13 novembre, 2011
Les régimes de dictatures prédatrices sont devenus des agents de la recolonisation
Par El Mouhtarem
La boucle est bouclée. Ce régime, à force d’agir contre sa propre population et de chercher des soutiens extérieurs, a fragilisé l’Algérie; au point où un ministre d’un pays-confetti comme le Qatar se permet de proférer des menaces contre notre pays. http://bit.ly/ssvkpJ On peut effectivement dire que le gros ministre du Qatar, pays assis sur des champs de gaz, sur Al Jazira et surtout «hôte» bienveillant du commandement de l’armée américaine, connait bien la situation algérienne. Il menace le régime et exige de lui de se plier… Devant cette grossièreté qatarie, il ne faut pas se tromper d’analyse. Le Qatar est dans l’agenda américain…. Le ministre algérien des affaires étrangères, cet homme si «intelligent» comme on l’a vu au procès spectacle de Khalifa, s’est tu.
Aussi simple que cela. Le petit plouc du Qatar se permet de faire taire le représentant d’un pays libéré par le combat de plus d’un million de chouhada ! Que l’Algérie soit représentée par de tels hommes d’un tel régime est un outrage aux martyrs. Il faut le redire. Le Qatar n’est rien. Ce qui pose problème, c’est le régime algérien. Comme ses «frères» syrien et libyen, il est devenu une menace pour la sécurité de l’Algérie. L’équation est désormais connue: ces régimes sans soutien de leurs peuples doivent se plier au désidérata américain «arabisé» via le sac à merde… qatari ou bien être «dégagé».
Nous savons qu’ils se plient et se rendent et remettent en cause les intérêts et la dignité de ce pays de résistants. C’est cette raison qui explique qu’un minus comme le Qatar ose le traiter, sans crainte, de cette manière. Il peut le faire car il sait que c’est une dictature composée de prédateurs fragile et sans soutien. Le message humiliant du Qatar nous confirme une fois de plus que les régimes de dictatures prédatrices sont devenus des menaces à la sécurité nationale, des agents de la recolonisation.