2 juillet, 2011
Hors d’haleine, ces ingénieurs de second souffle de sonatrach !
Un cadre de sonatrach pour « Algérie¨Politique »
Sonatrach est parmi les entreprises à caractère technique, à travers ses métiers de base, qui avaient plaidé en faveur de la promotion interne démesurée de son personnel devenu cadre au point de provoquer le naufrage d’une belle ambition. Le récit se polarise surtout autour des faux cadres et ingénieurs de boîtes qui ont paralysé le dynamisme managérial de sonatrach aussi bien sur le plan technique qu’administratif.
Jadis dans les années qui avaient succédé la nationalisation des hydrocarbures en 1971, sonatrach était effectivement dépourvue quantitativement de cadres et notamment d’ingénieurs pour relever le défi. Toutefois, les anciens diplômés dont y compris les anciens ingénieurs, malgré leur nombre réduit, avaient pu s’adapter et prendre la relève car ils disposaient d’une formation académique universelle et un cursus complet et régulier pour prouver finalement leur niveau professionnel très ambitieux. Ceci étant évidemment dû au niveau académique requis qui prévalait dans les formations particulièrement à caractère scientifique en Algérie, complétées le plus souvent par des formations de valeur à l’étranger.