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Archive pour novembre, 2011

Kabylie/ Nouvelle bavure des militaires: 2 civils tués à Tigoulatine

Deux habitants du village Tigoulatine, dans la daïra d’Azeffoun, ont été tués accidentellement, hier, par des tirs des éléments de l’ANP.. Les deux victimes – Rafik Haddad et Mohamed Maâtoub – âgées respectivement de 18 et 56 ans, s’adonnaient à une partie de chasse, lorsque les militaires ont tiré sur elles. Il s’agit de la troisième bavure commise par les militaires depuis le début de l’année dans la wilaya de Tizi Ouzou.

Deux civils ont été tués «accidentellement» par balles, hier, dans le village de Tigoulatine, (60 kilomètres à l’est de Tizi Ouzou). Il s’agit de Rafik Haddad, âgé de 18 ans, et un sexagénaire, Mohamed Maâtob qui «ont été mortellement atteints par balles, tirées accidentellement par des éléments des forces de sécurité», ont précisé des sources citées par l’APS.

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La LADDH de Hocine Zehouane organise un sit in de soutien à Bachar Assad à Alger !

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Les temps forts du débat avec Ahmed Betatache sur l’ENTV

ahmed.jpgPar Ait Benali Boubekeur

Le verrouillage du champ médiatique, depuis l’accession de Bouteflika à la tête de l’État, est devenu la règle. Les récentes révolutions, en Afrique du Nord, ont bousculé l’ordre établi. Pour tromper l’opinion, le régime veut donner une image d’un pouvoir plus ouvert. Ainsi, rompant avec ses anciennes méthodes, la télévision algérienne organise une émission politique en direct. Dans cette émission, intitulée «Hiwar Essaa», animée par Farida Belkessam, notre camarade, Ahmed Betatache, rappelle d’emblée que le FFS a été privé, pendant 10 ans, de ce genre d’émission. Cependant, il convient de rappeler que le régime n’est pas partisan du débat contradictoire. Du coup, l’exclusion du FFS, dans le champ médiatique, vise naturellement à ne pas entendre un autre son de cloche. Cela dit, le FFS est content de participer à cette émission, explique Ahmed Betatache.

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Classement mondial des villes: Alger figure à la 136e place sur 140 villes

alger.jpgAlger est classée au top 10 des villes les plus invivables et figure à la 136e place sur 140 villes classifiées par la revue The Economist Intelligence Unit. Elle arrive juste avant Harare, la capitale Zimbabwéenne, Dacca (Bangladesh) et Port-Moresby (Papouasie Nouvelle-Guinée). Ce classement a été fait sur la base de plusieurs critères qui semblent tous manquer à notre capitale.

 La revue britannique a notamment pris en compte l’instabilité civile et l’insuffisance des infrastructures qui assombrissent le quotidien des citoyens. The Economist ajoute que «son classement mesure le degré d’habitabilité des villes concernées afin de quantifier les obstacles qui pourraient être présentés aux habitants».

Photo: Avec une telle capitale, Bouteflika aime se prendre au sérieux 

Le FFS est l’invité d’une émission télé en DIRECT

ahmed.jpgLe Front des Forces Socialistes a accepté de participer à une émission de la télé algérienne demain dimanche après le JT de 20h.  Le parti sera représenté par un de ses cadres, Ahmed Betatache, enseignant universitaire. Pour rappel, le FFS n’a jamais refusé de participer à une émission qui est transmise en DIRECT. La dernière émission à laquelle le FFS a participé, c’était en 2007, à l’occasion des élections locales. Le parti était représenté par Karim Tabbou, à l’époque premier secrétaire. El Mouhtarem  

A la convention du PSE

Je suis actuellement à Bruxelles où je participe à la convention progressiste du Parti Socialiste européen. Je vous donnerai plus de détails dès mon retour en Algérie. El Mouhtarem

Le colonel Bencherif: « Le Wali de Béjaia est un corrompu »

wali.jpgAhmed Bencherif
Membre du Conseil national de la Révolution algérienne

 

L’enquête que je mène depuis fort longtemps me permet actuellement d’affirmer que l’ex-wali de Djelfa, Hamou Ahmed Touhami, surnommé du temps où il était wali de Béchar «Hamou 10 %» est un corrompu. Ces 10 %, faisant allusion à sa quote-part, étaient exigés de chaque entrepreneur détenteur d’un marché public représentant une commission de 10 % qui lui était remise en mains propres, une fois le marché obtenu.


Cette pratique a fonctionné tout au long de son passage à Béchar où il a sévi pour se servir et non servir l’intérêt collectif. Pour ce wali en question, la trahison de sa mission est flagrante. L’ex-wali a trahi la wilaya de Djelfa qui lui a offert son hospitalité et sa confiance. Il en a abusé en piétinant ses traditions et son mode de vie, en profitant de son poste uniquement pour s’enrichir rapidement, défiant les lois de la République et celles de Dieu.

 

Si les milliers de milliards, dont a bénéficié, durant son «règne» la wilaya pour son développement pour les différents programmes, n’avaient été entachés de corruption, cela aurait donné de bons ouvrages et de meilleurs résultats quant à l’avenir économique de la wilaya. La corruption a créé une faille terrible dont la population se souviendra. Le wali et ses sbires partageaient les dividendes de cette corruption. Il l’a même «légalisée» pendant son règne à Djelfa où le maître mot était la part du «Maâlem».

 

Selon certaines indiscrétions qui me sont parvenues, ce wali, devenu plus gourmand, ne se contentait plus de 10 % et réclamait sans rougir plus à ses proies. Ces entrepreneurs rackettés par ce gangster n’avaient d’autre choix que de répercuter ce manque à gagner sur la qualité des travaux et les prestations effectués en les entachant d’irrégularités et de malfaçons. Ce semeur de trouble a cultivé l’esprit de la fraude et s’est habitué à intimider les gens. Actuellement, le nouveau wali, fraîchement arrivé, a hérité d’une gestion qu’il tente de redresser malgré certaines poches de résistance de l’ancien clan, tentant par tous les moyens de le déstabiliser.

 

Les citoyens de la wilaya de Djelfa affluent nombreux à mon domicile, à l’occasion de la célébration de l’Aïd el Adha, ils m’ont supplié de dénoncer publiquement, et au plus haut niveau, cet état de fait. Il risque de faire autant de mal à Béjaïa, ville de Yemma Gouraya, ville d’Histoire et d’intelligence. Sa promotion (alors qu’il devrait aller à la retraite) en tant que wali de Béjaïa n’aurait pas eu lieu si son dossier avait été divulgué au moment opportun. Mais les méfaits qu’il a commis pendant toute sa carrière le rattraperont un jour, là où il se trouve.

Ce corrompu a bafoué les principes fondamentaux et moraux de la société et Djelfa se souviendra des stigmates qu’il a laissés lors de son passage dans cette wilaya martyre.

 

Afin de contribuer à lever le voile sur les agissements de cet ex-wali, j’exige à titre d’exemple l’ouverture d’une enquête sérieuse sur les dossiers suivants :
1- Le dossier de l’APC de Aïn Chouhada classé sur simple décision du wali et non transmis à la justice depuis 2005 ;
2- le dossier de l’APC de Aïn el Bel classé sur simple délibération et non transmis à la justice pour y statuer sur simple recommandation du wali ;
3- les autorisations «provisoires» signées par le wali pour exploiter des carrières sur des sites naturels et culturels protégés en commettant des pillages et des catastrophes sur le patrimoine ;
4- le dossier du foncier urbain et agricole où il y a eu beaucoup de dilapidations et de malversations ;
5- le dossier du choix de terrain fait par le wali de construire un hôpital sur un terrain rocheux et boisé (surcoût de plusieurs dizaines de milliards) ce qui a conduit à la destruction du patrimoine naturel ce qui a conduit l’ex-DLEP, M. Lakhal, à démissionner. Des milliards ont été dépensés pour niveler ce terrain, alors que les terrains plats existent à Djelfa à profusion. J’en resterai là, pour le moment, car la liste des irrégularités est encore longue, sans compter le mal qu’il a fait à certains cadres qui se sont mis sur son chemin pour défendre les valeurs de la République algérienne.

 

Je reste à l’entière disposition de l’autorité pour faire la lumière sur ce dossier car il était de mon devoir de moudjahid de dénoncer cet état de fait, même tardivement, à cause de certains recoupements longs à établir. Ce wali doit rendre des comptes devant la justice. Elle seule établira sa culpabilité ou sa non-culpabilité en toute impartialité.
Vive l’Algérie !!!

 

Commentaire: Lors de la réunion du conseil national du FFS, le 2 juillet 2011, j’ai pris la parole pour dénoncer le wali de Béjaia. J’ai expliqué que la fermeture des cabarets dans cette wilaya visait à mettre de la pression sur les propriétaires pour les ramener à « négocier » avec le wali et payer une rançon. Ce Wali aurait désigné un patron d’un cabaret connu à Béjaia comme rabatteur. Tahia El Djazair. El Mouhtarem  

Syrie: « guerre civile possible » (Cameron)

Le premier ministre britannique David Cameron a estimé aujourd’hui qu’une « guerre civile totale » en Syrie était désormais « vraiment possible », à l’issue d’un entretien à Londres avec le président turc Gül, consacré notamment à la situation dans ce pays.  »Nous avons eu des discussions importantes sur la Syrie où une guerre civile totale est désormais vraiment possible », a souligné le chef du gouvernement dans une déclaration à la presse. AFP

 

 

 

TUNISIE. Mustapha Ben Jaafar élu président de l’Assemblée constituante

bendjafar.jpgLe dirigeant du parti de gauche Ettakatol, Mustapha Ben Jaafar, a été élu mardi 22 novembre président de l’Assemblée constituante tunisienne issue du scrutin du 23 octobre, qui se réunissait pour la première fois à Tunis.

 

 

Mustapha Ben Jaafar a été élu par un vote à bulletins secrets par 145 voix contre 68 à Maya Jribi, dirigeante du parti démocrate progressiste (PDP, centre gauche). Sur les 217 députés de l’Assemblée, deux n’ont pas pris part au vote et il y a eu deux bulletins nuls.

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Egypte: accord du pouvoir militaire pour un gouvernement de salut national

egyp.jpgLe Conseil suprême des forces armées (CSFA), au pouvoir en Egypte depuis la chute du président Hosni Moubarak en février, a accepté mardi la formation d’un gouvernement de salut national, rapportent les médias nationaux. Cet accord, qui prévoit la mise en place d’un gouvernement de salut national et la tenue d’une élection présidentielle au premier semestre 2012, a été conclu lors d’une réunion entre le chef d’Etat-major et vice-président du CSFA, Sami Annan, et les représentants des forces et partis politiques influents du pays.

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