Algérie-Politique

La secrétaire générale de l’Union nationale des femmes algériennes (UNFA), Nouria Hafsi, a appelé samedi à Alger à adopter le système des quotas en vue de la promotion de la femme dans la vie politique et au sein des assemblées élues.

Dans une déclaration à la presse, à l’issue de sa rencontre avec la commission BTB Mme Hafsi a indiqué que »pour une période de transition, il est impératif d’adopter ce système (des quotas) afin de garantir un taux de 30% pour les femmes au sein des assemblées élues, que ce soit les Assemblées populaires communales, de wilayas et nationale ou le Conseil de la nation ».

Nouria Hafsi est militante du RND de Ahmed Ouyahia.

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A défaut d’ouvrir ses frontières terrestres avec le Maroc, l’Algérie a ouvert sa zone de but. El Mouhtarem 

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Par un groupe d’employés de Djezzy

Le mercredi 01 juin, les employés d’orascom télécom Algérie ont observé un sit-in devant la direction générale, sise à Dar El Beida, de cet opérateur de téléphonie mobile pour protester contre les augmentations jugées insultantes par l’ensemble des employés algériens de Djezzy. Tenez vous bien ! Des augmentations de salaires qui varient entre 300 et 400 DA ! Ce n’est pas une blague mais c’est la triste réalité que vivent les employés algériens de Djezzy !

Le maître et l’esclave

A Djezzy, on vit au moyen-âge, l’esclavage existe et il est très visible. Les Algériens sont des esclaves  et employés étrangers sont des maîtres et ils ont droit à tous les privilèges ! La plupart des employés étrangers qu’on aiment envoyer comme des consultants sont très incompétents et ils ne maîtrisent même pas les trucs de base du GSM, et ils ont un salaire moyen de 200  millions de centimes, mais bien sûr ils doivent être payés en dollars ! Le dinar est pour les sous humains algériens, le salaire moyen des cadres algériens est de 50.000 DA ! Alors que les Algériens font tout, les employés étrangers ne font rien, pis encore ils se permettent de grandes soirées dans les plus grands hôtels de la capitale sans oublier bien sûr le Sheraton d’Oran, qui est lui aussi est destination de choix pour les maîtres de Djezzy !

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Ait Benali Boubekeur pour « Algérie Politique »

Les consultations de la commission présidée par Abdellakder Bensalah se poursuivent. Celle d’hier représente ce qu’il y a de plus aberrant et saugrenu. En effet, le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, et non le Premier ministre, vient de proposer une batterie de mesures pouvant sortir l’Algérie de son marasme actuel. Toutefois, il se trouve que les propositions du secrétaire général  sont diamétralement opposées à celles qui sont mises en œuvre par le premier ministre. Car, ce qui est ambivalent c’est que le secrétaire général représentant «la vertu démocratique» n’est pas d’accord avec ce que lui-même applique au gouvernement.

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La commission « BTB »’* a reçu, jeudi à Alger, Ahmed Idabir et Ibrahim Ghouma, en leur qualité de « notables » de la région de l’Ahaggar. Ibrahim Ghouma est un sénateur du tiers présidentiel. Dans une déclaration à la presse, à l’issue de sa rencontre avec la commission BTB, Ahmed Idabir s’est félicité que le champ des libertés « ne cesse de s’élargir » en Algérie, notamment en matière d’activité partisane et médiatique.

De son côté, Ibrahim Ghouma, sénateur de Bouteflika, qui s’est réjoui de l’invitation qui lui a été adressée par la présidence de la République à prendre part à ces consultations, a souligné la nécessité de consolider la paix et la stabilité et de préserver l’unité du peuple algérien, rapporte l’APS

*Bensalah-Touati-Boughazi

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Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia a rencontré hier jeudi la commission BTB (Bensalah-Touati-Boughazi). Ouyahia dont le parti a soutenu l’amendement de l’article de la constitution limitant les mandats présidentiels, plaide aujourd’hui à limiter les mandats du président à deux seulement. «Un mandat renouvelable une fois, me suffit», semble dire le premier ministre. Né en 1952, Ouyahia aura 64 ans en 2014 et 74 ans après deux mandats à la tête de l’Algérie, c’est-à-dire le même âge que Bouteflika aujourd’hui.

Par ailleurs, le premier ministre, Ouyahia, dont le parti n’est pas majoritaire au niveau du Parlement, appelle maintenant à choisir le premier ministre dans les rangs du parti majoritaire au niveau de l’Assemblée nationale. Qui a dit que Si Hmimed n’est pas schizophrène ? El Mouhtarem

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Dans un article intitulé Who cares in the Middle East wahat Obama says ? (Qui au Moyent-Orient peut prendre en considération ce qu’a dit Omaba ?),  http://ind.pn/jd4j0q le  grand reporter et correspondant au Proche-Orient du journal britannique The Independent, Robet Fisk, a expliqué les raisons de la récente visite en Algérie de l’émir du Qatar.

Selon lui, les Qataris tentent d’empêcher l’Algérie de remettre à Kadhafi des chars et des véhicules blindés- ce fut l’une des raisons pour laquelle l’émir du Qatar a rendu visite au président Abdelaziz Bouteflika, la semaine dernière (mercredi 18 mai). Si les équipements militaires algériens seront remis à Kadhafi afin de remplacer le matériel déjà détruit lors des frappes aériennes, le chemin restera long pour l’OTAN dans sa lutte contre les forces de Kadhafi, a souligné The Independant. « A savoir maintenant si Bouteflika contrôle vraiment son armée – ou ce sont les généraux corrompus qui traitent en secret avec Kadhafi », a conclu le journaliste. El Mouhtarem

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Par Ahcène Oumeddah 

Voisins au village « Tizit », où nous avons grandi et fait notre scolarité jusqu’au lycée. Déjà, à cette époque, on a décelé, chez lui, des signes qui feront de lui, plus tard, un militant engagé. Parce qu’il ne trouvait pas l’équipe de football du village représentative de tous les talents, il a monté un projet parallèle d’une deuxième équipe composée des joueurs non retenus en équipe première. Il l’a dénommé «Tansawt» qui a son actif plusieurs succès dans les tournois de foot organisés au village. 

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El Mouhtarem

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Ait Benali Boubekeur  pour « Algérie Politique »

Le FFS va commémorer, le vendredi 3 juin, le quatrième anniversaire de la disparition de notre ami Amrane. En présence du premier secrétaire du parti, Karim Tabbou, ce geste est d’une haute considération. Il représente également la reconnaissance au dévouement d’un militant engagé.

Comme beaucoup de militants discrets au début des années 1990, Amrane se distinguait par son sérieux et son attachement aux valeurs incarnées par le FFS. Toutefois, depuis 1992, nos chemins se séparèrent. Amrane avait fait ses études à Alger. Toutefois, il ne tarda pas à nous rejoindre à Tizi Ouzou. Et dès 1997, on se voyait plus souvent. En effet, il travaillait à ce moment-là à la SONALGAZ. Quelques temps plus tard, il se mit à son compte. Et là, on a eu plus d’occasions de se voir. Pour ma part, je lui rendis plusieurs fois visite au siège de la ligue.

Cher ami, de là où tu es, je dois dire que tu étais serviable et généreux. Tu n’hésitais pas à nous inviter, parfois à cinq voire plus (j’étais encore étudiant), au restaurant. Tu dépensais sans compter pour tes amis. Cette générosité, tu n’hésitais pas à la mettre au service du parti. Ainsi, tu ne lésinais pas sur ce que tu pouvais donner au parti. Ta disparition est encore ressentie par tout le monde. En effet, tu manques au parti, à tes amis, à ta commune Illiltene, à ton village Tizit et surtout à tes proches. Repose-toi en paix cher ami Amrane.  

Photo: De gauche à droite: Amrane, Ali Yahia et Bouchachi lors du congrès de la LADDH en 2005 à Boumerdes

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