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Archive pour le 15 mars, 2012

Tizi-Ouzou: DEMISSION COLLECTIVE DE L’U D R ET DEMARCATION DU M P A

Tizi-Ouzou: DEMISSION COLLECTIVE DE L’U D R ET DEMARCATION DU M P A dans Non classé benyounesNous, signataires de la présente déclaration, voudrons apporter des clarifications publiques sur les motivations de notre démarche, qui consiste à notre démission collective de l’U D R et surtout notre nette démarcation et distance du M P A dont Amara Benyounes est secrétaire général. Les raisons de notre initiative sont d’ordre politique et s’articulent essentiellement autour de quelques vérités ne souffrant d’aucunes ambigüités.

Il s’git d’abord de l’inconsidération qu’affiche M Benyounes à l’ensemble des militants ayant cru construire une alternative politique en lançant l’U D R avec comme socle les valeurs de la Démocratie et celles de la République, avérées en définitif, comme étant de la poudre aux yeux et que le seul mobile n’est autre que la promotion politique du chef pour un strapontin gouvernemental. Depuis les élections législatives de 2007, où la formation politique de M Benyounes, a connu un cinglant revers, les militants sont restés livrés à eux-mêmes, entièrement coupés de la Direction du parti des années durant et qu’aucun contact n’est entretenu, pour la suite à donner à notre parti en construction et en attente d’agrément. La désillusion et surtout la déception se sont confortablement installées jusqu’à générer une déroute totale sans susciter la moindre inquiétude des dirigeants du parti.

             LA KABYLIE N’INTERESSE PLUS  AMARA BENYOUNES

Le changement de sigle du parti renseigne d’abord sur le recul de l’identité politique du parti qui signe un glissement purement populiste en cédant sur les valeurs essentielles comme la démocratie et la république, contre le gré des convictions de tous les militants en totale désapprobation de cette compromission. La Kabylie n’est guère reprise en compte dans le dernier congrès qui a vu la création du M P A, seulement une dizaine de volontaires politiques a pris part, pour enfin voir seulement élire 04 membres au conseil national et repêcher 02 autres, qui sont militants de la première heure du parti. Les membres fondateurs du parti U D R de Tizi-Ouzou sont délibérément évacués et qu’aucun militant de Tizi-Ouzou n’est retenu dans les textes fondateurs du M P A.

De plus, à l’approche des élections législatives du 10 mai prochain, le M P A à Tizi-Ouzou, en difficulté d’établir une liste ,la direction n’a pas fait mieux que de retenir comme tète de liste un militant d’une formation politique enracinée dans la région et en contradiction totale des visées stratégiques du programme du M P A. Le choix dévolu par la direction du M P A et contre la volonté des militants tenus en marge, sur le tete de liste est motivé par l’illusion que son nom portera dans la campagne, du fait qu’il n’est autre que le cousin du leader du F F S, cette démarche a révélé à plus d’un titre le lâchage de M Benyounes non seulement des militants qui ont cru en lui mais pire la Kabylie est evacuée de son tableau de bord politique. Pour toutes ces raisons citées, car d’autres plus fracassantes existent et seront révélées en temps opportun, nous, douze militants dont des membres fondateurs de l’U D R depuis 2004, déclarons notre démission de l’U D R et notre nette démarcation du M P A.

                                                                                                    DOUZE EX MILITANTS DE L’U D R

Kamel Daoudi, Salah Tiza, Samir Yahia-Cherif, Saïd Fellag, Rabah Ourad, Aggar Boussaâd, Madjid Tiza

Quelques éléments pour une révolution citoyenne

Quelques éléments pour une révolution citoyenne dans Non classé marcheKader ZERROU

La participation du FFS aux prochaines élections législatives en Algérie a suscité des réactions pour le moins incompréhensibles sur la blogosphère.

Si les nouveaux opposants l’interprètent comme une sorte de caution à un régime moribond certains démocrates de laboratoire l’accusent de ralliement.

Il est question d’une poignée d’illuminés, quelques islamo-rétrogrades et beaucoup de harkis du système, aveuglés par une sorte d’égocentrisme qui, dans la surenchère du boycott, se sentent investis d’une sorte de mission divine pour monopoliser et incarner l’opposition radicale au régime maffieux algérien. Foutaises !

Qu’en est-il en réalité ?

Il s’agit de conquérir la citoyenneté, d’œuvrer pour la paix civile pour enfin redonner son sens au politique.

De la conquête citoyenne

Les Algériennes et Algériens doivent se mobiliser pour voter et faire voter mais pas seulement. Ils doivent également être les garants de leurs propres votes en veillant au bon déroulement du scrutin.

Ils doivent s’investir dans  une  prise en charge citoyenne de l’élection pour limiter la fraude et le truquage, apanage d’une administration aux abois.

C’est aussi cela s’opposer pacifiquement au système pourri qui les a longtemps exclus de la vie politique nationale. Cette mobilisation doit continuer au-delà de l’élection elle-même.

Relever ce défi c’est s’inscrire dans la stratégie du FFS !

De la paix civile

Le pouvoir algérien se nourrit de la violence et il fait tout pour en entretenir des foyers un peu partout dans le pays. C’est le cas notamment en Kabylie où depuis une dizaine d’années, la région vit au rythme d’étranges kidnappings à la Hollywood quand ce ne sont pas des milices armées qui y arpentent les ruelles des villages au vu et au su de tout le monde créant ainsi un climat de psychose et de terreur sans précédent.

Une manière sans doute de rappeler à une région frondeuse son existence arrogante et despotique; parfois son inexistence. Une manière aussi de la mettre en garde contre une énième fronde citoyenne !

Démobiliser la Kabylie revient à démobiliser l’Algérie !

Pour contrecarrer le projet d’annihilement de toute expression autonome et démocratique  de la société, le FFS s’est résolument inscrit, depuis le coup d’Etat de janvier 1992, dans une démarche politique de retour à la paix civile.

Sa participation, tactique faut-il le souligner, aux prochaines élections législatives dans un contexte de transformations géopolitiques régionales importantes participe de la même démarche.

Si le régime organise ces élections pour assurer sa survie, le FFS y prend part pour sauvegarder l’Algérie.

Entre ces deux finalités, la dernière est, sans doute, celle qui redonnera son sens à la politique pour démocratiser le pays et le libérer de la maffia politico-financière.

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