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Archive pour février, 2012

Déclaration de la LADDH

 

Déclaration de la LADDH dans Droits de l'homme en Algérie laddh

Logo de la LADDH

Les 17 et 18 février 2012, s’est tenu à Zeralda, la session ordinaire du Conseil national de la LADDH, élargi aux présidents des bureaux de wilaya récemment élus. Après avoir adopté le bilan d’activités du Comité directeur et l’élaboration de la stratégie de formation pour l’année en cours, le Conseil national a procédé à l’installation des commissions statutaires de la LADDH conformément aux statuts et au règlement intérieur de l’organisation.
Les membres du Conseil national ont débattu de la situation des droits de la personne humaine qui prévaut dans le pays et dans la région. Au plan national : (Lire la suite)

Le P/APW de Tizi-Ouzou, les intempéries et les retenues sur salaire !

Le P/APW de Tizi-Ouzou, les intempéries et les retenues sur salaire ! dans Algérie Politique belabesDurant les intempéries qu’a connue toute l’Algérie, le président de l’APW de Tizi-Ouzou n’a rien trouvé de mieux que de faire des retenues sur salaires aux fonctionnaires de cette institutions qui n’ont pas pu rejoindre leur lieu de travail pour une raison oi pour une autre et paradoxalement aux plus éloignés d’eux seulement. Alors un grand bravo pour le RCD. Un citoyen

Le RCD veut plus de sièges au Parlement ?

Le RCD veut plus de sièges au Parlement ? dans Non classé sadi2

Dans son discours d’ouverture des travaux du conseil national du RCD, Said Sadi a accusé les  participants au vote du 10 mai d’avoir négocié leur quota. « Tous les participants au vote du 10 main ont négocié leur quota », accuse le député d’Alger. « Même si le RCD participait, il se verrait attribué tout au plus 4 sièges. Ils nous ont réservé 4 sièges », a affirmé le chef du RCD.

 

 

Hocine Aït-Ahmed: « La convention du FFS, un moment à la fois modeste et extraordinaire »

Hocine Aït-Ahmed:

Cher(e)s ami(e)s, cher(e)s camarades,

C’est avec une grande émotion que je m’adresse à vous en ce jour si particulier, une émotion provoquée par les souffrances que cet hiver rigoureux a infligé à notre peuple, révélant encore et toujours l’absence de l’Etat. Désorganisation et irresponsabilité, sont à considérer comme la principale menace contre la sécurité des Algériennes et des Algériens et de notre pays tout entier.

Nous ne pouvons plus nous contenter de rendre hommage au courage et à l’abnégation des solidarités effectives, qui se sont exprimées de manière spontanée au sein de la population. Ceci est depuis toujours la marque de grandeur du peuple algérien. Un ami de ce peuple, Paolo Lombo, l’ancien représentant des Nations-Unies à Alger, a eu l’occasion d’en témoigner lors du tremblement de terre de 2003 quand il a rendu hommage aux Algériennes et aux Algériens, à leurs valeurs de solidarité et de fraternité. Il me revient à l’esprit que ce fin observateur extérieur de l’Algérie avait déjà à cette occasion noté que ce qui manquait à notre pays n’était pas une batterie de lois mais un dispositif et une volonté politique qui rendraient possible leur application. Il avait souligné une tare de son système de pouvoir et répondu à un propos raciste de Berlusconi sur l’infériorité de l’Islam sur la civilisation occidentale. Les autorités algériennes ont alors demandé, et obtenu, son départ d’Alger. Elles se sentaient certainement plus proches de Berlusconi que de leur propre peuple, tout comme aujourd’hui elles se sentent plus proches des propos et des manoeuvres policières racistes d’un Guéant que des mobilisations et des revendications légitimes des Algériennes et des Algériens.

Cher(e)s ami(e)s, cher(e)s camarades,

Mon émotion est aussi liée à ce moment particulier de la vie de notre parti, un moment à la fois modeste et extraordinaire.

Modeste, d’abord au regard de nos ambitions et de nos potentialités, il n’était pas écrit, si ce n’est dans les recoins obscurs des officines d’ici et d’ailleurs, que les Algériennes et les algériens en viendraient un jour à débattre de l’utilité d’une participation électorale quand tant de défis sont encore à relever.

Oui, cette petite salle de cinéma au passé si chargé, aurait pu nous voir discuter des moyens de sortir de la dépendance alimentaire, énergétique, industrielle, culturelle, politique…Nous aurions même, plus modestement, pu être occupés par un débat sur les modes de scrutin ou les prérogatives institutionnelles de telle ou telle assemblée et cela n’aurait pas été déprimant, compte tenu de l’évolution permanente des conditions de l’exercice politique et démocratique à travers le monde et l’histoire.

Mais nous voici, contraints par l’état de délabrement du pays, à discuter de l’opportunité de participer ou non à une consultation électorale. Et une telle discussion se tient dans un contexte de dévoiement des pratiques politiques, électorales ou non électorales, autant que des instruments de contrôle. Nous sommes arrivés à un moment où les consciences elles-mêmes sont soumises à une pression intolérable en vue de leur détournement.

Et c’est là que l’aspect extraordinaire de cet évènement prend sa pleine mesure.

Un homme perché sur le sommet d’une montagne peut se croire plus grand que tous les hommes, mais qu’un séisme vienne à faire trembler cette montagne, et le voici à terre. Mais un homme porté par des idées et des actions discutées et partagées avec d’autres hommes peut construire une maison qui résiste aux séismes. Ce parti et ce pays sont notre maison à bâtir envers et contre tous les séismes.

Cette convention est un aboutissement comme vous l’a si bien dit Da Ali Laskri. J’aimerais ajouter qu’il s’agît là également d’un commencement. Laissez-moi vous faire un aveu. Les clivages qui traversent le parti ont failli, plus d’une fois, le perdre. Surtout durant les années de braises et de cendres dans lesquelles le pays a été plongé malgré lui. J’assume avoir dû, dans des conditions extrêmement pénibles, prendre des décisions qui ont pu sembler unilatérales. Elles ne l’ont jamais été. Il m’est arrivé de trancher entre des propositions différentes, voire divergentes, mais je n’ai rien ordonné ni engagé selon mon seul entendement, car nul homme sensé ne devrait laisser son jugement tributaire de son seul entendement.

Les conditions de semi-clandestinité (qui sont pires que celles de la clandestinité véritable qui ont une cohérence intrinsèque) nous ont  contraints non seulement à donner un caractère semi-clandestin à nos délibérations, mais ces conditions ont également permis au pouvoir de plaquer sur nos propres divergences les manoeuvres malveillantes de sa police politique. Suscitant et encourageant le travail de sape et de division dans le parti comme dans le pays. Exacerbant la méfiance et cultivant la paranoïa pour mieux casser les liens qui font la force des peuples.

Notez que la même méthode a été utilisée pour nous accuser, tour à tour, de menacer l’unité de l’Algérie, celle du « pôle démocratique » enfin celle de la Kabylie.

Cher (e)s ami (e )s, cher (e)s camarades,

A l’unité de la Kabylie nous tenons autant qu’à l’unité de chaque région d’Algérie et de l’Algérie elle-même. Un coup d’œil sur notre histoire, et un regard sur le monde, nous montrera aisément combien l’unité de chacune des parties est tributaire de l’unité du tout, qui les constitue autant qu’elles le constituent.

Quant au « pôle démocratique » il sera peut-être à l’ordre du jour (et peut-être pas), quand la politique reprendra ses droits sur le bricolage inconscient, les mensonges, les manipulations et les enfermements de tous ordres. Car ce sont précisément ces mensonges, ces manipulations, ces enfermements qui menacent la notion d’unité elle-même, à force de l’avoir instrumentalisée contre la diversité et le pluralisme réellement existants au profit d’autres fabriqués de toutes pièces.

Cher (e)s ami (e)s, cher (e)s camarades,

Il est bien peu probable que les prochaines élections soient des élections ouvertes. En fait, et sans précautions inutiles, les prochaines élections n’ont aucune chance d’être des élections ouvertes. Nous ne pourrons donc pas assurer que nous allons sanctuariser le pays, veiller à la sécurité nationale et initier le changement démocratique en y participant. Nulle équipe, nulle institution n’est en mesure aujourd’hui d’assurer à l’Algérie une « immunité électorale » contre tous les périls qui la guettent.

Mais, par ailleurs, aucun boycott ne peut assurer qu’il constitue une alternative efficace à la participation. Ce dilemme n’est pas sans rappeler notre fameux «  Ni république intégriste, ni Etat policier » dont tant se sont moqués… avant d’en constater la pertinence.

Cher(e)s amis(e), cher(e)s camarades,

Je ne vous en dirais pas plus aujourd’hui  sinon que j’attends des débats que vous avez eus lors de ces derniers mois qu’ils éclairent notre démarche autant que notre décision finale. Le troisième élément de l’émotion qui m’étreint en ce moment est, d’une certaine manière, le liant entre notre expérience du passé proche et moins proche, et les enseignements que nous en tirons pour nous projeter dans l’avenir, dans l’histoire et dans le monde.

Vous l’avez compris, je veux parler de la profonde tristesse qui m’a saisi à l’annonce de la disparition de Si Abdel hamid Mehri.  Que dire qui soit à la mesure de l’homme ? J’ai perdu des camarades, des amis et des frères sur mon chemin de vie. Beaucoup sont à mes yeux irremplaçables. Mais de Si Abdel Hamid, je peux juste dire, aujourd’hui, que tout militant politique, démocrate et patriote sincère, devrait avoir la chance de rencontrer un militant de sa stature, de sa droiture, de son intelligence et de s’en faire un ami dans la lutte.

C’est pourquoi cette Convention nationale a été dédiée à Monsieur Abdel Hamid Mehri. En hommage à sa haute conception de l’engagement politique.

Je vous transmets mes plus chaleureuses salutations.

Hocine

FFS: Rapport de synthèse des débats sur les échéances électorales

FFS: Rapport de synthèse des débats sur les échéances électorales dans Non classé 111Convention nationale du 17 février 2012

Rapport de synthèse des débats sur les échéances électorales

Durant un mois, les militants, les militantes, les sympathisants, les sympathisantes du FFS, ainsi que des représentants de la société civile, syndicats autonomes, personnalités locales et nationales ont débattu, dans un climat apaisé, dans la sérénité et avec un grand esprit de responsabilité, des prochaines échéances électorales.

Les deux options, participer ou boycotter, ont chacune fait l’objet d’un examen approfondi. Chaque participant, dans un effort de réflexion, a débattu d’un point de vue et de son contraire, l’objectif étant de rechercher en définitive, le plus large consensus pour la prise de décision par le conseil national. (Lire la suite)

Ali Laskri: « Quelle que soit l’option retenue, notre responsabilité est engagée »

Ali Laskri: Convention nationale du 17 février 2012

Intervention du premier secrétaire, Ali Laskri

Chers amis, chers camarades

Bienvenue à la Convention nationale du Front des Forces Socialistes.

Nous sommes réunis aujourd’hui pour exposer la synthèse du débat qui s’est tenu dans le parti depuis maintenant un mois, autour des échéances politiques à venir.

Je suis profondément heureux, fier et rassuré de voir mon parti rassemblé et confiant pour aborder une étape importante dans la vie du parti et dans la vie du pays.

J’espère que ce soir, à la clôture de notre convention, nous serons plus conscients, mieux armés et une fois encore, capables d’assumer notre responsabilité devant nos compatriotes et devant l’Histoire. (Lire la suite)

La LADDH, bureau de Bejaia, s’insurge contre la non assistance à population en danger

La LADDH, bureau de Bejaia, s’insurge contre la non assistance à population en danger dans Non classé M%C3%A9d%C3%A9a-224x300Des intempéries qui perdurent depuis plus de dix jours, des citoyens de la wilaya de Béjaia vivent dans l’isolement et le dénuement. Les habitants, dans les villages et les contrées le plus reculées, sont livrés à eux-mêmes. Des milliers de citoyens sont privés du minimum vital, et depuis plusieurs jours, ils connaissent la faim, le froid et l’angoisse pour leurs malades.

Une wilaya sinistrée, pratiquement toutes les communes sont touchées de Draa el Gaid jusqu’à Boudjellil. Des SOS sont lancés quotidiennement à partir des différents villages affectés par cette catastrophe.

Des villageois sont restés isolés durant une semaine, voir plus, ce qui a contraint les habitants de certains villages à prendre la fuite vers des villages limitrophes.    (Lire la suite)

Condamnation de l’Algérie par le Comité des droits de l’homme de l’ONU dans 2 nouvelles affaires de disparitions forcées

Condamnation de l’Algérie par le Comité des droits de l’homme de l’ONU dans 2 nouvelles affaires de disparitions forcées dans Non classé famillesdesdisparusalgeriens200Genève, le 15 février 2012.

Le Comité des droits de l’homme des Nations unies vient de condamner l’Algérie dans deux affaires de disparitions forcées. En novembre 1994, M. Kamel Djebrouni, âgé de 31 ans, a été arrêté à son domicile à Alger par un groupe de militaires. Il n’a jamais été revu. En mai et en novembre 1996, les frères Djamel et Mourad Chihoub ont l’un après l’autre été arrêtés à leur domicile à Baraki (banlieue d’Alger). Djamel avait 19 ans, Mourad 16 ans. Ils n’ont jamais été revus.

Les familles Djebrouni et Chihoub ont tout entrepris pour retrouver leurs proches. Les autorités judiciaires, politiques et administratives ont notamment été saisies des dossiers. Cependant, aucune enquête n’a été ouverte et aucun responsable poursuivi. (Lire la suite)

Service d’hémodialyse de Ténès: BASTA !!!

Par un citoyen

Un conflit oppose la directrice de l’hôpital au personnel médical et paramédical du service d’hémodialyse de l’ancien hôpital de Ténès (Ahmed Bourass).
Conséquence: Une surcharge de places: 07 malades sont dialysés en « surcharge » et 15 malades déjà ne sont plus dialysés à Ténès. Ils doivent aller à chlef ou ailleurs avec leurs moyens et leur souffrance.
Pourtant 3 générateurs neufs sont dans leurs cartons à l’hôpital. Une nouvelle « kadba » a été donné aux gens pour « justifier » la non mise en marche de ces générateurs: on attend les travaux d’aménagement…la même chose qu’on répète au personnel du service depuis…18 mois. Il faut savoir que chaque générateur offre 6 places soit 18 places à gagner avec la mise en marche des 3 générateurs.

Ce n’est pas la peine de parler du service « labo » toujours « en projet », service « scanner »….y’a comme même « l’échographie « qui fonctionne 1 fois par semaine…mais c’est déjà un « progrès » relatif!!!
Enfin pour le conflit de personnes existant entre la directrice et la nephrologue, je dirais une chose: le personnel d’administration (avec en plus un niveau de 4ème année moyenne!!!) KAYAN B CHABÂA HATA RAHOUM YANKASSOU…mais les néphrologues y’en a moins de 200 dans toute l’ALGERIE.
Alors!!!    -

Mokdad Sifi: « J’ai préféré le camp d’Aït Ahmed au camp du pouvoir »

Mokdad Sifi:

« J’informe ceux que cela intéresserait que je ne brigue aucun poste et que je ne suis pas un déçu des responsabilités. Avant de me retirer en 1999 avec les 6 candidats, on m’a proposé des postes de pouvoir contre le maintien de ma candidature. J’ai préféré le camp d’Aït Ahmed au camp du pouvoir. On ne me l’a jamais pardonné.

Je suis né fils de maçon, je ne peux finir ma vie en cacique d’un système en perdition. »

Mokdad Sifi ancien chef de gouvernement. Souce Le Matin.

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