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Archive pour le 26 février, 2012

Arrestation de plus de 30 syndicaliste du Comité des travailleurs du prés-emplois

Plus de 30 membres du Comité des travailleurs du prés-emploi et filet social affilié au SNAPAP ont été interpellés le 26/02/2012 à 10h 30, lors d’un sit-in  devant le ministère du travail. Après cette interpellation, les syndicalistes se sont dirigés vers la maison de la presse Tahar Djaout pour  observer un autre sit-in.

Urgent-Algérie : les disparitions forcées reprennent !

Urgent-Algérie : les disparitions forcées reprennent ! dans Droits de l'homme en Algérie disparusLe Réseau d’Avocats pour la Défense des Droits de l’Homme, dénonce avec vigueur le retour à des procédés que chacun croyait révolus et dont sont victimes des citoyens, dans un cadre hors de toute légalité.
Le R.A.D.D.H vient d’être informé que le 19 février 2012, dix agents des services de sécurité venus à bords de deux véhicules banalisés de type Kango et d’une Peugeot 206, se sont présentés à 20 h 30 sans mandat légal requis par la loi, au domicile de Monsieur HAMLIL Azzedine âge de 65 ans, sis au village Aïssa (Boumerdés). En l’absence de ce dernier, ils sont repartis pour revenir le lendemain soit, le 20 février 2012 à 9 h 15. Les agents se sont représentés à bord de trois véhicules banalisés et deux véhicules de la Brigade Mobile de la Police Judiciaire (BMPJ). Quatre agents se sont introduits au domicile de l’intéressé et ont procédé sans mandat légal, à une minutieuse et brutale perquisition durant 02 heures. (Lire la suite)

L’affaire Dhina : Est-ce un «avortement» d’un probable «bourgeon algérien» ?

L’affaire Dhina : Est-ce un «avortement» d’un probable «bourgeon algérien» ?    dans Droits de l'homme en Algérie murad-dhina-300x147Abdelwahab Benyelles, Consultant

Il est indéniable que l’affaire du docteur Mourad Dhina puisse perdurer au-delà du « délai » prévu par la justice française, elle-même « téléguidée » par l’Élysée dans une situation d’un dossier qui finalement aboutirait vide en accusations. Par ailleurs, ces dernières ont été déjà soupçonnées de factices par le passé, jugées et rejetées définitivement par la justice helvétique.

Mais dans la supposée attente de l’exécution en suspens d’un mandat algérien d’extradition, l’accusé demeurera incarcéré pour la durée maximale « requise » d’une détention politique, sans recours, infligé par le parquet parisien dans ce qui ressemble être un coup de main momentané pour un « avortement » d’un probable « bourgeon algérien » ?

Dans le cas contraire, Alain Juppé devrait s’expliquer sur ce flagrant « discernement» politique de la France, ce pays des droits de l’homme et de cette iniquité des deux poids et deux mesures qu’a souvent adopté la cinquième république française, comme par exemple remettre en personne la distinction de Commandeur de l’Ordre de la Légion d’Honneur française à l’opposante célèbre birmane Aung San Suu Kyi dans une opération de charme fortement médiatisée pour cautionner la nouvelle façade démocratique birmane afin qu’elle continue de veiller de manière accrue sur les intérêts de Total. (Lire la suite)

Pourquoi cache-t-on la société civile algérienne à Hillary Clinton ?

Pourquoi cache-t-on la société civile algérienne à Hillary Clinton ? dans Algérie Politique US-300x200Samedi 25 février, je me rends à l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique à Alger. Je suis invité en ma qualité de blogueur à assister au discours de la secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, en visite de quelques heures en Algérie.

Arrivée vers 16h00, Madame Clinton, entre dans le petit salon où elle doit prononcer un discours de cinq minutes devant des journalistes qui n’ont, bien sûr, pas le droit de poser de questions. La secrétaire d’Etat américaine se met au milieu de quelques jeunes filles et garçons pour une « photo de famille ». Les journalistes présents se posent la question sur l’identité de ces jeunes présentés comme les chefs de file de la société civile algérienne. En réalité, il ne s’agit pas de représentants de la société civile, mais de « la société civile pro-américaine » en Algérie.

Une petite recherche sur google m’a permis de découvrir que les invités de l’ambassade américaine ne sont autres que des avocats d’affaires, des jeunes formés dans le cadre du MEPI, une représentante de Mozzila, un administrateur d’un site internet «Je suis algérien, mais je parle anglais », un représentant d’une école de langue anglaise…Bref, que des inconnus que personne n’a jamais rencontré, dans les activités politiques, syndicales, associatives, et encore moins dans les luttes pour les droits de l’homme.

Pourquoi l’ambassade américaine, a-t-elle caché, des représentants de la «vraie société civile algérienne» qui eux se battent sur le terrain ? El Mouhtarem

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