieur Ben Bella a failli inféodé l’Algérie à l’Egypte de Nasser, les gens de ma génération (11 et 12 ans à l’indépendance doivent se rappeler la ruée des égyptiens vers l’Algérie…. Il est temps qu’on parle d’une seule voix pour revendiquer la libération de notre pays des mains des mercenaires et des manipulateurs de l’histoire, manipulateurs qui ont oublié le sens de l’honneur (s’ils l’ont eu un jour) et l’amour du pays pour ceux qui l’ont eu pour Terre natale, et pour Terre d’accueil pour ceux qui ont profité de la genérocité de l’algerien et de son euphorie post indépendance
je crois qu’au delà les origines et les errances du passé, l’algerie, les autres pays du maghreb se doit de faire une arrêt: le temps de tout revoir : depuis la constitution jusqu’au modele economiquequ’elle doit choiri pour mettre fin au suicide economique et à l’isolation que le regime a déliberement choisis.
Chauves ou Bougatya , les suppots du FLN s’agitent acteuellement pour justement faire rater l’occasion unique que le pays a pour mettre fin à la mainmise de l’armée et du parti unique sur les ressources nationales et sur l’avenir du pays.
Partiper à un hold up, c’est suffisant pour figurer les historiques de la » révolution ». Bled Mickey !!!!
TOUT ce que tu as écrits ,camarade el Hadi, n’est que pure vérité!Personnellement je savais qu’il était d’origine marocain au même titre que bon nombre de personnages qui occupent de hautes responsabilités au sein de l’ « état algérien ».Ce que je voulais mettre en exergue c’est le fait qu’il ait eu l’audace de révéler ses origines aux algériens pour leurs expliquer qu’il les avait arnaqué depuis tout le temps! Enfin, les algériens savent maintenant la vérité sur les origines de nos gouvernants.Pour ma part, cela pourrait être une bonne chose pour tout les algériens de savoir la vérité!
Ya Sadek ou bien Ya sarek.
Toi et tes complices vous finirez comme le rat de Tripoli.
Inchallah ce jour là je prendrai une bière.
Ya Sadek ou bien Ya sarek.
Toi et tes complices vous finirez comme le rat de Tripoli.
Vous serez chassés Zenka Zenka.
Vous avez avili l’algérie.
Vous êtes la honte bande de criminels.
Inchallah ce jour là je prendrai une bière.
Que Dieu maudisse les traîtres du FLN.
imposture de revoution , bouré de dopage dite au quatarien de ne plus ce mélé il vienne de tuer le feotus dans le ventre de ca mere ses des pire criminnelles il aurait du fare de la sézarienne.
Bouguetaya : la main dans le sac. Le FLN soutient Khadafi. On attend le tour de Louisa Hanoun.