Ould Abbes connaitra-t-il le même sort que celui de Cherouati ?
«Le premier ministre est nommé par le président de
la République et moi aussi. Il est chargé de coordonner entre les différents ministères», a déclaré hier à Laghouat le ministre de
la Santé, Djamel Ould Abbes. Au sujet de la polémique suscitée par la pénurie de certains médicaments, Ould Abbes accuse des «lobbies dont les intérêts ont été menacés par la mise en œuvre de la stratégie du ministère», rapporte El Watan. Et d’ajouter: «J’ai touché à des intérêts forts et sensibles».
Les propos de Ould Abbes nous rappellent les propos tenus récemment par Nordine Cherouati qui a accusé des groupes d’intérêts d’être derrière les rumeurs annonçant son départ de la tête de Sonatrach. «Je dérange des intérêts», a déclaré à la presse Cherouati avant d’être débarqué 24 heures plus tard. El Mouhtarem
Le clan présidentiel : entre la honte et la pitié
Isolé sur les plans interne, régional et international à cause des abus, méfaits, forfaits et erreurs monumentales commises notamment sur le plan diplomatique, géré par quatre vieillards séniles de d’Oujda et Tlemcen ( Bouteflika, Rahal. Medelci et Messahel) et complétement dépassés par les événements , le clan présidentiel se rebiffe et sort ses cornes, à travers Belkhadem et Ould Abbés, qui tirent leurs dernières cartouches mouillées alors qu’ils savent que les carottes sont cuites pour leur clan de prédateurs qui pratique une fuite en avant suicidaire.
Le Douktour ne sait-il pas que ce n’est pas sa Fakhamatouhou qui a décidé de nommer Ouyahia Premier Ministre, qu’il méprise et recoit rarement a la présidence de la République et que si cela dépendait de lui, Belkhadem serait toujours Premier Ministre.
Personne donc ne croit ce bonimenteur d’Ould Abbés, qui sait que son clan est en train de vivre son dernier quart d’heure et qu’il va connaitre, comme l’a dit le politologue Mohamed Chafik Mesbah, dans l’interview publiée dans TSA du 11 décembre 2011, » une fin pathétique et peu glorieuse ».
La fanfaronnade de Temmar, qui a lancé hier aux journalistes » Je ne suis pas encore mort et je reviendrai plus fort que jamais » résume bien la détresse et le désespoir d’un clan qui sait sa fin prochaine.
Plus dure sera la chute disait Jules César.
Vivement la fin !
A mon avis, Ould Abbés a été chargé par Fakhamatouhou de démolir Ouyahia afin de préparer le terrain à Belkhadem, que Bouteflika, qui a essuyé le NIET de l’Armée pour pouvoir désigner son frère Said, s’est finalement résigné à choisir comme son successeur d’ici à 2014.
A 79 ans Ould Abbés n’a plus rien à perdre et veut faire couler avec lui Ouyahia, qu’il n’a jamais gobé et qui le lui rend bien, à chaque fois qu’il en a l’occasion.
Nous sommes en train d’assister à la dernière bataille de la guerre des clans et c’est la plus décisive.
« Mesdames et messieurs, attachez vos ceintures , nous allons traverser une zone de fortes turbulences »
n’est ce pas lui qui avait maintenu le maire de chemini pendant quatre ans!histoire de famille sa n’a rien avoir avec la loi,les liens de parenté priment.
n’est pas lui qui avait maintenu le maire de chemini malgré sa condamnation,pour lui le lien de parenté prime sur la loi.
sa gestion d’un ministere aussi sensible que celui de la santé a generer une penurie criarde(de plusieurs mois)de medicament responsable de perte de vie humaine , il doit donc repondre devant la justice de ses méfait , incompétence , non assistance a un peuple en danger ….. les chefs d’inculpation sont multiples
kayén rabi hamdoullah
après l’indépendance Mr ould promesse est parti en europe de l’est pour une formation de brancardier , sans la terminer il rentre au pays ou il a converti son sejour de villégiature en diplome de docteur en médecine
desolé de le dire mais ceci est la vérite ould abbes d’ou son nom ould el abbassiya est un batard qui est née dans un bordel à oujda tenue par la mere de vous savez qui par respect au pays je le dit pas