Le REMDH et l’Observatoire très préoccupés par la disparition forcée de Noureddine Belmouhoub
Copenhague-Paris-Genève, 25 octobre 2011 – Le Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH) et l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme, programme conjoint de la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) et de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT), expriment leur plus vive inquiétude suite à l’enlèvement par des membres supposés des forces de sécurité de M. Noureddine Belmouhoub, défenseur des droits de l’Homme algérien, porte-parole du Comité de défense des ex-internés des camps de sûreté (CDICS).
Le REMDH et l’Observatoire craignent que les actes de harcèlement dont Noureddine Belmouhoub a été l’objet au mois de septembre ainsi que son enlèvement aient pour objectif d’entraver son activité militante. Le REMDH et l’Observatoire rappellent que N. Belmouhoub, en sa qualité de porte-parole du CDICS, a porté plainte contre le général Khaled Nezzar auprès du Tribunal d’Alger en 2001. N. Belmouhoub a recensé des centaines de cas d’anciens internés dans les camps de sûreté dans le sud de l’Algérie où il avait aussi été détenu en 1992. Le 20 octobre 2011, le général Nezzar a été auditionné par le Ministère public de la Confédération suisse, suite à une plainte déposée par l’organisation TRIAL pour crime de guerre.
Le REMDH et l’Observatoire ont été informés de sources fiables que N. Belmouhoub a été enlevé vers 11h le 23 octobre 2011 à Alger rue Hassiba Ben Bouali par trois personnes qui l’ont embarqué dans une voiture Caddy Volkswagen blanche. Plusieurs témoins dont la personne qui l’accompagnait ont assisté à la scène mais la rapidité avec laquelle s’est déroulé l’opération les a empêchés de noter le numéro de la plaque d’immatriculation. Un des témoins directs déclare également avoir aperçu un gyrophare bleu placé sur le tableau de bord du véhicule.
Après plus de 48 heures, sa famille reste sans nouvelles de son sort, malgré ses démarches auprès des autorités concernées. En effet, ni la gendarmerie, ni la police, ni le Département du renseignement et de la sécurité (DRS) n’ont ni donné d’information sur son sort ni confirmé son arrestation.
D’après ses proches, peu avant sa disparition, il avait subi une série d’actes d’intimidation et de harcèlement. N. Belmouhoub avait notamment fait part du fait qu’il se savait suivi depuis plusieurs jours par des personnes qu’il aurait identifiées comme étant des agents du DRS. Il avait également exprimé sa crainte d’être arrêté prochainement.
Par ailleurs, le 14 septembre 2011, N. Belmouhoub avait déjà été agressé et gravement blessé par un inconnu en pleine rue à Alger sur la Place du 1er mai. La plainte qu’il a déposée suite à cette agression n’a pas eu de suite à ce jour.
Le REMDH et l’Observatoire dénoncent fermement cet enlèvement qui constitue un acte de disparition forcée privant N. Belmouhoub de la protection de la loi et l’exposant au risque d’actes de torture ou de mauvais traitement. Nos organisations demandent aux autorités algériennes de:
- informer immédiatement sa famille et son avocat du lieu de détention de N. Belmouhoub ainsi que des motifs de son arrestation ;
- garantir son accès à un avocat ;
- garantir son intégrité physique et morale ;
- et procéder à sa libération immédiate et inconditionnelle dans la mesure où celle-ci ne vise qu’à entraver ses activités de défense des droits de l’Homme.
Bonjour à tous et à toutes
Je souffre de tous ces abus et arbitraires, conspirations… j’en connais un bout et que justice et droits citoyens et dmocratie triomphent chez nous en Algérie et partout là où il ya dictature. Nous avons besoins de se solidariser les uns les autres.
Je me nomme BOUKEDAMI Mourad, j’ai déja saisi la FIDH au sujet de mon affaire où mes adversaires avaient tout fait pour causer mon assassinat et mon emprisonnement par des conspirations criminelles (Police judiciaire, procureurs, juges, imams, patrons d’entreprises et autres voyoux…).
Je prie la FIDH de reprendre et de réactiver mon dossier (plaintes à l’international). S’il m’arrive malheur ici en Algerie ce sont eux les assassins, on m’avait envoyé des voyoux plusieurs fois en Kabylie et à Alger. Mais je ne pardonne pas. Ces gens impliqués dans mon affaire doivent payer à l’étranger, ils doivent être jugés par des juridictions internationales. Je maintiens mes plaintes portées ici en Algerie et celles portées auprès des ligues de défense des droits de l’homme en Algerie et à l’étranger.
Vive la Démocratie, la liberté et toutes les valeurs universelles menant vers la transparence et le bien être des populations et des minorités.
Mes sincères salutations à notre ami et à vous toutes et tous. Résistance pacifique comme disait le regretté MATOUB Lounes.
Mourad BOUKEDAMI de Kabylie
Ex militant du mouvement citoyen
C’est des intégristes qui veulent préparer le terrain au retour du FIS et des assassins du peuple algérien avec la bénédiction du FFS et autres revenchards?
Il n’ya pas pire torture morale et pire prison que de vivre de manière répétée des cas d’injustice, d’abus de pouvoir et d’autorité au vu et au sus de tout le monde et qui demeurent impunis malgré la gravité des actes et les preuves.Ce que j’avais vécu m’a marqué à ce jour et ce en qualité de Victime et de partie civile et par conséquent je ne peux pardonner ni ici ni ailleurs et c’est pourquoi je maintiendrai toutes mes plaintes. Que le réseau de mes adversaires sachent qu’ils n’auront jamais mon pardon.La citoyenneté ne se marchande pas. Mon élimination physique a été recherchée durant des années par des actes criminels et de manière systématique par des personnes identifiées que j’avais dénoncées par écrit noir sur blanc. Un PLAN a été mis en exécution contre ma personne dans le but de me raser, causer mon assassinat et mon emprisonnement.Il y a volonté criminelle pour se débarrasser définitivement de moi en ma qualité de victime comme le prouvent les différentes convocations qui m’ont été adressées. Je porte plainte, je deviens systématiquement l’objet de représailles par différentes manières graves à même de terroriser tout être humain. Et rebelote et ce durant des années, en sus des menaces de mort proférées contre ma personne et que j’avais dénoncées également. Aucune des personnes citées dans mes plaintes n’en a été inquiétées à ce jour (2012). On m’avait joué sur le moral en ma qualité de responsable du contrôle de gestion et de l’audit dans le but de me déstabiliser, on m’avait joué sur mes sentiments. Tout simplement parce qu’il y a des personnes influentes et parce qu’il y a des crimes. Je suis prêt à affronter mes adversaires ici et ailleurs. Malheureusement aucune des personnes impliquées n’avait été auditionnée par les parties concernées. Je ne baisserai pas les bras. S’il m’arrive malheur mes bourreaux sont identifiés y compris ceux qui ont abusé de ma confiance.
Mourad BOUKEDAMI
J’invite publiquement mes adversaires, mes bourreaux,conspirateurs,à répliquer publiquement ici sur cette page.
Je m’engage à donner des réponses précises et au lecteurs d’en juger.Je relaterai tous les détails avec dates et actes commis contre ma personne à l’approche des dates des audiences et à certaines occasions. Je maintiens et je maintiendrai mes demandes pour l’ouverture d’une information judiciaire globale que j’avais déja demandée ainsi que toutes mes plaintes et requêtes. J’invite toutes les parties concernées sans exception aucune à répondre ici (elles se reconnaissent); ces personnes qui me poursuivent illégalement par des conspirations depuis l’année 2002.
Les justificatifs se trouvent actuellement au sein des institutions judiciaires.
Mourad BOUKEDAMI
24.06.2012
Monsieur le Ministre de la justice
J’ai l’honneur de venir respectueusement par le présent envoi attirer votre haute attention sur une série d’actes et conspirations condamnables et préjudiciables déclenchés contre ma personne en qualité de Victime durant une dizaine d’années sans relâche, menaçant par là ma vie à maintes reprises (récidives) en dépit de mes plaintes et requêtes adressées au procureur du tribunal d’Akbou (Bejaia) et à la Cour de justice de Béjaia, avec pièces justificatives et malgré les préjudices subis. Toutes mes plaintes et requêtes ont été classées et les actes condamnables et autres conspirations se poursuivent contre ma personne à des moments bien précis de manière systématique, avec mépris et arrogance.
Ma dernière requête-Plainte adressée au Président et au Procureur Général de la Cour de Justice de Bejaia remonte au mois de Janvier de l’année 2010, par courrier recommandé portant le numéro 001157, mettant en lumière les actes et arbitraires et abus de pouvoirs dont j’ai été l’objet de plusieurs parties y compris des magistrats (Juges et Procureurs) et autres auxiliaires de justice.
Monsieur le Ministre de la Justice,
Ce jour 14/10/2012, je viens de sortir du tribunal ABANE Ramdan d’Alger. Je suis allé dans ce tribunal dans le but d’obtenir un « casier judiciaire » comme d’habitude. Après avoir fourni mon extrait d’acte de naissance et le timbre fiscal et attendu quelques moments, l’agent en question chargé de remettre les casiers judiciaires m’informe que « je suis recherché par la justice de Bejaia » suite à une plainte portée contre moi depuis l’année 2007. Je lui avais répondu que je suis à votre disposition.
Si vraiment je suis recherché il qu’il y a eu cette fameuse plainte contre moi depuis l’année 2007, permettez- moi de me poser les questions suivantes en toute objectivité :
1- Pourquoi la Justice de Bejaia n’avaient rien fait contre moi lorsque je portais moi même plaintes contre les personnes impliquées dans mon affaire ?
-Le 13/08/2004 j’ai été auditionné par le Procureur près le tribunal d’Akbou (suite à ma plainte). Mes plaintes ont été classées. Mais les faits graves se sont poursuivis contre ma personne les années d’après.
-En Octobre et Novembre de l’année 2006 j’avais saisi le Juge d’instruction près le tribunal d’Akbou, il m’avait convoqué pour audition, je me suis présenté mais il ne m’avait pas auditionné. Les faits contre ma personne se sont encore poursuivis.
-En Avril et en Septembre de l’année 2007 j’ai été auditionné par la Police Judiciaire de la Daira de Seddouk suite à mes plaintes,
- Au début du mois de Mars de l’année 2008 j’ai été auditionné par le Pourquoi près le tribunal d’Akbou, suite à mes requêtes (dépôt de plainte). Ma Plainte a été classée mais les faits se sont poursuivis contre ma personne.
-En Décembre de l’année 2009 j’ai été auditionné par le Procureur près le tribunal d’Akbou, suite à mes plaintes. Ma plainte a été classée mais les faits se sont poursuivis dans le temps contre ma personne.
-En date du 20/01/2010 j’avais encore saisi le Président et le Procureur Général de la Cour de Justice de Bejaia par mon Courrier recommandé numéro 001157.
Je demande le déclenchement d’une enquête judiciaire indépendante sur la base de mes plaintes et les requêtes adressées à la Justice de Bejaia, et que justice soit rendue contre les coupables imliqués dans tous les actes et conspirations déclenchés contre ma personne dans le but de se débarasser de moi définitivement par tous les moyens.
Par ailleurs, je me pose vraiment la question suivante en toute objectivité : pourquoi les années passées j’avais retiré mon casier sans problème ?
Monsieur le Ministre de la Justice garde des sceaux
Si je suis recherché depuis l’année 2007 comment se fait-il que je passe chaque week end et les temps de mon congé chez moi à Seddouk (Bejaia) depuis des années ?
Si je suis recherché depuis 2007 pourquoi on m’avait pas arrêté durant toutes ces occasions dans la mesure où je me suis toujours rapproché de la Justice et de la Police Judiciaire. En date du 23.11.2007 justement la Police de la Daira de Seddouk (Bejaia) m’avait remis une notification officielle pour m’informer que les résultats de mes plaintes sont transmis au service concerné du tribunal d’Akbou, mais on m’avait pas arrêté. A ce jour j’ignore tous les résultats des enquêtes suite à mes plaintes.
S’il y a plainte contre moi ce n’est qu’une représaille contre moi.
Monsieur le Ministre de la Justice,
Je vous informe également que des personnes influentes sont impliquées dans mon affaire qui ne cesse de se développer dangereusement contre ma personne en ma qualité de victime. Par conséquent, je demande à ce que toute la lumière soit faite au sujet de mon affaire et que justice soit rendue, dans le mesure aucune des personnes impliquées n’a été convoquée ou auditionnée par la Justice et que toutes mes plaintes et requêtes ont été classées injustement malgré les justificatifs et les préjudices. Mon affaire cache des choses assez grave et c’est la raison pour laquelle je me suis permis de vous alerter, avec tout mon sens de responsabilité et en toute objectivité. La lecture et l’analyse des faits relatés dans ma requête adressée au Président et au Procureur Général de la Cour de Justice de Béjaia confirmeront que je n’ai pas tort.
Vous en remerciant par avance tout en vous rassurant que je demeure à la disposition de la justice.
LE PLAIGNANT
Mourad BOUKEDAMI
Takaâtz, Commune de SeddoukWilaya de BEJAIA.
Monsieur le Ministre de la Justice
Additivement à mon envoi de ce jour, j’ai l’honneur de porter à votre haute attention les éléments d’informations suivants :
Selon les informations qui m’ont été données par la personne du tribunal ABANE Ramedane d’Alger, je suis recherché par la justice de la région de Béjaia pour le fait que » j’avais refusé en 2007 de remettre les enfants à qui de droit ». Ce qui est totalement faux. En effet, non seulement mes enfants avaient passé les vacances d’hiver de l’année 2006 avec le ou la plaignante mais surtout il y avait eu « Enlèvement » de mes enfants en pleine année scolaire par leur mère (des justificatifs se trouvent au tribunal d’Akbou et à la Cour de justice de Bejaia). Cet enlèvement avait été commis à un moment précis (instruction de mes plaintes) que j’avais relaté et justifié par mes requêtes adressées à la justice de la région de Bejaia. De plus, en ces moments en 2007 les jugements rendus par la justice m’avaient accordé le « Droit de garde de mes enfants » et les procureurs et magistrats du tribunal d’Akbou et de la cour de justice de Béjaia le savent. Il s’agit des jugements rendus par le tribunal d’Akbou:
1- Jugement rendu en date du 05/03/2005 (affaire statut personnel n° 36.04)
2- Jugement rendu en date du 26/11/2005 (affaire statut personnel n° 215.05), par lequel la partie adverse avait été déboutée complètement malgré ces accusations graves et infondées portées contre moi.
Dans quelques jours je dois prendre mes nouvelles fonctions mais voila que subitement je rencontre ce problème relatif à l’obtention de mon casier judiciaire. Il ya des choses graves dans mon affaire. Je suis cadre supérieur.
La lecture et l’analyse de mes requêtes adressées à la justice vous permettront de comprendre toute mon histoire et d’engager les poursuites nécessaires contre tous les auteurs qui activent dans le but de se débarrasser de moi définitivement en ma qualité de victime et cacher des choses graves et condamnables.
Aussi, mon souhait et mon espoir est de faire quelque chose pour que ces injustices, ces arbitraires, ces abus d’autorité et de pouvoir, cessent et que leurs auteurs soient jugés, après enquête indépendante. Je suis prêt à une confrontation avec toutes les parties impliquées au sein d’une institution indépendante. Je suis en mesure de vous transmettre des rapports détaillés au sujet de mon affaire. On m’avait causé 5 mois de convalescences avec traitement médical et autres préjudices.
Avec mes remerciements anticipés
LE PLAIGNANT
BOUKEDAMI Mourad
le 14/10/2012