Le soulèvement des jeunes de 1988 et ses victimes doit servir de repère dans le temps et dans l’espace pour tous les assoiffés de justice, de démocratie et d’amour pour le pays, que tous les « mondialistes » de circonstance qui veulent dénaturé ce mouvement précurseur de tous les mouvements qui ont suivi dans le monde dit « arabe » sache qu’il y avait une conscience politique au sein de la jeunesse de l’époque, qu’il y avait des tendances politiques et idéologiques dans une période particulière dans la gestion de l’état caractérisée par l’improvisation, la médiocrité et le clientélisme et qui a fait émergé un phénomène latent : l’intégrisme de ceux qui n’avaient rien â faire valoir que leurs tartufferies . Que ceux qui se mettent à genoux par béatitude d’avant des usurpateurs de mouvements de protestations, légitimes des peuples ( Egypte, Tunisie et autre Libye), usurpateurs obéissants aux donneurs d’ordres venus d’ailleurs , sachent que l’algérien quelque soit son état de fatigue physique et de léthargie intellectuelle, finit toujours par se relever ( son histoire le prouve) et gagner sa bataille pour la dignité,dignité que les mauvaises langues étiquettent de « rejla » . Je suis convaincu que son expectative actuelle devant les excitations des aventuriers intéressés est motivée par le rejet de l’improvisation et l’absence de projets de substitution, aux hommes politiques de valeur non intéressés de lui proposer des projets crédibles, réalisables à court et moyen terme pour mettre fin à un régime basé sur la corruption et le clientélisme, et dont l’argument évoqué depuis 1962 ( légitimité historique) n’est plus d’actualité.
Je suis d’accord avec les internautes qui disent que l’Algérie vit actuellement une fin de règne pathétique, grosse de tous les périls.
Ce n’est certainement pas la fuite en avant suicidaire et l’agitation stérile de l’instit d’Aflou, d’Ould Abbés, de Tou et des autres membres du clan présidentiel, dont les jours sont comptés au FLN et au gouvernement, qui vont changer quoi que ce soit à cette triste réalité.
Je crois que Bouteflika, qui sait pertinemment qu’il est cuit aux yeux du peuple algérien, qui ne lui accorde aucune crédibilité et chez les gouvernements étrangers, qui ont découvert sa vraie nature de dictateur d’un autre siècle, est en train de mettre le feu à la poudrière algérienne avant de “rentrer chez lui” bientot.
Je ne comprends pas pourquoi certains internautes reprochent à Bouteflika d’être ce qu’il à toujours été.
Les reproches devraient être, à mon avis, plutot adressés à ceux qui l’ont sorti, en 1999, du musée ou il gisait et lui ont confié une responsabilité trop lourde pour ses frêles épaules et ses capacités intellectuelles limitées.
En effet, qu’attendre d’un homme, qui a vécu et mourra cupide, obstiné, magouilleur, comploteur et imposteur.
En 12 ans de concessions unilatérales majeures à ses alliés islamistes, il a transformé une victoire militaire éclatante sur l’islamisme armé en une défaite politique cuisante.
Son clan et notamment Belkhadem partagent avec lui la paternité de cet exploit.
Bouteflika a aussi désindustrialisé le pays, qui avait une base industrielle non négligeable, favorisé le commerce et l’économie informels, pillé et bradé les ressources naturelles non renouvelables du pays et dilapidé les ressources financières que leur exploitation sauvage a générées, non pas pour le bien être des Algériens et des Algériennes, qui sont toujours mal éduqués, mal formés, mal soignés, mal vêtus et mal nourris mais pour des projets fumeux, dont le gigantisme est surtout destiné à alimenter la corruption généralisée qui règne dans le pays depuis 1999 et qui font de notre pays l’un des plus corrompus du monde, dans le seul but de se maintenir sur son koursi vermoulu.
Alors, cessez s’il vous plait de maudire et d’accabler ce pauvre bougre, que le pouvoir a rendu fou, à l’instar de ses homologues arabes, dont les régimes tyranniques chancelants sont en train de tomber l’un après l’autre, à la faveur du printemps des peuples arabes ou de l’automne des tyrans arabes
Quoi qu’en disent les partisans du clan présidentiel, qui pillent l’Algérie et bradent sauvagement ses richesses depuis 1999, Bouteflika est en train de vivre son dernier quart d’heure.
A mon avis, depuis le début du 3ème mandat, le mandat de trop, qui lui a apporté malheur sur malheur, Bouteflika a commis de nombreuses erreurs monumentales, qui ont engendré un large consensus, au plus haut niveau pour qu’il parte immédiatement sinon il va connaitre le sort des Benali, Moubarak, Gueddafi, Al Assad, Ali Abdallah Salah et les autres potentats arabes, qui vivent des fins de règne tragiques.
Contrairement à certains internautes, je crois qu’aucun consensus n’a encore été atteint concernant le successeur de Bouteflika et à la manière dont il sera installé à El Mouradia ou ailleurs, en ces temps bénis de printemps arabe.
Le choix d’Ouyahia risque de faire exploser le pays tant ce Kabyle de service est compromis avec le régime honni de Bouteflika.
Le pouvoir a visiblement tourne la tête à ce vieil homme devenu impotent qu’est Bouteflika, au point de le pousser à comploter contre ses tuteurs afin de faire de son frère Said l’héritier du trone ussurpé en 1999.
L’Algérie est en train de devenir la risée du monde arabe et de l’Afrique.
En tout état de cause, si Bouteflika voulait se suicider politiquement et isoler l’Algérie diplomatiquement, il ne se serait pas pris autrement.
La descente aux enfers continue, à travers la fuite en avant pathétique du clan présidentiel.
Vivement l’apres-Bouteflika car la mascarade commencée en 1999 et prolongée en 2004 et en 2009 est en train de tourner en une nouvelle tragédie, qui risque d’emporter definitivement la cohésion, la stabilité, l’unité et la sécurité de notre pays.
Ainsi, après la chute de Gueddafi, le pays voisin de la Libye le plus visé maintenant est l’Algérie à cause de la position absurde du pouvoir algérien aux abois sur les révolutions qui ont secoué plusieurs dictatures arabes que Bouteflika et Medelci, visiblement depassés par les événements, ont soutenues à contre-courant de l’Histoire.
Le soutien à Benali, Moubarak, El Gueddafi, Al Assad, Ali Abdallah Saleh et El Bechir , notamment va être payé chèrement par notre pays.
A mon avis, le compte à rebours a commencé pour le clan présidentiel.
Les Algériens et Algériennes doivent choisir entre le scénario tunisien et égyptien ou le senario libyen, syrien et yémenite
En un mot, il doivent libérer leur pays eux mêmes des serres de Bouteflika et de son clan de prédateurs qui les mènent droit à la catatrophe ou bien d’autres le feront à leur place et s’empareront du pays, hommes et biens.
Des personnalités nationales comme Lakhdar Brahimi sont convaincues et il l’a déclaré récemment, que l’Algérie, comme le Maroc et l’Arabie Séoudite, a des dirigeants capables de mener le pays à bon port au milieu de la tempête qui souffle sur le monde arabe depuis la fin de l’année 2010.
On a tous compris qu’il en fait partie et qu’il était prêt à assumer les plus hautes responsabilités qui lui seraient confiées pour accomplir cette lourde tache.
C’est pour cela que je suis totalement d’accord avec Madame Louisa Hannoune qui demande la tenue d’urgence d’une conférence nationale pour sauver l’Algérie.
En effet, notre pays a besoin d’urgence d’un Gouvernement d’Union Nationale crédible pour pour arrêter immédiatement le processus, d’isolement, de rabaissement et de régression dans lequel la fuite en avant suicidaire du clan présidentiel, isolé sur les plan national, régional et international, l’a plongée depuis notamment le début du mandat de trop, entamé en Avril 2009, qui a apporté malheur sur malheur à Bouteflika et au pays.
Une personnalité comme M. Lakhdar Brahimi, crédible et respecté en Algérie et à l’étranger pourrait présider ce Gouvernement d’Union Nationale, qui sera composé uniquement de technocrates connus pour leur compétence et leur intégrité morale.
Il aura pour taches majeures, entre autres, de :
Redresser la Diplomatie algérienne malmenée par le clan présidentiel, en réchauffant et en rétablisssant la confiance dans nos relations avec les pays voisins, du Sud et du Nord de la Méditerranée, avec lesquels Bouteflika s’est faché,
Organiser des élections législatives crédibles au printemps 2012
Organiser une élection présidentielle crédible au printemps 2013
Il pourrait aussi commencer par l’election presidentielle.
Il ne faut pas gacher cette chance historique.
Les arguments à utiliser pour convaincre Bouteflika, qui devient de plus en plus pathétique pour ne pas dire pitoyable, de se retirer dans la dignité car il est dans l’incapacité physique et mentale de diriger notre pays, sont nombreux et multiples.
C’est la seule manière d’éviter la catastrophe annoncée.
Le soulèvement des jeunes de 1988 et ses victimes doit servir de repère dans le temps et dans l’espace pour tous les assoiffés de justice, de démocratie et d’amour pour le pays, que tous les « mondialistes » de circonstance qui veulent dénaturé ce mouvement précurseur de tous les mouvements qui ont suivi dans le monde dit « arabe » sache qu’il y avait une conscience politique au sein de la jeunesse de l’époque, qu’il y avait des tendances politiques et idéologiques dans une période particulière dans la gestion de l’état caractérisée par l’improvisation, la médiocrité et le clientélisme et qui a fait émergé un phénomène latent : l’intégrisme de ceux qui n’avaient rien â faire valoir que leurs tartufferies . Que ceux qui se mettent à genoux par béatitude d’avant des usurpateurs de mouvements de protestations, légitimes des peuples ( Egypte, Tunisie et autre Libye), usurpateurs obéissants aux donneurs d’ordres venus d’ailleurs , sachent que l’algérien quelque soit son état de fatigue physique et de léthargie intellectuelle, finit toujours par se relever ( son histoire le prouve) et gagner sa bataille pour la dignité,dignité que les mauvaises langues étiquettent de « rejla » . Je suis convaincu que son expectative actuelle devant les excitations des aventuriers intéressés est motivée par le rejet de l’improvisation et l’absence de projets de substitution, aux hommes politiques de valeur non intéressés de lui proposer des projets crédibles, réalisables à court et moyen terme pour mettre fin à un régime basé sur la corruption et le clientélisme, et dont l’argument évoqué depuis 1962 ( légitimité historique) n’est plus d’actualité.
Bonjour
L’important est de soutenir, le plus important est (pour ceux et celles qui le peuvent) d’y être.
« Yad wahda ma tsafk ».
Une fin de règne pathétique
Je suis d’accord avec les internautes qui disent que l’Algérie vit actuellement une fin de règne pathétique, grosse de tous les périls.
Ce n’est certainement pas la fuite en avant suicidaire et l’agitation stérile de l’instit d’Aflou, d’Ould Abbés, de Tou et des autres membres du clan présidentiel, dont les jours sont comptés au FLN et au gouvernement, qui vont changer quoi que ce soit à cette triste réalité.
Je crois que Bouteflika, qui sait pertinemment qu’il est cuit aux yeux du peuple algérien, qui ne lui accorde aucune crédibilité et chez les gouvernements étrangers, qui ont découvert sa vraie nature de dictateur d’un autre siècle, est en train de mettre le feu à la poudrière algérienne avant de “rentrer chez lui” bientot.
Je ne comprends pas pourquoi certains internautes reprochent à Bouteflika d’être ce qu’il à toujours été.
Les reproches devraient être, à mon avis, plutot adressés à ceux qui l’ont sorti, en 1999, du musée ou il gisait et lui ont confié une responsabilité trop lourde pour ses frêles épaules et ses capacités intellectuelles limitées.
En effet, qu’attendre d’un homme, qui a vécu et mourra cupide, obstiné, magouilleur, comploteur et imposteur.
En 12 ans de concessions unilatérales majeures à ses alliés islamistes, il a transformé une victoire militaire éclatante sur l’islamisme armé en une défaite politique cuisante.
Son clan et notamment Belkhadem partagent avec lui la paternité de cet exploit.
Bouteflika a aussi désindustrialisé le pays, qui avait une base industrielle non négligeable, favorisé le commerce et l’économie informels, pillé et bradé les ressources naturelles non renouvelables du pays et dilapidé les ressources financières que leur exploitation sauvage a générées, non pas pour le bien être des Algériens et des Algériennes, qui sont toujours mal éduqués, mal formés, mal soignés, mal vêtus et mal nourris mais pour des projets fumeux, dont le gigantisme est surtout destiné à alimenter la corruption généralisée qui règne dans le pays depuis 1999 et qui font de notre pays l’un des plus corrompus du monde, dans le seul but de se maintenir sur son koursi vermoulu.
Alors, cessez s’il vous plait de maudire et d’accabler ce pauvre bougre, que le pouvoir a rendu fou, à l’instar de ses homologues arabes, dont les régimes tyranniques chancelants sont en train de tomber l’un après l’autre, à la faveur du printemps des peuples arabes ou de l’automne des tyrans arabes
Quoi qu’en disent les partisans du clan présidentiel, qui pillent l’Algérie et bradent sauvagement ses richesses depuis 1999, Bouteflika est en train de vivre son dernier quart d’heure.
A mon avis, depuis le début du 3ème mandat, le mandat de trop, qui lui a apporté malheur sur malheur, Bouteflika a commis de nombreuses erreurs monumentales, qui ont engendré un large consensus, au plus haut niveau pour qu’il parte immédiatement sinon il va connaitre le sort des Benali, Moubarak, Gueddafi, Al Assad, Ali Abdallah Salah et les autres potentats arabes, qui vivent des fins de règne tragiques.
Contrairement à certains internautes, je crois qu’aucun consensus n’a encore été atteint concernant le successeur de Bouteflika et à la manière dont il sera installé à El Mouradia ou ailleurs, en ces temps bénis de printemps arabe.
Le choix d’Ouyahia risque de faire exploser le pays tant ce Kabyle de service est compromis avec le régime honni de Bouteflika.
Le pouvoir a visiblement tourne la tête à ce vieil homme devenu impotent qu’est Bouteflika, au point de le pousser à comploter contre ses tuteurs afin de faire de son frère Said l’héritier du trone ussurpé en 1999.
L’Algérie est en train de devenir la risée du monde arabe et de l’Afrique.
En tout état de cause, si Bouteflika voulait se suicider politiquement et isoler l’Algérie diplomatiquement, il ne se serait pas pris autrement.
La descente aux enfers continue, à travers la fuite en avant pathétique du clan présidentiel.
Vivement l’apres-Bouteflika car la mascarade commencée en 1999 et prolongée en 2004 et en 2009 est en train de tourner en une nouvelle tragédie, qui risque d’emporter definitivement la cohésion, la stabilité, l’unité et la sécurité de notre pays.
Ainsi, après la chute de Gueddafi, le pays voisin de la Libye le plus visé maintenant est l’Algérie à cause de la position absurde du pouvoir algérien aux abois sur les révolutions qui ont secoué plusieurs dictatures arabes que Bouteflika et Medelci, visiblement depassés par les événements, ont soutenues à contre-courant de l’Histoire.
Le soutien à Benali, Moubarak, El Gueddafi, Al Assad, Ali Abdallah Saleh et El Bechir , notamment va être payé chèrement par notre pays.
A mon avis, le compte à rebours a commencé pour le clan présidentiel.
Les Algériens et Algériennes doivent choisir entre le scénario tunisien et égyptien ou le senario libyen, syrien et yémenite
En un mot, il doivent libérer leur pays eux mêmes des serres de Bouteflika et de son clan de prédateurs qui les mènent droit à la catatrophe ou bien d’autres le feront à leur place et s’empareront du pays, hommes et biens.
Des personnalités nationales comme Lakhdar Brahimi sont convaincues et il l’a déclaré récemment, que l’Algérie, comme le Maroc et l’Arabie Séoudite, a des dirigeants capables de mener le pays à bon port au milieu de la tempête qui souffle sur le monde arabe depuis la fin de l’année 2010.
On a tous compris qu’il en fait partie et qu’il était prêt à assumer les plus hautes responsabilités qui lui seraient confiées pour accomplir cette lourde tache.
C’est pour cela que je suis totalement d’accord avec Madame Louisa Hannoune qui demande la tenue d’urgence d’une conférence nationale pour sauver l’Algérie.
En effet, notre pays a besoin d’urgence d’un Gouvernement d’Union Nationale crédible pour pour arrêter immédiatement le processus, d’isolement, de rabaissement et de régression dans lequel la fuite en avant suicidaire du clan présidentiel, isolé sur les plan national, régional et international, l’a plongée depuis notamment le début du mandat de trop, entamé en Avril 2009, qui a apporté malheur sur malheur à Bouteflika et au pays.
Une personnalité comme M. Lakhdar Brahimi, crédible et respecté en Algérie et à l’étranger pourrait présider ce Gouvernement d’Union Nationale, qui sera composé uniquement de technocrates connus pour leur compétence et leur intégrité morale.
Il aura pour taches majeures, entre autres, de :
Redresser la Diplomatie algérienne malmenée par le clan présidentiel, en réchauffant et en rétablisssant la confiance dans nos relations avec les pays voisins, du Sud et du Nord de la Méditerranée, avec lesquels Bouteflika s’est faché,
Organiser des élections législatives crédibles au printemps 2012
Organiser une élection présidentielle crédible au printemps 2013
Il pourrait aussi commencer par l’election presidentielle.
Il ne faut pas gacher cette chance historique.
Les arguments à utiliser pour convaincre Bouteflika, qui devient de plus en plus pathétique pour ne pas dire pitoyable, de se retirer dans la dignité car il est dans l’incapacité physique et mentale de diriger notre pays, sont nombreux et multiples.
C’est la seule manière d’éviter la catastrophe annoncée.
Il y va de l’avenir et de l’unité de notre pays.
Vive l’Algérie !
Vive la République !
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