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Archive pour le 7 janvier, 2012

Marche du 2 janvier 1992 et la désinformation d’El Watan Week-end

Marche du 2 janvier 1992 et la désinformation d'El Watan Week-end dans Presse et médias en Algérie hocineaitahmed1Faisant dans la désinformation, El Watan Week-end a affirmé dans sa dernière édition que la marche du 2 janvier 1992 à Alger a été organisée à l’appel de Hocine Aït-Ahmed et du Comité national pour la sauvegarde de l’Algérie (CNSA), présidé par feu Abdelhak Benhamouda.

Tous les Algériens savent que cette marche qui a regroupé 1 million d’Algériennes et d’Algériens a été organisée à l’appel de Hocine Aït-Ahmed. Le CNSA n’a jamais été associé à cette manifestation, même si quelques personnes se réclamant de ce comité avaient pris part à la marche.  

Jeudi 2 janvier 1992, à l’Appel de Hocine Aït-Ahmed, des centaines de milliers de personnes venues d’Oran, de Relizane, de Kabylie, de Tindouf et d’ailleurs ont défilé quatre heures durant. La foule criait à en perdre la voix «Vive l’Algérie Libre et démocratique ». «Ni Etat policier, Ni Etat intégriste mais Etat Démocratique», rapportait Algérie Actualités. Hocine Aït-Ahmed ajoute «l’Algérie moderne existe si on lui donne les moyens de s’exprimer. Les mosquées étaient devenues le refuge des marginalisés et des exclus, donnons leur une autre alternative, ils la saisiront.»

A propos des déclarations réclamant l’annulation du second tour des élections législatives du 26 décembre 1991, le secrétaire général du Front des Forces Socialistes (FFS),  Hocine Aït-Ahmed a affirmé, au lendemain du premier tour, «Nous sommes des légalistes avant tout. Nous voulons donner sa chance au processus électoral tout en sauvegardant la paix civile (…) Une intervention de l’armée réclamée par des personnalités politiques risquerait d’entraîner le pays dans un interminable cycle de violences. Intervenir ce serait, par ailleurs, désespérer et démobiliser davantage les Algériens: Une crise de la démocratie ne peut être réglée que par plus démocratie(…) Les cadres civils et militaires n’ont pas envie de voir l’Algérie donner l’image d’une république bananière dans laquelle les échéances électorales sont retardées, reprogrammées et annulés à mi-parcours quand elles ont lieu, car c’est le peuple qui paiera le prix de l’aventurisme des STRATEGES EN CHAMBRES qui prennent en compte tous les paramètres sauf ses ASPIRATIONS… » El Mouhtarem

Pour laver la France de ses crimes, Ouyahia s’attaque à la Turquie

Pour laver la France de ses crimes, Ouyahia s'attaque à la Turquie  dans Algerie justice ouyahiaposture.vignetteEn ce début de l’année, le président français, Nicolas Sarkozy a eu droit à un cadeau du premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia. Au lieu de réclamer de la France de reconnaître ses crimes commis en Algérie, le patron du RND s’est attaqué à la Turquie et son premier ministre Erdogan qui a dénoncé récemment les massacres commis en Algérie par la France. «Nous disons à nos amis (turcs) de cesser de faire de la colonisation de l’Algérie un fonds de commerce», a déclaré Ouyahia à l’issue d’une réunion de la direction de son parti, le RND. Après avoir interdit aux Algériens de parler de l’histoire de leur pays, Ouyahia veut interdire aux autres peuples de se référer à l’histoire ! El Mouhtarem

Ouyahia: « Pensez-vous qu’un 4e mandat de Bouteflika rendra service à l’Algérie? »

Le SG du RND, Ahmed Ouyahia, a souligné samedi à Alger que la non-limitation des mandats présidentiels dans l’amendement constitutionnel de novembre 2008, répondait à une conjoncture particulière. Lors d’une conférence de presse animée au lendemain de la 5ème session ordinaire du conseil national du parti, Ouyahia a indiqué que l’amendement de la constitution de 1996 -limitant le nombre de mandats présidentiels à deux- était intervenu dans « une conjoncture particulière » affirmant que l’Algérie n’était pas « le seul pays » à avoir connu cette situation » et qu’elle a été précédée par d’autres Etats démocratique. La France aussi qui « se considère comme le bastion des droits de l’homme » a prorogé le mandat du président de Gaulle pour des exigences conjoncturelles.

Le président Bouteflika a « un capital, un passé et des atouts personnels qui ont fait de lui un refuge dans une conjoncture particulière ou l’Algérie souffrait des affres du terrorisme », a-t-il précisé ajoutant que « le processus des reformes exigeait qu’il reste au pouvoir ».

A la question de savoir si le RND soutiendrait le président Bouteflika si ce dernier était candidat à un quatrième mandat, M. Ouyahia a répondu : « Pensez-vous qu’un quatrième mandat (du président) rendra service à l’Algérie? »

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