Le FFS est l’invité d’une émission télé en DIRECT
Le Front des Forces Socialistes a accepté de participer à une émission de la télé algérienne demain dimanche après le JT de 20h. Le parti sera représenté par un de ses cadres, Ahmed Betatache, enseignant universitaire. Pour rappel, le FFS n’a jamais refusé de participer à une émission qui est transmise en DIRECT. La dernière émission à laquelle le FFS a participé, c’était en 2007, à l’occasion des élections locales. Le parti était représenté par Karim Tabbou, à l’époque premier secrétaire. El Mouhtarem
ENFIN !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il faut saisir cette occasion pour dire les quatre vérités aux télespectateurs assoiffés d’informations vraies sur la gouvernance catastrophique de notre pays!
Il faut aussi s’assurer de l’horaire et recevoir une confirmation écrite de la Direction de l’ENTV concernant l’horaire de l’émission car ils sont capables de vous donner un faux horaire et dire après aux télespectateurs que c’est le représentant du FFS qui a refusé de participer à cette emission, qui pourrait aussi etre annulée à la dernière minute de peur d’entendre quelques vérités qui dérangeraient les dirigeants autoproclamés de notre pays.
Li fi karchou et’ben ikhaf mina ennar.
il faut taper tres fort Ahmed,
ne te laisses jamais destabiliser,
regardes la cummunication mitterrand,
essaies de faire du mitterrand
Le FFS a les moyens de communiquer sans l’usage de l’ ENTV, qu’il le fasse!!!! Croire à un changement d’attitude de la part de l’ UNIQUE est une chimère! A moins que nous ne soyons que de grands naifs !!!! Je veux tout simplement alerter mes camarades qui vont y participer de faire trés attention aux manoeuvres ainsi qu’ aux manipulations de l’opinion publique car , notre représentant sera assurément poussé au bout pour se compromettre! Il doit rester sur ses gardes afin de ne pas bafouer les principes fondamentaux du parti ! Le camarade Ahmed Bettatache, que nous connaissons pour sa grande franchise, a tout intérêt à ne jamais baisser la garde! Bon courage en tout cas et nous attendons de très bonnes esquives de notre représentant! La politique a ses piéges!
Il faut que l’ENTV publie les themes a debattre, comme ca tout participant pourrait cadrer l’animateur, qui lui fera tout pour chambouler l’intervention du representant FFS. Normal car l’animateur est au service de…
Quant a l’aptitude de Ahmed Betatache, le CV est clair, la competence est reconnue. Reste le self control que j’espere sera au RDV, car il sera seul contre l’animateur et les autres participants
@Yannis,…Exactement! Du Mitterand, oui! Mais comment?
Mitterant n’avait percé qu’après la publication du fameux « Le Coup d’Etat permanent » par lequel il s’a fait montre d’une opposition « radicale, frontale, directe » contre De Gaulle et le « gaullisme de choc », barbouzrad, een dénonçant les face cachée, criminelle , le SAC et ses besongnes sanguinaires…
Donc, il faut une autre « production du discours »…radical, direct, frontal contre les Généraux et les Islamistes, les deux faces d’une meme pièce
Une règle pour « s’affirmer » politiquement: radicaliser le rpopos, le dispours, la parole…contre le Junte et es alliés les extyrémistes de tous bords!
Sinon rien!
Mitterrand n’a pu parvenir faire sa « percée politique » qu’après « Le Coup d’Etat permanent » par lequel il s’est attaqué directement et frontalement au « Général » De Gaulle et son Régime autoritaire, en dénonçant les crimes de la police parallèle du « système » gaulliste, le SAC.
Alors, il faut aller à l’attaque directe, radicale et frontale, sans quoi le FFS demeurera « neutralisé par la fausse-opposition crée de toutes pièces par Le Général Belkgeir et le Chef de la SM, le Général Ayyat, en 1989, date de la « fausse ouverture »….
à salem,
quand je dis du mitterrand, je parle de la qualité de communication,
ne jamais s’enerver, s’exciter, se laisser distabiliser.
ne jamais parler en meme temps qu’une autre personne
jouer de la petite phrase tranchante
etre poete dans ses mots
pour quoi aller sur les plateaux de la zero !pour donner le quitus de l’ouverture zama !participer a une émmission une fois tous les 5ans c ca le directe !que vous trouver a dire ! si ce n’est pas pour ce montrer sur l’écran parler avec un arabe classique tres chere a bitateche !je zape moi
La vérité, la radicalité, la parole ciblée, directe et frontale, l’analyse concrète. C’est aussi une occasion pour « montrer la différence »: dire que le FFS est « l’Opposition oppositionnelle », autonome et indépendant des Cercles, Clans et Officines du Régime militaro-mafieux.
Il ne suffit pas de faire quelques mots sur « modalités de fonctionnement » du Pouvoir militaire, il « importe » de « remettre en cause » Le Régime dictatorial militaire « globalement et dans le détail », Le Pouvoir en général et en particulier, la face apparente
(Présidence & Gouvernement) et la face cachée(Police politique et Clans rivaux),
Clan Boutef (ex-MALG et Clan Mediène
(néo-MALG)….
« Passer à gauche » des autres partis, et non à droite!
Radical, direct, frontal! Voilà tout!
Belle prestation de Mr Betatache en effet. De l’aplomb ,maîtrise de la langue et du discours . Conformité aux idéaux du parti . Espérant que beaucoup d’algériens ont regardé aujourd’hui l’unique .
Les temps forts du débat avec Ahmed Betatache sur l’ENTV.
Le verrouillage du champ médiatique, depuis l’accession de Bouteflika à la tête de l’État, est devenu la règle. Les récentes révolutions, en Afrique du Nord, ont bousculé l’ordre établi. Pour tromper l’opinion, le régime veut donner une image d’un pouvoir plus ouvert. Ainsi, rompant avec ses anciennes méthodes, la télévision algérienne organise une émission politique en direct. Dans cette émission, intitulée « Himar Essaa », animée par Farida Belkacem, notre camarade, Ahmed Betatache, rappelle d’emblée que le FFS a été privé, pendant 10 ans, de ce genre d’émission. Cependant, il convient de rappeler que le régime n’est pas partisan du débat contradictoire. Du coup, l’exclusion du FFS, dans le champ médiatique, vise naturellement à ne pas entendre un autre son de cloche. Cela dit, le FFS est content de participer à cette émission, explique Ahmed Betatache. D’emblée, il saisit l’occasion pour féliciter les pays voisins pour avoir accompli leurs révolutions. Pour lui, les Tunisiens, en élisant leur Assemblée constituante, ont atteint le but assigné à leur révolution. Hélas, en Algérie, fait-il remarquer, la montagne a accouché d’une souris. Et pourtant, à l’instar des pays voisins, l’Algérie a besoin, elle aussi, d’un changement radical. De replâtrage en replâtrage, le régime algérien n’arrive pas à concrétiser ses promesses de réformes. Cela dure 10 ans, rappelle le représentant du FFS. Sur ce point précis, Ahmed Betatache rappelle que ce changement radical fait partie des desiderata du parti depuis des lustres. En effet, il est un secret de polichinelle que le FFS se bat pour l’avènement de la deuxième République et l’élection de la Constituante. La réalisation de ces deux idéaux consacrera surement la véritable démocratie faisant défaut à l’Algérie depuis son indépendance.
Dans cette émission, l’alliance présidentielle est représentée par les trois partis la constituant. Tous les trois considèrent que leur soutien au président est et sera toujours indéfectible. Cela dit, bien que leur divergence soit infime, à l’approche des échéances électorales, leur cohésion commence à se fissurer. Ce qui les divise c’est bien entendu le texte sur les réformes promises par Bouteflika lors de son discours du 15 avril 2011. Ce discours, rappelons-nous, a été prononcé en pleine période d’ébullition en Afrique du Nord. Ainsi, en voulant tromper l’opinion, le régime a promis des changements profonds. Les observateurs, quant à eux, ont estimé que le régime n’était pas prêt à évoluer. En tout cas, ceci se confirme après la finalisation du texte. Pour le représentant du MSP, Mohamed Djemaa, son parti a opté pour le boycott lord du vote du texte, amendé à l’assemblée, pour marquer sa différence avec les deux autres partis. Quant au représentant du FLN, Djamel Ben Hamouda, ce dernier tente de placer ces réformes dans la continuité de l’histoire. Bien que son parti ait dépouillé le texte, lors de son examen au parlement, dans le but de préserver les avantages électoraux, Ben Hamouda biaise le débat en posant la question de « qui a permis à l’Algérie de recouvrer son indépendance ». Cet argument suffit-il, à lui seul, de rallier l’opinion en faveur de ce simulacre de réformes ? Cinquante ans après l’indépendance, la légitimité historique ne garantit pas l’adhésion de l’opinion. En plus, cette façon ne convainc plus. En tout cas, cette façon de légitimer l’action politique ne passe pas au FFS. Tout compte fait, le représentant du FFS rappelle intelligemment que son parti n’a pas de leçon historique à recevoir de quiconque. La personnalité de son président, membre fondateur du FLN en novembre 1954, est là pour rappeler son action en faveur de l’indépendance du pays.
Toutefois, en passant à un autre sujet, la journaliste interroge Ahmed Betatache sur le message d’Ait Ahmed au Conseil National de son parti. Répondant à la question, Ahmed Betatache explique que le report du congrès, une prérogative du président et du Conseil National, et la tenue d’une conférence nationale vont permettre de tenir des larges débats, au sein du parti. Ces derniers seront sanctionnés par des mesures importantes. Enfin, il s’agira notamment de décider sur la participation ou non aux futures échéances électorales de 2012. Quant au régime, selon le représentant du FFS, celui-ci doit donner des garanties sur l’honnêteté des élections. Car, comme le rappelle Ahmed Betatache, les élections précédentes ont toutes connu des fraudes massives. Il cite, pour étayer ses arguments, la mascarade électorale de juin 1997. Bien qu’une commission parlementaire ait été mise en place, argue-t-il, son rapport, accablant les fraudeurs, a été classé sans suite. Cela dit, concernant les échéances futures, le FFS n’exclut pas une éventuelle participation, ajoute-t-il. Mais faut-il que ces élections aient lieu dans la transparence totale. En tout cas, pour le moment, le régime ne donne pas de signes positifs. En effet, malgré la levée de l’État d’urgence, les rassemblements publics restent toujours interdits. La gestion des dossiers des nouveaux partis est également catastrophique. Ahmed Betatache rappelle que le dernier parti à être agréé remonte à l’année 1999. Et pourtant, démontre-t-il, la loi de 1997, encore en vigueur, permet la création de formations politiques. Hélas, on est face à un responsable de l’État, en l’occurrence le ministre de l’Intérieur, qui refuse d’appliquer la loi de la République. Pour revenir aux élections, le représentant du FFS s’interroge sur la capacité des magistrats à garantir une élection libre, si le corps judiciaire dépend du pouvoir exécutif.
Cependant, sur ce que la journaliste appelle l’opposition automatique du FFS, Ahmed Betatache explique que la nature du régime pousse le FFS dans le camp de l’opposition. Même quand le régime sollicite le peuple, la méthode laisse à désirer. Est-ce normal, se demande Ahmed Betatache, qu’on soumette un texte de prés de 200 points pour que le citoyen réponde par oui ou non sur l’ensemble des points ? Pour le simple observateur, il s’agit ni plus ni moins que d’une aberration. De l’autre coté, chaque initiative populaire est systématique réprimée. Dans ce cas, il est difficile d’être du côté du pouvoir. En plus, ce régime, en étant coupé de la réalité du pays, est resté figé. En 50 ans d’indépendance, les Algériens ont évolué. Or, le régime n’a pas suivi cette évolution. Du coup, s’il y a la désaffection politique, notamment de la jeunesse, cette faillite devra être mise sur le compte du régime. Toutefois, dans l’analyse d’Ahmed Betatache, la journaliste y voit une radicalité pure et dure du FFS. Selon le représentant du FFS, son parti est de loin moins radical par rapport aux jeunes. Car, la jeunesse algérienne n’est guère différente de ses homologues tunisienne, égyptienne ou libyenne qui ont fait tomber leur régime. En effet, cette jeunesse, en bravant la mort, refuse de vivre indéfiniment sous la dictature. Hélas, dans ce genre de débat, les courtisans du régime ne sont jamais loin. Pour le représentant des SMA (Scouts Musulmans Algériens), contredisant Ahmed Betatache, celui-là affirme que les jeunes algériens avaient voté massivement pour Bouteflika en avril 2009. On le sait aujourd’hui, grâce aux documents wikiliks, que le taux de participation globale n’a pas dépassé la barre des 23%. En tout état de cause, refusant de voir la réalité en face, ce représentant des SMA trouve que la comparaison avec les pays voisins, ayant accompli leur révolution, est tout bonnement injuste. Mais ce cas est-il représentatif ? La réalité de la vie des Algériens est malheureusement une addition de difficultés. Ahmed Betatache rappelle les jeunes qui s’immolent. L’Algérie compte, hélas, des dizaines de Bouazizi, affirme-t-il. Pour le représentant du FFS, les jeunes diplômés n’ont d’autres alternatives que de quitter le pays en vue de décrocher un travail. Enfin, sur le statut de la femme, Ahmed Betatache estime qu’aucune réforme ne sera idoine, si son statut de mineure à vie est maintenu. En effet, comment une juge pourra-t-elle jouer le rôle de tuteur, se demande Ahmed Betatache, si, elle-même, a besoin d’un tuteur. En tout cas, cette contradiction dure depuis 1984. Finalement, la seule réforme qui vaille est la restitution au peuple de sa souveraineté.
Par Ait Benali Boubekeur
Réformisme ou révolution ? Voilà la question fondamentale, qui se pose en cette « période révolutionnaire »… Croire que le Pouvoir militaire va céder sans mouvement révolutionnaire, c’est naif, bête et grave!!!! Il faut arréter avec cette politique de complicité…..
parfaite préstation du camarade Ahmed BETATACHE.il s’est élevé au dessu de tous,les réponses étaient trés poitues,directes et à la portée des téléspectateurs qui sont nombreux à suivre l’émission.
La question qui taraude. Que faisait le représentant de la mangeoire sur ce plateau. Il devait être dans le plat. Vous l’aviez deviné il s’agissait de Rachid Boudina des SMA.
Ilik daskuti !!!
J’ai regardé et écouté, à l’instar des téléspectateurs avisés, l’émission hebdomadaire dominicale de la « Chaine Une » de la télévision publique algérienne, « Hiwar Essaâ », de ce dimanche 27 novembre 2011, à 20h.30min.
Y étaient conviés à ce débat dirigé, et apaisé ajouterais-je, quatre partis politiques, dont le FFS, doyen de l’opposition politique, en face de trois partis de la coalition gouvernementale représentée par le MSP, le RND et le FLN, ainsi qu’un politologue, une citoyenne et un citoyen.
Ainsi, les téléspectateurs sont à même de mieux juger les réponses faites par chacun des intervenants et intervenante, aux cinq questions de l’animatrice de l’émission.
De mon humble point de vue, j’ai apprécié la qualité du niveau politique de ce débat dont l’élargissement, la démocratisation et l’ouverture au sein des Universités et de la population algérienne, avaient été demandés par l’ensemble des intervenant(e)s.
Aussi, je partage ici l’avis et l’esprit critique objectif de « slamrous », sans toutefois admettre l’assimilation qu’il fait entre l’actuel « hiwar essaâ » et le fameux « hiwar Bensalah » lequel, à huis clos, paternaliste et biaisé, s’est déroulé dans la pure tradition mentale du parti unique de triste mémoire.
Lors de cette émission télévisée publiquement, le rôle de contre-pouvoir digne d’un Etat de droit qui se respecte, a été utilement honoré par le brillant représentant du FFS, et appuyé autant par la citoyenne que par le politologue intervenants.
J’ose espérer que c’est-là un prélude à la légitime alternance au pouvoir, par la rupture pacifique radicale d’avec le malsain régime du système d’Etat FLN, qui s’impose par tous les moyens abusifs aux Algériennes et Algériens quasi totalement, depuis 1962, et aux « Harraga » et autres « Indignés dignement » à ce jour.
Ahmed Betatache a été tout simplement époustouflant! le FFS qui a toujours revendiqué son droit le plus légitime de s’adresser aux Algériens sans censure et sans ambages, a magistralement damé le pion à ses détracteurs d’où qu’ils viennent!!! Hier soir, le peuple algérien et particulièrement les militants et sympathisants du FFS , ont été fiers à plus d’un titre du représentant du Parti: maitrise du discours,une capacité linguistique irréprochable et un sang froid qui a fait rentrer l’alliance présidentielle dans l’hibernation! je souhaite que le FFS se saisira encore et encore de ce genre d’opportunités tout en exigeant inlassablement le DIRECT! Bravo , bravo encore une fois pour cette merveilleuse prestation!
La communications de A.B.réussite totale dans tous les domaines. Avec des répliques frontales calmement…beaucoup de tact et sang froid.Le téléspectateur tirera a loisirs les conclusions que le trio de « LA COALITION…je préfère employer l’expression COLLATION du pouvoir)Qui ont crus avoir berné le peuple durant les deux dernières décennies avec du mépris. la dilapidation des richesses…la faillite économique…le chommage… IL FAUT BEAUCOUP DE CULOT POUR NOUS BALANCER (f.l.n. Pas F.L.N.)qu’avec 186 MILLIARDS de Dollars l’executif du régime a réussi a alimenter Alger en eau potable et que BOUTEF A été élu par la jeunesse…
une bouffée d’oxygéne enfin oui c’est ça le FFS on se revera sur le terrain inchallah le peuple algerien on a grandement besoin il en a marre des partis de l’alliance et des partis qui gravitent autour du pouvoir ,de son systeme corrompu vivement le terrain vive le FFS si EL HOCINE AIT AHMED
@ slamrous
Je vous disais, plus haut, que la « commission Bensallah » n’est point assimilable, pour les raisons que j’avais avancées, à l’actuel « hiwar essaâ ».
Mais vous avez raison d’émettre des doutes légitimes et justifiés par les exemples vécus, quant à la bonne foi et à la générosité de celui-ci.
En effet, l’ENTV, « normalisée », comme chacun sait, peut faire en sorte que la vérité soit cachée, ou encore embellie pour mourir sûrement.
Cela fait partie de la guerre psychologique que privilégient les décideurs de la RADP, c’est-à-dire: « Les compradores qui ont confisqué l’indépendance algérienne, veulent réaménager la façade d’un pouvoir de violence et de prédation, et, ainsi, lui donner un vernis démocratique. » selon la judicieuse analyse politique, du 18 courant, de Hocine AÏT AHMED, président du FFS.
Par ailleurs, le FFS a bien fait de saisir cette opportunité du « hiwar essaâ », télévisé en direct, pour démontrer l’excellence de ses solutions préventives, politiques, pacifiques et démocratiques, en faveur de toutes les composantes du peuple algérien, sans exclusion aucune, comparativement aux « réformes » prétendues curatives, du chef de l’Etat.
C’est, donc là, l’occasion de confirmer une valeur universelle: « prévenir vaut mieux que guérir » ou encore « el wikaya khayroune min el îilaj », d’une part, et de recourir, d’autre part, à la « Convention nationale », ainsi que l’affirme le président Hocine AÏT AHMED, en ces termes: « Celle-ci, (la convention nationale), permettra le débat le plus large et le plus libre, autour des échéances électorales à venir, et, le consensus le plus fort pour la prise de décision. »
Mais, nous, avec le peuple blessé, martyrisé et indigné, saurons imposer le changement voulu, le moment voulu.
l’émission programmée par la chaine nationale le dimanche 27/11/2011 n’a pas provoqué un séisme attendu par le pouvoir vu l’invitation du grand parti ffs.en fait les pouvoirs publiques ont toujours la phobie d’ inviter les vrais partis d’opposition tel le ffs.nous posons alors la question suivante:est il possible que nous continuons a écouter des idioties des partis clonés a la solde du pouvoir?
Sur la forme ,le représentant du FFS a très bien maitrisé son temps impartie ,a dit beaucoup de chose en si peu de temps,a su attendre son tour pour charger et dire les 4 vérités aux représentants du pouvoir .son arabe est parfait et ses réponses directes.
sur le fond ,il a manqué de réponses spontanées notamment sur le code de la famille ,répondre de cette manière c’est donner un bâton pour se faire taper,la preuve est la réponse toute préparée du FLN (nous sommes un état musulman…) bien sure qu’on l’est, oui c’est vrai c’est du réchauffé de la part du FLN ,mais c’est une recette qui marche encore car lui a dit ce que le reste de l’Algérie pense .
sur la représentativité du FFS ,le représentant du FLN a essayé de cantonner le FFS à la kabylie en lui disant que tu représente une partie du peuple ,il fallait dénoncer immédiatement cette attitude du pouvoir à deviser les algériens.
sur les 145 milliards de réserve qu’il est fier d’exhiber, il fallait demander où sont t-ils et ce qu’on fait avec surtout que la rente ne sert qu’à bouffer et on ne produit rien et qu’ils gèrent ce pays comme un commerce du coin.
Le représentant du Hams n’a rien su donner comme explication,on sentais qu’il était le dindon de la farce?une girouette qui tourne où le vent souffle et on voit que les requins l’ont bouffé.
Pour le RND ,le parti de la triche et de la corruption,rien à dire,un vrai produit du système.
Pour les professeurs,Bravo c’était ce qu’on attendait des intellectuels,analyser et faire la synthèse.
Pour la journaliste , pour une fois elle a joué son rôle sans plus.
Par contre celui des scouts est pathétique ,je me demande en quel statue qu’il est invité,ces satellites ont assez gravité autour du pot du miel et ils ont bien sucer leurs doigts(voir le scandale de la croix rouge cette semaine) ,on les voyait à la fin de l’émission se bousculer sur leurs candidats pour leurs baiser le front ,,qu’ils se taisent comme dirait un rebelle bien connu.
Donc dans l’ensemble,c’était une belle occasion pour dénoncer la situation de ce pays,il a bien dit que la rue est plus furieuse que le FFS ,que les changements viendront d’une manière ou d’une autre. les algériens ont entendus un autre son de cloche et c’est tant mieux,il faudra assister encore et encore à ce genre d’émission car après tous ,c’est le message qui est important. le message est passé.
Le FFS doit passer à un certain moment à une autre forme de lutte , plus visible et plus concrète pour rassembler tous les algériens. Car cette jeunesse veut de l’action ,c’est au FFS de leurs montrer le bon chemin à prendre.
Il faudra occuper le terrain ,pacifiquement l’Algérie renaitra.
Tahia el djazair.
bravo ci ahmed
l`émission a été un succès et une Victoire pour le ffs qui n`a pas participer depuis très long temps a un directe sur l`entv.notre ami ahmed betatache a très bien représenter le parti et il l`a bien honorer.j`ai très bien apprécier le calme ,l`intelligence et le savoir faire de notre camarade betatache.sans oublier au passage son courage ,sa maitrise de la langue son savoir et sa large connaissance dans tous les domaines de la vie politique.monsieur betatache a pu faire passer le message du ffs avec intelligence au peuple algerien.il a vraiment battu le pouvoir dans son propre terrain.il a fait preuve de démonstration de force des militants du ffs ,il a pu faire démontré toute la déférence entre le ffs et les autres partis.le représentant du ffs est jeune ,intelligent ,calme ,très éduquer,serein et sur de lui,souriant toujours,c`était vraiment l`image d`un parti qui avance et qui campe toujours sur ses positions et ses idéaux. ce passage a l`entv est vraiment très positif. il faut saisir ces occasion pour montrer la voix du ffs au peuple algerien.très bonne prestation monsieur betatache et merci.
Bonjour,
Moi aussi j’ai apprécié l’intervention de notre ami Ahmed BETATACHE, il a bien su se tenir devant ce minables qui continuent à parler des réformettes et réalisations d’un président mourant … et … à croire qu’on parle d’un autre pays sur une autre planète.
Notre ami a mis sur la table des assertions lourdes d’un grand calibre :
1- Il leur a rappelé que celui qui mènent ces réformettes était le chef de la fraude électorale.
2- Il les a invités à quitter le pouvoir.
3- Que l’actuel parlement ne jouit pas d’une légitimité totale et qu’il n’est pas représentatif( je dirai aucune légitimité).
… Bravo je suis content qu’on ait entendu tout ça en direct sur notre chaine orpheline.
Nouvelle bavure militaire en Kabylie : un jeune chasseur tué et un autre grièvement blessé
Notre correspondant à Tizi-Ouzou nous apprend qu’un jeune chasseur aurait été tué et un autre grièvement blessé en début d’après-midi par une patrouille militaire dans la forêt de Yakourène, plus précisement dans la commune d’Akerrou. Ces deux malheureuses victimes auraient été prises par erreur pour des membres des groupes armés, par les militaires en embuscade.
Cette énième bavure survient après celles en juin 2011 d’un citoyen d’Azazga (Dial Mustapha) et de d’une dame (Kaci Zahia) en septembre dernier près de la caserne de Freha.
Nous sommes en droit de nous interroger sur la répétition de ces bavures dans cette région. Ne risquent-elles pas d’embraser cette région comme cela s’est produit en 2001 avec l’odieux assassinat de Massinissa Guermah? Des aventuriers politiques embusqués ne vont-ils pas exploiter la juste colère de la population pour allumer les feux de la fitna dans une région qui a déjà chèrement payé le prix des intrigues politiciennes des divers gangs du système?
Autant de questions lancinantes qui restent posées.
Le régime nous a donné une réponse cinglante en faisant voter la loi sur les partis politique!Une loi qui bâillonne à tout jamais le peuple algérien en le privant de toutes les libertés de créer un parti politique à l’avenir!