Ghozali lance un appel au pouvoir apparent et le pouvoir caché pour aller vers des réformes véritables
L’ancien chef du gouvernement, Sid Ahmed Ghozali, a indiqué dimanche à Alger que les consultations nationales sur les réformes politiques, entamées samedi, engageaient “l’avenir du pays” qu’il faut appréhender en tenant compte, selon lui, d’une analyse “objective” de la situation actuelle du pays et de la région (…) Selon Ghozali, faire face à ces défis ne passe pas uniquement par un changement des lois, notamment la Loi fondamentale (Constitution), d’autant plus, a-t-il dit, que “ces lois ne sont pas respectées, dans leur contenu, depuis des décennies”.
En ce sens, l’ancien chef du gouvernement, dont la rencontre avec les membres de l’Instance de consultations aura duré un peu moins d’une heure, a lancé un appel en direction à la fois du “pouvoir apparent” et du “pouvoir caché”, comme il les a nommés, pour aller vers des réformes véritables. “A mesure que l’on s’éloigne du fond du sujet ainsi que des défis à relever et des préoccupations (du peuple), on se rapproche du choc qui risque de se produire dans le pays”, a-t-il signifié à cet effet.
Comme l’a dit Sid Ahmed Ghozali, après la brève entrevue qu’il a eue hier avec Bensalah et ses deux assesseurs de la commission des « réformes », le pouvoir apparent et invisible, qui dirige actuellement l’Algérie, pratique la fuite en avant et la diversion dangereuses. Selon Sid Ahmed Ghozali, qui se qualifie lui même de « harki du système » ( il s’en est rendu compte quand on lui a retiré le biberon ), ce pouvoir est de mauvaise foi caracterisée et refuse tout changement qui remettra en cause les énormes privilèges moraux et matériels dont il s’est illicitement accaparé. Il préfère le statut quo ante même s’il est dangereux pour la République, sérieusement menacée par un tsunami social. Ce pouvoir, dit-il, place son destin au dessus de celui du pays.
Toutes les initiatives qui ont été prises depuis quelques années déjà par le clan présidentiel ont été vouées à l’échec.
La dernière en date est l’agression violente commise par Miloud Chorfi, l’homme de Bensalah, conte Abdelaziz Ziari, le Président de l’APN, qui a osé critiqué son maitre et a en quelque sorte dénoncé la hrira tlemcenienne immangeable que Bouteflika est en train de mijoter avant de tirer sa révérence.
Hrira tlemcenienne contre chorba constantinoise, qui aura le dernier mot ?
Il faut aussi compter avec le bouzelouf kabylo-algérois car il a certainement son mot crucial à dire dans cette guerre des cuisines.
http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
http://contreleclandoujda.centerblog.net
…Et Ghozali avec eux aussi ! Il doit s’casser lui également… il n’a jamais eu le courage d’assumer d’être un enfant du régime… il dit avoir été juste « un fonctionnaire de l’Etat »… mais un fonctionnaire qui a organisé les élections les plus désastreuse de l’histoire de l’Algérie tout de même ! Qu’ils s’en aillent tous !
Bcp de mes commentaires ne paraissent plus!Est-ce une inadvertance dans la manipulation de la part du modérateur de ce blog ? Pour notre part, nous ne cherchons qu’à l’enrichir mais……sinon cela ne nous pose aucun problème si notre présence est inacceptable!Il suffit de le dire….nous irons paitre ailleurs!
Celui qui se fait appeler « harki » du système nous livre une très grosse information!Il existe donc dans notre pays , un pouvoir caché et un autre apparent ! Sapristi ! Comment font -ils pour gouverner en symbiose ? Deux commandants sur un navire et celui-ci coule inévitablement! La preuve, voyez où va l’ Algérie ….
Plus il y a d’opposants plus le pouvoir caché et apparents partiront.
Plus il y a des partis dans la coalition et dans le système, plus le bateau coule.
Nous sommes a peu près en 1945, réveillons nous comme l’ont fait Ait-Ahmed, Abane, Amirouch et les vrais.
sortant de la bouche de Sidh Amèdh Gozzali, « le harki du système », aucun appel, aucune parole n’a de crédibilié, de portée ou de vérité…
Il se « re-look », il se présente avec un nouveau visage…pour mieux tromper, leurrer, induire en erreur…..
Ghozali, Sadi, Ferhat, Ménasra, Nordine,
L. Hanoun, Ksentini, etc, etc sont des ponce-pilates, des caméléons, des vendus aux Généraux mafio-criminels, ils n’implorent aucun respect, n’inspirent aucune confiance
Qu’ils dégagent !
ils sont toujours vivants ces criminels !?
á la solde de l oligarchie .j ai pensé que t es creuvé déja mr ghozali!!
http://www.youtube.com/watch?v=QqPXzJaA5UY&feature=related
mais la mauvaise graine ne meure pas
http://www.youtube.com/watch?v=iwJX4y4FfFE
meme si tu comrends pas cette langue latine mahouche mouchkel