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Archive pour janvier, 2012

Le projet de loi sur la wilaya adopté à la majorité par les députés de l’APN

Le projet de loi organique relative à la wilaya a été adopté mercredi à la majorité par les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN).  Les députés avaient entamé le vote, article par article, de ce projet de loi, lors d’une séance plénière présidée par le président de l’APN, Abdelaziz Ziari.
 La séance s’est déroulée en présence du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia.  Plus d’une centaine de propositions d’amendement ont été formulées par les députés à ce projet de loi comprenant 183 articles.

Le wali d’Illizi remis aux autorités algériennes

Le ministère de l’Intérieur a confirmé officiellement, mercredi dans un communiqué, la remise à 10h50 par les autorités libyennes du wali d’Illizi, Mohamed Laïd Khelfi, au niveau du poste frontalier de Deb Deb (wilaya d’Illizi).

URGENT : LE CDDH ANNABA VICTIME D’UN COMBRIOLAGE

URGENT : LE CDDH ANNABA VICTIME D’UN COMBRIOLAGE dans Droits de l'homme en Algérie laddh

Logo de la LADDH

Le Centre de documentation et d’information en droits de l’homme d’Annaba (CDDH-Annaba), structure locale de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH) a fait l’objet d’un cambriolage dans la nuit du 16 au 17 janvier.

Les pertes sont importantes, matérielles (plusieurs ordinateurs détériorés, un projecteur vidéo, un scanner, une imprimante endommagée), et surtout documents contenus dans l’ordinateur principal et des disques externes contenant toute la mémoire du CDDH ainsi que le fichier et les documents de la section d’Annaba de la LADDH. Les cambrioleurs dérangés par les voisins dans leur sale besogne ont abandonné une partie de leur butin.

Actuellement l’activité du Centre est centrée surtout sur la fréquentation par les étudiants d’examen. Elle est en partie compromise par ce cambriolage dont nous espérons que les commanditaires finiront par être démasqués. La police alertée a ouvert une enquête.

Le Président de la section locale de La LADDH

 Ali BOULOUDINI

Que fait l’agent Aboud avec l’avocat Mesli ?

L’agent du DRS, Hicham Aboud est fier de publier sur sa page facebook une photo avec son « ami, Me rachid Mesli, à Genève, devant l’hôtel Que fait l'agent Aboud avec l'avocat Mesli ? dans Non classé hicham-mesli-300x224Le Beau rivage où avait été, quelques jours plus tôt, arrêté Khaled Nezzar »

Libération du wali d’Illizi en territoire libyen

Les autorités libyennes ont libéré mardi, en territoire libyen, le wali d’Illizi, M. Mohamed Laid Khelfi, qui sera remis de façon « imminente » aux autorités algériennes, a appris l’APS d’une source proche du ministère de l’Intérieur. La même source a précisé que les ravisseurs ont été arêtés à150 km en profondeur du territoire libyen, ajoutant que le wali et son chef du protocole seront remis aux autorités algériennes au poste frontalier de Deb Deb (sud-est de l’Algérie). Le wali a pu joindre mardi sa famille par téléphone afin de les rassurer, a-t-on ajouté de même source.

 

Algérie: le wali enlevé devrait être libéré en Libye mardi

Le wali d’Illizi enlevé lundi devrait être libéré mardi en fin d’après-midi, a affirmé à l’AFP le sénateur d’Illizi, Ibrahim Houma. Le wali se trouve en Libye. Les Libyens devraient le ramener au poste frontalier de Debdeb et le remettre aux autorités algériennes aujourd’hui avant le coucher du soleil, a indiqué M. Houma, en se référant à Mohamed Laid Khelfi enlevé lundi soir dans la zone de Timeroualine (80 km à l’ouest du poste frontière de Debdeb).
Selon les indications fournies à l’AFP par M. Houma, M. Khelfi était parti calmer une manifestation de jeunes dans la ville de Debdeb, frontalière avec la Libye.

Avant d’être choisi comme préfet à Illizi en 2010, M. Khelfi occupait des fonctions municipales à Alger, selon un responsable de la région.

Selon ce même responsable, qui a requis l’anonymat, la manifestation de jeunes à Debdeb était motivée par la condamnation d’habitants de la région, dont des membres de la famille d’Abou Zeid (l’un des chefs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, Aqmi), lors d’un récent procès. AFP

Le wali d’Illizi enlevé lundi par trois jeunes algériens armés et identifiés (ministère)

Le wali d’Illizi Mohamed Laid Khelfi a été enlevé lundi dans la région de Timeroualine (80 kmde Deb Deb) au retour d’une mission régulière d’inspection et de travail, par « trois jeunes algériens armés et identifiés », a indiqué mardi le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales dans un communiqué.

« Le lundi 16 janvier 2012 à 16h00 au retour d’un déplacement dans la commune de Deb Ded (Illizi) effectué dans le cadre des missions régulières d’inspection et de travail et après une rencontre qui s’est tenue dans cette localité à laquelle ont pris part, Mohamed Laid Khelfi (wali d’illizi), le président de l’APW, le chef de daïra d’Aïn Amenas, ainsi que le président de l’APC de Deb Deb et les représentants de la société civile, le véhicule du wali d’Illizi a été intercepté dans la région de Timeroualine par trois jeunes algériens armés et identifiés », a précisé le ministère.

« Le président de l’APW ainsi de le chargé de protocole et le chauffeur du wali d’Illizi ont été relâchés, tandis que le wali a été gardé par ses ravisseurs et dirigé vers la frontière algéro-libyenne », a ajouté la même source.

Le wali, dont le véhicule a été retrouvé « abandonné » non loin du lieu de l’enlèvement, « a pu prendre contact par téléphone avec sa famille à 21h30 sans toutefois préciser le lieu où il se trouvait », selon le communiqué.

Le ministère a souligné que « toutes les dispositions sont prises et tous les moyens appropriés sont mobilisés à tous les niveaux pour assurer la libération du wali dans les meilleurs délais possibles ».

 

FFS: Le commandant Lakhdar Bouregaa animera une conférence à Tazmalt

FFS: Le commandant Lakhdar Bouregaa animera une conférence à Tazmalt dans Opposition politique en Algerie bouregaa.vignetteA l’occasion du 57ème anniversaire de la mort de l’un des chefs historique de la Révolution algérienne, Didouche Mourad, la section du FFS de Tazmalt organise une conférence-débat le jeudi 18 janvier 2011 à 14h00 à la Maison de jeunes. La conférence sur l’esprit de Novembre, sera animée par Lakhdar Bouregaa, Commandant de la wilaya 4 historique.

Mourad Dhina arrêté en France à la demande du régime d’Alger

Mourad Dhina arrêté en France à la demande du régime d’Alger dans Algérie Politique mourad
Mourad Dhina

Le docteur Mourad Dhina, membre fondateur du Mouvement Rachad, a été interpellé aujourd’hui à midi à l’aéroport d’Orly alors qu’il se rendait à Genève. Dr Dhina, l’un des résistants de la première heure au régime putschiste d’Alger, père de six enfants, assistait à Paris à une séance du Conseil exécutif de Rachad.

Selon nos informations cette arrestation par les autorités françaises fait suite à une demande du régime d’Alger exprimée officiellement par Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, récemment en visite en France où il a été auditionné par des parlementaires français.

Il est à noter que le Mouvement Rachad a organisé le 11 janvier 2012 une manifestation devant l’ambassade d’Algérie à Paris, au cours de laquelle ses militants et sympathisants ont dénoncé la dictature militaire et la corruption du régime d’Alger.

Le Mouvement Rachad condamne cette arrestation à caractère politique et appelle les autorités françaises à libérer immédiatement un militant algérien qui œuvre pacifiquement pour la liberté, la démocratie et l’Etat de droit dans son pays.

Secrétariat de Rachad

16 janvier 2012

Le Recteur de la Grande Mosquée de Paris au service de qui et pourquoi ?

Le Recteur de la Grande Mosquée de Paris au service de qui et pourquoi ? dans Culte en Algérie dalil-boubakeur-208x300Par Farid Mnebhi

Tout d’abord rappelons que la genèse de la construction de la Grande Mosquée de Paris  est intimement liée à la colonisation.

Dès 1842, un premier projet avait été déposé, mais aucune suite n’avait donnée, malgré les relances  d’intentions de l’ambassade marocaine en 1878 et 1885.

Finalement, et pour rendre hommage aux dizaines de milliers de musulmans morts pour la France durant la 1ère Guerre Mondiale, la décision de construction est prise et la 1ère pierre est posée en 1922. Elle sera inaugurée le 16 juillet 1926 par le Président Gaston Doumergue et le Sultan du Maroc, Moulay Youssef, arrière grand père du Roi Mohammed VI, qui a choisi le terrain et qui fut l’un des protagonistes majeurs dans sa réalisation.

Cette inauguration scellera à jamais l’amitié franco-musulmane. Une amitié acquise par le sang versé sur les champs de batailles européens que seul l’algérien Messali Haj, responsable de l’Etoile Nord Africaine, critiquera et taxera cette mosquée de « mosquée réclame ».

Durant la seconde guerre mondiale, et fidèle aux principes immuables  de la République et des religions révélées, la Mosquée de Paris servira de lieu de résistance pour secourir et protéger les soldats parachutés et porter assistance aux familles juives en les hébergeant et en les aidant à rejoindre la zone libre. Ainsi, sous l’égide du Recteur de la Grande Mosquée Paris des dizaines de familles juives ont pu échapper aux arrestations, à la déportation et fuir l’horreur de la Shoa.

Aussi, un appel à témoin de juifs sauvés par la Mosquée de Paris entre 1942 et 1944 avait été lancé en 2005 pour que la médaille des justes soit remise par le Mémorial de Yad Vashem aux descendants du Recteur de la Mosquée de Paris de l’époque Kaddour Benghabrit, un  ex-agent diplomatique français de grande envergure et ancien chambellan du Sultan du Maroc.

Ce geste de fraternité et de solidarité entre musulmans et juifs méritait d’être souligné et rappelé dans ce papier.

Ce bref rappel historique étant fait, je m’attacherais, dans ce papier, à démontrer que l’actuel  Recteur, Dalil Boubaker, a failli à sa fonction en dénaturant la mission première de la Grande Mosquée de Paris qui est celle de protéger et de défendre la communauté musulmane de France, de tisser des liens durables de solidarité, de tolérance et de fraternité avec toutes les religions présentes dans ce pays.

Ce manquement à sa mission résulte du fait que Monsieur Boubaker s’est échiné à endosser le costume d’un homme politique plutôt que celui d’un homme religieux écouté, neutre et respecté afin de défendre les intérêts, non pas des musulmans de France et des autres religions, mais ceux des autorités algériennes et de certains hommes politiques français, mais aussi ses propres intérêts et ceux de sa famille.

Si l’on se réfère aux statistiques publiées par l’Observatoire des actes islamophobes du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), les actes islamophobes ont augmenté de 22 % entre le 1er janvier et le 30 septembre 2011. L’islamophobie progresse en France. Ces chiffres qui concernent l’islam, l’islamophobie, les insultes et les actes raciste tels que la profanation de cimetières et de mosquées, les agressions, les insultes, les provocations, corans brûlés et jetés dans les poubelles.

Aujourd’hui donc, La Grande Mosquée de Paris et son Recteur Dalil Boubaker sont très critiqués au sein de la communauté musulmane française qui ne sent pas représentée sur des questions importantes la concernant le Halal, la formation des imams, l’interdiction du niqab, les prières de rue, la représentativité, l’humiliation dont ils sont l’objet. C’est ce qui explique que les musulmans de France ont divorcé avec les prises de positions de la mosquée de Paris et la fracture semble définitive.

La publication par  certains journaux français d’images du Prophète Mohammed n’a même pas fait l’objet d’une condamnation. Les profanations des cimetières musulmans, israélites et chrétiens n’ont pas suscité une quelconque réaction de sa part. Même la destruction par l’Etat algérien de plus d’un millier de tombes de marins français, tués au début des années 40 par la marine nazi, à Mers El Kebir en 2005. Un acte digne de la sinistre époque hitlérienne et qui n’a été jamais été perpétré dans un autre pays musulman. Un véritable scandale qui n’a fait l’objet d’aucun communiqué marquant son indignation, sa condamnation ou sa désapprobation, accentuant encore la fracture et le malentendu entre musulmans et chrétiens de France tout en attisant la xénophonie.

 Mieux encore, au mépris des valeurs de solidarité qu’il est censé véhiculer, la frange la plus précarisée vivant en France, les sans papiers, qui  a estimé à tort qu’elle pouvait trouver un soutien moral dans sa lutte pour obtenir gain de cause auprès du Recteur de la Grande Mosquée de Paris. Au contraire, il a fait procéder à l’évacuation des lieux par la Police. Une décision scandaleuse et contraire aux préceptes de l’Islam.

Je rappellerai à ce monsieur, que le Maroc a perdu son indépendance pour le simple faite d’avoir aider, protéger et refuser de livrer à la France l’Emir Abdelkader qui combattait pour l’indépendance de l’Algérie et ce, conformément aux principes du Saint Coran.

Autre ratage de monsieur Boubaker, l’interview accordée à un magazine israélien en mars 2012 dans laquelle il justifie les incursions militaires israéliennes sur Gaza. Bien que la réaction israélienne puisse être défendable sur le plan strictement sécuritaire, il aurait dû soulever la question des droits des palestiniens à vivre dans un Etat indépendant avec pour voisin un Etat d’Israël.

Cette démarche aurait servi à instaurer un début de dialogue entre les communautés israélites, chrétiennes et musulmanes en France et permis à renforcer la paix dans cette région du monde.

A noter que les autorités algériennes sont restées silencieuses face à cette déclaration. En 2000, la visite de plusieurs journalistes algériens en Israël avait été condamnée et la Présidence l’avait qualifiée de trahison.

C’est dire que le Recteur de la Grande Mosquée de Paris représente l’Algérie en France et que ses déclarations n’engagent que lui et son pays, et non les musulmans de France qu’il est supposé représenter.

En effet, il semblerait que Monsieur Dalil Boubaker soit l’œil et l’oreille  des autorités algériennes et à leur service.

Pour preuve, en juillet 2011 à Lille, il a participé à une rencontre où la restructuration des associations cultuelles algériennes en Europe était à l’ordre du jour. Une rencontre initiée par la Grande Mosquée de Paris.

Cette rencontre avait pour objectif  de provoquer un redéploiement des associations algériennes sur le terrain afin qu’elles puissent constituer une force cohérente qui aura son mot à dire sur toutes les affaires touchant le cultuel, mais aussi et surtout le politique.

Il y a nul doute que cette restructuration de la communauté algérienne en Europe, et tout particulièrement en France, répond à des urgences purement électoralistes. Encadrer les algériens vivant à l’extérieur pour les amener à voter en faveur des candidats choisis par Alger et élire le futur président coopté par les militaires et la DRS.

Cet embrigadement-caporalisation servira également comme outil efficace pour avantager tel ou tel candidat lors des prochaines échéances électorales françaises, sachant que la communauté musulmane en France représente un poids électoral de près de 7 millions de voix, dont 1 millions d’algériens. C’est tout dire sur leur importance stratégique sur la scène politique intérieure française mais aussi algérienne.

D’ailleurs, la Maire de Lille, Martine Aubry, ne s’est pas privée de tirer la sonnette d’alarme en déclarant, et je cite : « Comme c’est surprenant. A l’islamisation de notre pays, rajoutons désormais l’algérisation… Et acceptons tout cela au nom du devoir de repentance, c’est très en vogue… Pauvre France ».

Il n’est pas donc interdit d’affirmer que la Grande Mosquée de Paris et son recteur sont très proches de l’Algérie et que Boubaker  défend plus ses intérêts politiques et ceux de sa marraine en France. N’a-t-il pas soutenu activement la candidature de Bouteflika ? Depuis quand un ressortissant français, responsable d’une organisation islamiste puisse t’il être partie prenante dans les affaires internes d’un autre pays ? Ce n’est ni son rôle, ni sa mission, ni légal.

Autre élément qui atteste de son opportunisme et de la défense de ses intérêts  personnels et familiaux, son intervention auprès d’un ministre de l’intérieur, son ministre de tutelle, pour que ce dernier embauche son fils.

Quant à la mauvaise gestion de la chose pour laquelle il a été désigné, je citerai simplement ceci : un industriel et sénateur français très connu avait gratifié la fondation de la Grande Mosquée de Paris de deux millions d’euros pour financer la construction de mosquées. Face à l’impassibilité de Boubaker  pour faire avancer les projets qu’il était censé promouvoir, ce donateur réclama son argent. Il n’en récupérera que la moitié. C’est tout dire !

Autre loupé de Monsieur Dalil Boubaker, sa réponse à la proposition d’Eva Joly d’instaurer un jour férié pour les israélites et les musulmans de France.

Alors que le Grand Rabbin de France, Gille Bernheilm a pris une position sage et pleine de bon sens en affirmant qu’il ne prendrait position que lorsque « les choses seront plus  claires, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, et que si cette question intervient à l’occasion d’un grand débat général ». Ce, qui en terme diplomatique veut dire, nous sommes d’accord, mais nous devons prendre le temps d’y réfléchir et de dialoguer avant de prendre une position nette.

De son côté Le Recteur de la Grande Mosquée de Paris, bien qu’il ait loué cette déclaration, il a rejeté en affirmant qu’il était impossible que cette proposition puisse trouver une traduction dans le cadre législatif français. Il aurait du adopter la même attitude que le Grand Rabin de France, et non prendre une position aussi tranchée et définitive de refus.

Enfin,  dans une invitation conjointe adressée à la presse, une 1ère rencontre historique et officielle se tiendra le 17 janvier courant à la Grande Mosquée de Paris entre les délégations du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF) et de la Grande Mosquée de Paris.

Cette initiative est louable et à multiplier car elle favorisera l’émergence de relations renforcées  et confiantes entre les deux communautés religieuses ainsi qu’une meilleure connaissance mutuelle. Elle permettra aussi de débattre des relations judéo-islamiques et de définir les voies et moyens pour lutter  contre la xénophobie, le racisme, l’antisémitisme et d’exprimer leur rejet de la violence et des extrémismes.

Elle démontre également la pauvreté du dialogue judéo-musulman en France, qui est la conséquence directe du conflit au Proche-Orient. Ceci est d’autant plus regrettable que lorsque Juifs et Arabes s’unissent, ils font un travail merveilleux.

Cet état de chose est de la seule responsabilité de la Grande Mosquée de Paris que Dalil Boubaker dirige depuis plus de 20 ans. Attendre tant d’années pour afin instaurer un dialogue officiel entre ces deux communautés, c’est vraiment irresponsable et triste.

N’y aurait pas aussi dans cette invitation la recherche d’un gain politique en faveur de ses marraines que sont les autorités françaises et algériennes ? Je laisse les lecteurs en juger.

Je conclurais mon propos en affirmant que Monsieur Dalil Boubaker à fait son temps et qu’il devrait quitter le rectorat de la Grande Mosquée de Paris.

Il n’est plus crédible aux yeux des millions de musulmans de France. Il ne représente plus les fonctions de responsabilité qu’il occupe (il fait énormément de politique alors qu’il devrait s’occuper de ses fidèles).

Ces actions sous son égide n’ont fait que diviser la communauté musulmane de France et son départ permettra un retour au consensus au sein de cette communauté. Les réponses à mon titre se trouvent dans ce papier.

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