Le FFS est l’invité d’une émission radio en DIRECT

ffs.jpgLe Front des Forces Socialistes est l’invité jeudi 15 décembre à 11h00 de l’émission « Tiaad Lexmis » de la chaîne 2 de la radio nationale. Le parti sera représenté par le camarade, Smail KECILI, membre du conseil national, ancien Maire de Yakouren et ancien président de l’APW de Tizi-Ouzou. Le Forum du jeudi est un  »espace de débat et de réflexion sur les questions d’actualité politiques, socio-économiques, culturelles et sportives ».

Chafaa Bouaiche, Secrétaire national à la Communication

Commentaires

  1. Leo Bzaid dit :

    Une vue générale sur l’Histoire des Berbères

    Dans cette histoire Et pourtant, que de savoir contient-il aux yeux du people Berbère, et notamment celui de la Kabylie. Un savoir essentiellement historique, qui rappelle la tribulation de ce people qui n’a cessé de souffrir et d’être opprime au cours des siècles. Mais étudions donc un peu l’histoire de cette peuplade déchue, qui fut autrefois l’une des plus grandes nations d’Afrique.
    Sans remonter à ses tous premiers débuts, gagnons le troisième siècle avant Jésus-Christ pour constater l’importance de ce royaume qui s’étendait de Carthage à l’Oued Moulouya, reparti en due tribus Berbères: les Massaesyles à l’ouest et les Massy lés à l’est dont la capitale était Cirta, l’actuelle Constantine. Rome cherchait l’alliance de ces deux tribus et de la de la Numidie toute entière, pour des raisons commerciales et militarise avant tout. Car les Numides étaient d’excellents combattants et Rome craignait que le développement de cette région ne fût répudiable un jour à sa puissance et à ses intérêts. Si les Massaesyles étaient plutôt favorables à un rapprochement avec la célèbre Ville aux sept Collines, les Massyles, eux, étaient farouchement hostiles à cette idée, connaissant très bien les buts inavoués du trop ambitieux empire romaine. Rome, ne pouvant attendre plus longtemps, prit le premier incident venu comme justification de guerre et déclencha les fameuses guerres puniques qui ne devaient être, au début, qu’au nombre d’une! Mais voilà, c’était sans compter sur l’ardeur et la vigueur que les Numides ont déployé pour résister à l’envahisseur et le tenir en échec. Hésitants, les Massaesyles, se rangèrent tout d’abord de la cote de leurs frères Numides, les Massyles. Et c’est ainsi le roi Massinissa seconde guerre punique. Mais se ravisant, il s’allia avec Rome et favorisa le débarquement de Scipion l’Africain en 204 av. J.-C. jusqu’à la victoire de Zama en 202, provoquant la défaite de Syphax, roi des Massyles et ennemi de Massinissa (c. 240 or 238 BC – c. 148 BC). Ce dernier réalisa alors, sous les yeux méfiants de Rome, l’unité du royaume numide auquel il tenta de donner une civilisation de type hellénistique et fit de Cirta son capital. Il encouragea également la sédentarisation des nomade et l’urbanisation et malgré la tutelle remanie drastique, la Numidie prospéra de nouveau. Si been que les romains déclenchèrent la troisième guerre punique au cours laquelle ils détruisirent Carthage. A La mort de Massinissa, vers 148, la Numidie fut toujours divisée politiquement par les bons soins de Rome qui obligea Micipsa, le dernier fils de Massinissa, à partager son royaume entre ses dues fils légitimes et le fils naturel de son frère, le fameux Jugurtha. Celui-ci, désireux de reconstituer l’unité du royaume de son grand-père, fit tuer ses deux cousins, se proclama roi des Numides et engagea à nouveau une guerre contre Rome, La fière, qui fut tenue en échec sept ans Durant, de 113 à 105 av. Jesus-Christ Jugurtha finit sa vie dans la prison de Rome. La Mauritanie reçut la partie occidentale de la Numidie, entre el Oued Moulouya et le Rummel. Le reste de la Numidie resta relativement autonome sous un roi vassal de Rome. La tentative de Juba Ier, roi de Numidie de 50 à 46 av. J.-C. De S’Opposer à César fut un échec et il se donna la mort, lors de la victoire de son adversaire a Thapsus en 46. Quant à Juba II, de le fils du précédent, il ne fut que l’orbe de son père: emmène très jeune comme captive à Rome, il fut élève par César lui-même. Auguste lui fit épouser Cléopâtre Sélène, fille d’Antoine et de Cléopâtre, et lui donna un royaume compose des deux Mauritanie et d’une partie de la Gétulie. Quant à la Numidie, elle forma, âpres la mort de Juba Ier, la province d’Africa Nova. À l’Ier siècle Apres Jésus Christ, elle fut juridiquement détachée de la province d’Afrique sous le règne de Caligula et le pays redevint indépendant sous Septime Sévère. Conscients que la Numidie n’était plus un ennemi à craindre, les romains donnèrent
    Alors un grand essor à l’agriculture et à l’urbanisation. La christianisation s’établit rapidement, mais au IVème siècle, le pays devint le principal centre du donatisme, schisme s’appuyant sur la population rurale Berbère et que combattit furieusement Sait Augustin. Avec L’empire, la Numidie s’effondra à son tour et ce définitivement âpres la conquête vandale permit à des principautés Berbères Indépendantes de se reconstituer. Cependant, le peuple Berbère était loin d’avoir trouvé la paix. Car âpres les Byzantin, ce furent les Arabes qui désirèrent s’emparer de la région peu organiser. Les armées arabes avancèrent alors de l’Egypte vers l’Ouest en 647 et la conquête de la Berbérie {l’Afrique du Nord} fut achevée en 711. Dans la région est de l’Algérie, Dans l’Aurès, deux chefs Berbère, Kusayla Pui la reine Kahina, dirigèrent la résistance autochtone contre l’occupation Arabes Vers la fin du septième siècle. Kahina AL-{morte en 704/05 reine Berbère semi légendaire Surnom de la {reine des Aurès} Aurès, dont la sienne propre, celle des Djarawa, de 685 environ à 705. A la fin du Vlle s implantes sur les côtes, avec Carthage surtout et Septe {Ceuta} comme points d ? Appui ; les Araba Tunisie} et, de là, dans tout le Maghreb {Occident} : les Berbères enfin, habitants des lieux, group nomades ou sédentaires, agriculteurs ou citadins commerçants, chrétiens ou Juifs. Carthage to Ifriqiya. L’empereur Leontios réussit à reprendre la ville, mais seulement pour trois ans.de sore Elle écrase l ?arme d ? Ibn al-Nu ?man, sur les bords de la Miskiyana {prés de Tébessa} dans les efforts sur Carthage qu’ ?il enlève, mettant les Byzantin en déroute : la maîtresse des mers dans un seul obstacle se dresse encore devant l ?avance des Arabes vers l ?ouest :
    La Kahina et le royaume qu’ ?elle a aurait pratique la politique désespérée de la terre brûlée, Saccageant le pays, détruisant les villes politique lui aliène la population sédentaire, tant citadine {grecque et Berbère} que campagnarde le calife ? Abdi al-Malik vient de lui envoyer {702} et reprend l’offensive. La tradition veut qu’ avant celui de la tribu, ait intime l ?ordre à ses deux fils de rejoindre les rangs des Arabes. Y ont Certaine sources le prétendent. La bataille eut lieu à Tabarka. La Kahina y fut vaincue et data était ouverte à des Arabes. L’histoire de cette femme fougueuse et indomptable {la Deborah Berbère} est en grand parti légendaire. Au-delà de l’Histoire cependant se cache une réalité passe : celle la tribulation du peuple Berbères. Les contes renferment de de nombreux renseignements sur l’histoire, la culture, la vie sociale, les traditions des Berbères. Et également une très belle leçon de morale qui vaut pour chacun de nous. S’il est difficile d’attribuer le conte a une époque bien définie dans l’histoire des Berbères en raison de la généralité historique qu’il contient, nous pouvons tout de même le situer vers le début du dix-huitième siècle. Au huitième siècle après Jésus-Christ, les Berbères furent contraints d’adopter l’Islam comme religion puisque l’Afrique du Nord était sous contrôle Umayyade {dynastie fondée par le calife Mu ‘Awiyya au septième siècle}. Mais en 742 une partie de la Berbère s’affranchit de la domination Arabe en optant pour le Kharijisme, doctrine prêchant l’égalitarisme absolu entre tous les Musulmans et contestant l’hégémonie Arabe au sein du pouvoir islamique. De nombreux petits royaumes Berbères et Kharijites furent ainsi crées, combattirent le pouvoir Umayyade mais s’entredéchirèrent également. Certaines régions parvinrent à maintenir une relative indépendance face aux évènements, conservant tentait de s’imposer, mais aucune d’elle parvint réellement à dominer le pays. C’est alors que dans la seconde moitié du onzième siècle les Almoravides, dynastie Berbère orthodoxe venue du sud Marocain, envahirent l’Algérie jusqu’au-delà d’Alger et firent pénétrer dans ‘ouest l’influence de la civilisation hispano-moresque, influence qui fut perpétrée par leurs successeurs, les Almohades. Au milieu du douzième siècle, ceux- ci parvinrent à soumettre l’ensemble des pays d’Afrique du Nord à un pouvoir unique. Cependant, les Almohades faiblirent et certaines dynasties Berbères, profitant de leur décadence {notamment lors de leur défait contre les Espagnols à Las Navas de Tolosa en juillet 1212}, relevèrent la tête et se proclamèrent indépendantes. Très vite, la région fut partagée entre trois
    Importantes dynasties sous contrôle Musulman : les Marinides à Fès, les Abdalwadides à Tlemcen et les Hafsides à Tunis. Et la culture islamique se propagea à nouveau avec force, les tension entre tribu Berbères subsistant toujours. Toutefois, la reconquête Chrétienne à l’Andalousie permit à l’Espagne d’occuper de nombreux sites et ports sur la cote Algérienne et d’imposer des tribus à certaines villes, vers le début du seizième siècle ; les Abdalwadides acceptèrent même le protectorat Espagnol. Mais la population Musulman, inquiet de l’influence grandissante des Chrétiens en Afrique du Nord, demanda aux corsaires Turcs {comme le célèbre Barberousse !} d’intervenir. Aides par les renforts du Sultan Ottoman {des 1518}, ils expulsèrent les Espagnol, résistèrent au siège de Charles Quint à Alger et détrônèrent du même coup les Abdalwadides qui avaient, pour leur malheur, accepte le protectorat espagnol. Avec l’effondrement des Abdalwadides en 1554, l’Algérie devint une régence, dépendant de l’Empira ottoman. Le pouvoir laxiste et peu unifie des Turcs affaiblit cependant le gouvernement central ottoman vers le dix-huitième siècle. Un certain nombre de tribus Berbères en profita pour s’émanciper à nouveau, tandis que les autres préféraient rester sous le giron des Musulman. C’est ainsi que les querelle intestines reprirent, favorisées par le pouvoir en place qui craignait une réunification et une révolte du peuple Berbère

  2. Bensalah El Djazairi dit :

    Notre histoire est fasconée de lutte d’influences, de ruses, et de révoltes

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