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Archive pour le 8 juin, 2011
Carnaval fi dechra: Le FND et Bounedjma chez BTB
La commission BTB a reçu mercredi le président du Front national démocratique (FND), Sassi Mabrouk, et le président de la Coordination nationale des enfants de chouhada (CNEC), M. Khaled Bounedjma. Le FND (wellah que je n’ai jamais entendu parler de ce parti) a appelé à l’instauration d’un régime parlementaire, la limitation du mandat présidentiel à cinq ans renouvelable une fois et la dissolution du Conseil de la nation, le jugeant « incompatible » avec le régime parlementaire.
Pour sa part, Bounedjma a insisté sur la « lutte contre la corruption et la bureaucratie » et « l’amélioration des conditions de vie du citoyen et le rétablissement de la confiance entre le citoyen et l’Etat ».
Carnaval fi dechra: Des « personnalités » religieuses chez BTB
La commission BTB a reçu, mercredi à Alger, une délégation de personnalités religieuses: Mohamed Beredouane, ancien ministre des Affaires religieuses, le cheikh de la zaouïa El Kassimia, Mohamed Mamoun El Kassimi, Mohamed Cherif Kaher, membre du Conseil supérieur islamique (CSI), le président du Conseil des notable de la vallée du M’zab, cheikh Abou Kacem Abdelhamid Ben Ahmed, l’ancien ministre des Affaires religieuses, Said Chibane, le Khalifa général de la Tariqa tidjania, Ali Belarabi.
Témoignage: Quand la compétence prime sur toute autre considération, la communauté algérienne à l’étranger reviendra
Kamel Bourenane pour « Algérie Politique »
Des séminaires, des colloques et des journées d’études par centaines sont organisés en Algérie sur «la communauté algérienne établie à l’étranger» ces dix dernières années, avec comme objectif ultime, le retour de ces compétences dans leur pays d’origine. Cependant, il est légitime de croire que c’est un thème qui perd de sens du moment où le phénomène de la « harga » prend de l’ampleur inquiétante. En d’autres termes, quelles ont été les mesures prises pour faciliter le retour de ces compétences ou, simplement, arrêter la fuite pour ne pas dire le naufrage?
La réponse est sans équivoque: aucune mesure et ce n’est pas quelques colloques ou séminaires qui pourront changer la donne. En effet, étant moi-même un spécialiste en évaluation des risques professionnels et ayant accumulé une expérience dans des institutions de renommée mondiale, comme l’institut de recherche en santé et sécurité au travail: l’IRSST (Québec), l’université de Montréal et Envitox, j’ai été approché par l’ancien ambassadeur d’Algérie au Canada, Monsieur Youcef Yousfi, pour me demander de mettre mes compétences au service du pays. Ma réponse ne pouvait être qu’affirmative. C’est ce que tous les Algériens établis à l’étranger veulent et souhaitent faire avec beaucoup de volonté et d’énergie pour être utiles à l’Algérie et participer activement, directement ou indirectement, à son essor. Si on n’arrive pas à le faire encore, ce n’est pas par choix, mais c’est parce que l’environnement n’est pas propice.