L’assassinat présumé de Ahmed Kerroumi arrêté

keroum.jpgLe ministre de la Justice, Tayeb Belaiz a annoncé lundi à Alger l’arrestation de l’auteur présumé de l’assassinat de l’universitaire Ahmed Kerroumi. Le corps du défunt a été découvert le 23 avril dernier au siège du parti du mouvement démocratique et social (MDS) à Oran alors qu’il était porté disparu depuis 5 jours.Ahmed Kerroumi était enseignant à l’université d’Oran et militant  dans « la coordination nationale pour le changement et la démocratie ».

Commentaires

  1. Rabah dit :

    « Les 7 fautes capitales de Bouteflika »

    http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net

  2. Tahar dit :

    Le Régime criminel nous a habitué avec ce genre de mensonges. Ol l’a vu avec l’affaire Djaout: l’accusé était à son entrainement au Stade du 5 juillet, ou encore l’attentat de l’Aéroport où l’un des accusés était au moment des fait au bagne saharien de Qalât M’Guel, mais aussi l’assassinat du peintre Omar RACIM
    en 1973, et où les accusés, 7 pauvres jeunes n’ont jamais connu ni le nom, ni le portrait, ni l’adresse. El la liste est longue de ce genre de dégueulasseries
    des Maitres du DRS qui sont les vrais commanditaires des attentats, assassinats, massacres et autres crimes odieux…
    Dans l’attentat de l’Aéroport,26/08/92, c’était encore flagrant et meme les Services occidentaux avait pour la plupart accusé la Sécurité militaire,Le Canard enchainé avit consacré un long article, Libération aussi, et J. Vergès
    avait coorroboré le propos dans « Lettre aux amis algériens devenus tortionnaires »
    C’est le cas des « assassinats en série »
    de journalistes, écrivains, artistes. Il y’a toute une « grammaire de la violence »
    que je ne peux étaler ici vu l’abandance de matière. Des frappes codés, des messages à qui de droit, L’Aéroport par exemple représente le « trait d’union » avec le monde, l’international, etc.
    Les Portes d’Alger (Beb…), ça représente le Quartier général, un moment où les clans se déchirent autour de la Présidence, ainsi de suite…..le décodage !

  3. A.W dit :

    Depuis 92, des milliers de personnes ont succombé sous les balles: journalistes en premier lieu, mais aussi médecins, enseignants, syndicalistes, juristes, cadres politiques, étrangers, etc., hommes et femmes. Mais alors que de nombreux témoignages on fait état de la manipulation de certains groupes islamistes armés par le DRS, aucune enquête judiciaire digne de ce nom n’a jamais permis d’établir la vérité sur l’identité des assassins et de leurs commanditaires, chefs islamistes ou militaires. Depuis le meurtre inaugural de Boudiaf, l’opinion publique a été dressée à accepter la version officielle ou à se taire: ce sont les seuls islamistes qui tuent. La fameuse question «qui tue ?» serait perverse et dédouanerait ceux qui revendiquent(?) les crimes, sans qu’il soit besoin de s’interroger sur l’authenticité de ces déclarations. Comme si leur seule existence médiatique et invérifiée justifiait de s’affranchir de toute exigence d’enquête et de justice impartiale.

    Nul besoin, donc, de faire la vérité sur les assassinats de Djaout, Boucebci, Kasdi Merbah, Bouslimani,Mekbel, Katia Bengana, les moines de Tibhirine, Hachani, Matoub et de tant d’autres. Quelle que soit la notoriété des victimes, la justice algérienne, à chaque fois, soit a clôt les dossiers en affirmant contre toute évidence qu’ils avaient été pleinement élucidés, soit a laissé s’enliser les simulacres de procédures. Les cas se comptent par milliers, attestant d’une justice simple chambre d’enregistrement des diktats des «pouvoirs de l’ombre». Pour ne prendre que deux exemples: Fouad Boulemia a été désigné comme coupable du meurtre (en 1999) d’Abdelkader Hachani, numéro trois du FIS, dans une parodie de procès ; et dans l’affaire de l’assassinat (en 1998) du chanteur Matoub, les deux suspects Medjnoun et Chenoui croupissent depuis près des années en prison sans avoir été jugés.

    Et qu’en est-il des atroces massacres de masse des années 1996-1998 revendiqués par les «groupes islamiques armés», qui marqueront pour des générations la mémoire des Algériens ? Les habitants des localités martyres, les «victimes du terrorisme», sont-ils condamnés à en porter la responsabilité, puisque ces horribles crimes auraient été commandités et commis par leurs propres enfants, frères, sœurs et époux ? Sauront-ils un jour pourquoi ces tueries ont pu se perpétrer sous l’œil indifférent des forces de «sécurité» stationnées à proximité, qui n’avaient qu’un geste à faire pour y mettre fin ? Aucune enquête judiciaire sérieuse, là encore, n’a permis d’établir la chaîne des responsables, exécutants et commanditaires, islamistes et militaires, et a fortiori de faire justice.

    Et les familles des milliers de «disparus» des années 1994-1998, dont le pouvoir lui-même a reconnu qu’ils avaient été victimes des forces de «sécurité», doivent-elles taire leur douleur sous prétexte qu’elles auraient enfanté des «terroristes» ? Et les rescapés des dernières opérations suicides de 2007 doivent-ils se satisfaire de la fatalité qui, selon le ministre de l’Intérieur, continuera forcément de frapper ? Qui sont ces kamikazes que l’on identifie dans les minutes qui suivent les explosions ? Et qu’en est-il des commanditaires «terroristes» du GSPC(?), désormais ralliés à Al-Qaida, qui seraient selon la version officielle «acculés» et affaiblis, mais néanmoins capables d’organiser des attentats dans les endroits les plus surveillés de la capitale * ?

  4. perdu dit :

    oui exact tt a fait just tt ce que tu ditmais la pluapr des gents ne sais pas ca et aussi manque d education dans notre sciete.alors jamis en peut arive au stade de l egypte ou de la tunissia ou encore yamen.les gents unis et solide voila le plus importa pour que la algerie revien aleur propre homme pas a les traite de pays et les homme de france des genereaux et des grand puissance.vivre le peuple d egypte et inchal un jour notre tour va vien

  5. Mohand dit :

    C’est juste après son entretien avec Franck LA RUE, Le Rapporteur spécial de l’ONU pour la promotion des droits de l’homme, que le Professeur Kerroumi a été assassiné…

    Le témoignage de F. LA RUE sur la teneur de l’échange est évidemment primordial pour la manifestation de la vérité sur cette affaire qu’on peut d’ores-et-déjà qualifier de “crime politique”, un crime perpétré certainement par le DRS , la police politique du Régime militaro-mafieux, habituée de ces basses besognes sanguinaires…

    “La stratégie de la tension” continue ! Les Généraux font tout pour repousser l’avènement du soulèvement révolutionnaire tant attendu !

    Les assassinats, l’emprisonnement, la torture, les menaces, les intimidations sont les “méthodes de gestion” propres au Régime militaire algérien…Cessons alors ces discours moux tendant à faire croire que nous avons à faire à un Régime normal, civilisé, presque un Père Noèl qui donne friandises et chocolateries! Hum ! Certains prétendus ou auto-proclamés opposants n’osent meme pas ajouter l’épithète “militaire” pour désigner la nature du pouvoir, qui est pourtant une question capitale en analyse politique, et pour l’opposition de surcroit.

    La vérité est que, qu’on le veuille ou on le déplore, le Régime algérien est de nature militaire, criminel, sanguinaire, assassin, de type pinochetiste, latino-américain, qui repose sur ce “trépied” si solide: La Police politique, L’Armée de régime, les Clans rivaux. Epaulé par des pseudos-démocrates, des faux opposants, des micro-partis satellites, des clientèles diverses et variées, etc. Bref !

    Au cours de son séjour à Paris, Kerroumi passait au Danton, une Brasserie du Quartier Latin(ParisV° & VI°,au Bd Saint-Germain) fréquentée par les journalises et intellectuels exilés. Parmi les nombreuses PAGSistes qui venaient, Kerroumi était le seul abordable et fréquentable, les autres étaient excécrables et lassants du fait de leur soutien à la répression engagée par le Régime dictatorial; étaient favorables au Coup d’Etat de 92, ne proféraient aucune accusation contre les Généraux, bien au contraire! Bref. Le Patron a d’ailleurs fini par les chasser violemment pour des notes impayées, des discussions houleuses et les querelles fréquentes. Une fois, un certain Akram, journaliste(?), fils du Directeur des archives départementales de l’Ouest(Oranie) et Officier du DRS, avait menacé certains réfugiés.Rachid, le barman, d’origine algérienne était là…

  6. perdu dit :

    ouimon ami tt les algerienne sais tt ce que tu dit alors en assez fatigue de ttca.le plus importanten parle comme allez fini avec ce regime de DRS ET DESC MAFIAen fatigue de raconte qui ce que fait de mal pour les algerien.en doit dioscute et allez a futur de deparasse de ce problem de system.tt ce que tu dit exatet je suis d accord.mais le prolem en doit faire uni et allez devant dieu avec nous

  7. la haine dit :

    a tout les genereaux criminel les dernier avertisement es que vous avez la force de tuer des honnete non mr la pouinte et viet et a suivre adieu pour vous ses votre famille qui paye je suis partout en france au usa en algerie a bientot la liste et longue

  8. MASSINIS dit :

    j etais un etudiant a l universite de constantine la periode 78/ 83 j etais un membre des freres musulmants . avec ADAMI (embassadeur ) Bougazi med ali (a la presidnce). Bouguerra
    et la cliques d ailleures j ai des peuves concretes a l epoques qu ils etaient des agents engager dans la securite’
    ……a suivre

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