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Archive pour le 22 novembre, 2011

TUNISIE. Mustapha Ben Jaafar élu président de l’Assemblée constituante

bendjafar.jpgLe dirigeant du parti de gauche Ettakatol, Mustapha Ben Jaafar, a été élu mardi 22 novembre président de l’Assemblée constituante tunisienne issue du scrutin du 23 octobre, qui se réunissait pour la première fois à Tunis.

 

 

Mustapha Ben Jaafar a été élu par un vote à bulletins secrets par 145 voix contre 68 à Maya Jribi, dirigeante du parti démocrate progressiste (PDP, centre gauche). Sur les 217 députés de l’Assemblée, deux n’ont pas pris part au vote et il y a eu deux bulletins nuls.

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Egypte: accord du pouvoir militaire pour un gouvernement de salut national

egyp.jpgLe Conseil suprême des forces armées (CSFA), au pouvoir en Egypte depuis la chute du président Hosni Moubarak en février, a accepté mardi la formation d’un gouvernement de salut national, rapportent les médias nationaux. Cet accord, qui prévoit la mise en place d’un gouvernement de salut national et la tenue d’une élection présidentielle au premier semestre 2012, a été conclu lors d’une réunion entre le chef d’Etat-major et vice-président du CSFA, Sami Annan, et les représentants des forces et partis politiques influents du pays.

Égypte : « L’armée n’a rien compris à la révolution »

egypte.jpgPropos recueillis par  www.lepoint.fr

Installée au Caire, la politologue Sarah Ben Nefissa, chercheuse à l’Institut de recherche pour le développement (IRD), apporte au Point.fr un éclairage essentiel à une semaine de la tenue des premières élections post-Moubarak.

Le Point.fr : Le peuple égyptien vit-il sa seconde révolution ?

Sarah Ben Nafissa : C’est la continuité de celle du 25 janvier. À la démission de Hosni Moubarak, en février dernier, le pouvoir a été remis à la direction de l’armée. Depuis, toutes les avancées politiques ont été acquises sous la pression permanente des révolutionnaires de la place Tahrir, qui ont à chaque fois réussi à faire reculer le régime. Ainsi, les manifestants sont parvenus à ce que les anciens membres du Parti national démocratique de Moubarak ne puissent se représenter aux législatives, neuf mois après l’avoir réclamé. Au final, la direction de l’armée n’a rien compris à la révolution du 25 janvier. Elle a simplement cru à une poussée de fièvre, et à un rejet de Moubarak et de son fils. Si bien qu’à l’issue de la révolution la tête du régime a sauté, mais la structure générale du système politico-administratif n’a pas bougé.

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